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dans N°1113

Le défi de la communication politique brésilienne dans un monde plateformisé

ParCamilla Moreira CesaretLeticia Alcantara
15 juillet 2025
Tous démocrates, peut-être mais voulons-nous la République ou l’Empire
Analyse

La numérisation accélérée des pratiques sociales et informationnelles des Brésiliens pose des défis inédits à la communication politique du pays. Si l’élection de Luiz Inácio Lula da Silva à la présidence en 2022 a fait naître l’espoir d’un retour à la normale après cinq années de gouvernement d’extrême droite, la nouvelle équipe doit faire face à un écosystème communicationnel très fragmenté et dépendant structurellement des plateformes numériques. Ce texte aborde les implications de cet environnement plateformisé pour la communication politique et publique du gouvernement Lula en particulier et pour la démocratie brésilienne en général.

CONTEXTUALISER L’ENVIRONNEMENT DE LA COMMUNICATION AU BRÉSIL AUJOURD’HUI
Les transformations de la communication politique brésilienne sont intrinsèquement liées au processus de numérisation accélérée que le pays a connu au cours des deux dernières décennies. En 2005, seul un foyer sur huit était connecté ; en 2024, ce chiffre était passé à sept sur huit. Les données étaient très différentes jusqu’en 2013, année marquant un tournant dans l’accès à Internet et la popularisation des smartphones au Brésil.

Cette année-là, 31 % des Brésiliens ont accédé au web via leur smartphone. C’est plus du double des années précédentes, dont ce taux était de 15 % en 2011 et de 20 % en 2012. Il n’est pas surprenant que 2013 ait également été l’année des Journées de Juin, une vague de manifestations qui ont envahi de nombreuses capitales. Cette période marque le début d’une phase d’intensification des disputes politiques et morales, ainsi que de polarisation du débat public au Brésil. Aujourd’hui, l’internet joue un rôle central dans la consommation d’informations par les Brésiliens, qui passent en moyenne 9 heures par jour en ligne.

En revanche, la généralisation de l’accès au réseau a diminué la diversité du débat public et favorisé l’émergence de phénomènes qui renforcent les croyances préexistantes, contribuant ainsi à instaurer un climat informationnel, politique et social de plus en plus chaotique.

COMMUNICATION POLITIQUE AXÉE SUR LES ÉMOTIONS ?

En ce qui concerne la communication politique, la période est marquée par une forte articulation des acteurs et des forces politiques, en particulier ceux du camp conservateur, dans les arènes virtuelles. Dans le même temps, on observe le rôle actif des utilisateurs, qui se mobilisent et sont mobilisés, en ligne et dans la rue, autour de personnalités et d’enjeux politiques.

Comme dans d’autres pays, la communication politique brésilienne traverse un moment d’hybridation entre pratiques professionnelles et amateurs, fortement formatées par le fonctionnement des plateformes, qui remettent en cause l’autorité des institutions traditionnellement dotées de crédibilité pour produire et diffuser des connaissances, comme la science et le journalisme. Ce n’est pas un hasard si ces institutions ont été drastiquement attaquées par le gouvernement de Bolsonaro, à une période où le Brésil a connu une phase de régression des droits et des avancées sociales gagnés au cours de deux décennies de démocratie.

Le gouvernement bolsonariste a inauguré une communication politique aux airs de propagande, structurée autour des médias sociaux et des groupes WhatsApp et d’un discours polarisant, fondé sur la polémique, la propagation de la haine et l’orchestration de campagnes de désinformation.

Cela n’a pas seulement constitué la base de sa campagne en 2018, mais c’est également devenu la politique de communication du gouvernement élu.

Ainsi qu’une caractéristique du bolsonarisme en tant que phénomène politique spécifiquement numérique.

Loin de disparaître après la présidentielle de 2022, qui s’est soldée par l’élection de Lula avec un écart de voix de seulement 1,8 % face à Bolsonaro, les « méthodes » du camp bolsonariste continuent d’exercer une influence significative sur la vie politique brésilienne.

