(1) Scission du FN (Philippe Chevrier).
(2) Proche de la ligne de Marion Maréchal-Le Pen, le SIEL a quitté en novembre 2016 le Rassemblement bleu Marine.
(3) Étiquetée « divers droite » par le ministère de l’Intérieur. L’ensemble des candidats de l’Alliance royale ne se rattache d’ailleurs financièrement pas à l’Union des patriotes.
(4) Scission du FN (Ludovic Lemoues).
(5) Candidature retirée avant le premier tour.
(6) Après avoir soutenu Marine Le Pen à la présidentielle, l’inclassable Sylvio Létard avait pris pour suppléant un cadre local du FN (Jérôme Harbourg) et adopté un programme reprenant les fondamentaux d’extrême droite
(« aider en priorité les nationaux », « expulser les délinquants et criminels étrangers dans leurs pays d'origine »).