PLATEFORMES, PUBLICS ANTI-STRUCTURELS ET ÉTAT DE CRISE

La diffusion stratégique de la désinformation sur les réseaux sociaux numériques, qui entretient un état de crise permanent, a pour conséquence d’accroître la méfiance à l’égard des institutions démocratiques. Ce phénomène a été abordé dans la littérature à travers des concepts comme le populisme 2.0, le conspirationnisme ou la post-vérité. Cependant, des auteurs comme Cesarino se sont intéressés à l’infrastructure numérique qui soutient et renforce ces phénomènes. Selon l’autrice, la crise de la vérité, qui fragilise les institutions démocratiques, ne peut être comprise uniquement par le comportement des individus, mais nécessite aussi d’examiner comment les systèmes cybernétiques structurent des modèles d’interaction et d’influence.

Cette approche met en évidence une nouvelle logique de communication, marquée par l’intermédiation algorithmique des plateformes numériques, qui favorise l’action des « publics anti-structurels ». Cesarino utilise ce terme pour désigner des forces politiques comme le bolsonarisme qui, en exploitant les ressources numériques, contestent l’autorité d’institutions traditionnelles telles que les médias, la politique et la science. L’une des principales stratégies de ces groupes est l’ « engloblement », par lequel les publics anti-structurels absorbent, déforment et resignifient les discours des groupes opposés. Cette approche dépasse la tentative de modifier la perception des faits par le public, généralement analysée à travers le prisme du concept goffmanien de « frame ».

En transposant cette réflexion au Brésil post-Bolsonaro, il est possible de dire que l’élection de 2022, qui a reconduit le Parti des travailleurs au pouvoir, n’a pas pacifié l’environnement politique ; au contraire, la polarisation s’est intensifiée.

Ainsi, les événements récents nous amènent à considérer le rôle de l’activisme conservateur, aligné ou non sur le camp bolsonariste, dans la création d’un climat d’instabilité permanente qui remet en cause les institutions brésiliennes.

L’affaire Pix (un moyen de paiement instantané largement utilisé au Brésil), que nous analyserons plus tard, n’a été qu’un épisode de plus dans les disputes politiquesvécuesparlasphèrepubliquebré- silienne depuis 2022. Il convient de rappeler que quelques jours après l’investiture de Lula, le 8 janvier 2023, le pays a subi de violentes attaques contre les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire, menées par des milliers de partisans de Bolsonaro dans un acte inspiré par l’invasion du Capitole par les trumpistes deux ans plus tôt aux États-Unis.

Ces attaques ne peuvent pas être attribuées uniquement au mécontentement de certains secteurs de la société face au résultat des urnes.

Il faut également tenir compte du contexte marqué par la désinformation et les théories du complot,avec des allégations de fraude électorale, qui ont été alimentées tout au long de la campagne. Quelques semaines après l’insurrection de la Place des Trois Pouvoirs, un partisan de l’ancien président a mis le feu à son propre corps sur l’Esplanade des Ministères, dans le cadre d’une prétendue protestation contre la Cour Suprême (STF). En novembre 2024, un autre supporteur de Bolsonaro a fait sauter des explosifs contre le STF, avant de se suicider.

Pour Cesarino, ces événements sont l’expression de mouvements anti-structurels qui, propulsés par les nouveaux médias, remettent en question les institutions politiques, judiciaires, scientifiques et médiatiques. Leurs actions ne se limitent pas à la dispute électorale ; elles incluent également des groupes négationnistes et conspirationnistes, tels que ceux qui ont agi pour nier les preuves de la gravité de la Covid-19, ont promu des traitements inefficaces (Cesario) contre la maladie et ont renforcé le mouvement antivaccin dans le pays.

Ces épisodes récurrents créent un état de crise permanente, soutenu par une infrastructure sociotechnique qui maintient l’utilisateur en alerte constante. Chun souligne que les crises et les décisions qui en découlent génèrent de la peur et de la terreur, poussant les gens à chercher une protection auprès d’intermédiaires corporatifs, gouvernementaux ou technologiques. Cet état d’alerte conduit les utilisateurs des plateformes à « réagir » à chaque nouvelle crise, renforçant ainsi la dynamique de réponse immédiate. Cependant, chaque post, réaction ou partage devient une donnée de plus qui alimente les algorithmes, améliorant leur efficacité par la personnalisation et le renforcement de certaines habitudes de consommation. Ces caractéristiques font des plateformes une condition sine qua non de l’action des publics anti-structurels.

En effet, tandis qu’elles exploitent la logique de l’économie de l’attention grâce à la monétisation des données des utilisateurs, les mouvements anti-structurels en tirent également un avantage politique.

Ce texte explore la convergence entre l’action des publics anti-structurels et la matérialité technique des plateformes, en soulignant comment cette interaction reconfigure la dynamique du débat public au Brésil aujourd’hui. Pour ce faire, nous examinons comment la récente tentative du gouvernement brésilien d’étendre la surveillance des transactions financières a vu son objectif déformé sur les réseaux sociaux, générant des réactions négatives à grande échelle. Nous partons du principe qu’une part de l’agitation politique qui secoue le pays découle de la présence et de l’activisme croissants de publics anti- structurels dans la sphère publique brésilienne, ce qui contribue à déstabiliser les institutions.

L’AFFAIRE PIX

En septembre 2024, le gouvernement brésilien a annoncé la surveillance des paiements instantanés supérieurs à 5 000 reais pour les particuliers et à 15 000 reais pour les entreprises, dans le cadre d’une action visant à lutter contre les crimes fiscaux. Ce changement concerne Pix, le système de paiement le plus populaire du pays. Lancé en 2020, le service a connu un grand succès en raison de sa simplicité, de son instantanéité et de sa gratuité pour les particuliers. Sans surprise, la nouvelle mesure est devenue extrêmement impopulaire.

Dès son annonce, de fausses vidéos ont commencé à circuler sur les médias sociaux, suggérant que l’initiative visait à taxer toutes les transactions. Ces allégations, amplifiées par des influenceurs et des politiciens de l’opposition, ont suscité beaucoup d’appréhension au sein de la population. Le gouvernement a tenté de réagir, mais aucune stratégie n’a réussi à endiguer la vague de désinformation. La méfiance s’est instaurée et une partie importante de Brésiliens a commencé à éviter Pix, qui a enregistré une baisse de 15 % des transactions. L’administration fiscale fédérale a expliqué cette inversion par l’impact de la désinformation, et le gouvernement s’est vu obligé de revenir sur sa décision et d’annuler la mesure.

Le cas Pix peut être analysé à travers le concept d’ « englobement », en tant qu’action d’assimilation et de resignification d’un discours externe, celui de l’opposition, dans le but de renforcer et d’imposer son propre récit de la situation. Après l’annonce de la nouvelle politique par le gouvernement, la mesure a été rapidement réinterprétée par les bolsonaristes comme une tentative d’« espionnage » et de « taxation » des transactions.

Les caractéristiques des actions menées correspondent parfaitement à celles de stratégies des publics anti-structurels, visant à discréditer les institutions.

L’un des faux messages circulant sur les médias sociaux attribue la création de Pix à Bolsonaro. L’image du message montrait une photo de l’ancien président accompagnée de la phrase « J’ai créé Pix gratuit et illimité pour vous faciliter la vie », à côté d’une photo du président Lula suivie de la phrase « Je vais contrôler Pix pour vous mettre une amende et vous taxer à fond ». Ces deux informations sont fausses : Bolsonaro n’a pas créé Pix, c’est en effet la Banque centrale, qui agit de manière autonome, et la mesure du gouvernement Lula ne visait pas à taxer Pix. Dans une autre action, une vidéo du député bolsonariste Nikolas Ferreira sème le doute : « Pix ne sera pas taxé, mais je ne doute pas qu’il puisse l’être ». Il poursuit : « ceux qui seront le plus taxés avec cette mesure seront les commerçants du marché, les vendeurs de rue, les chauffeurs d’Uber et les livreurs d’iFood ». Cette vidéo a atteint à elle seule 326 millions de vues.

Pour contrer les fake news, le gouvernement du PT a mis en place plusieurs actions de communication (publications sur les réseaux sociaux, large diffusion dans la presse), mais les dégâts étaient déjà faits, et le gouvernement a dû révoquer la mesure. Cette décision a alors donné lieu à un nouvel amalgame : les opposants ont exploité ce revers pour présenter l’abrogation comme un signe de faiblesse et de désorganisation du gouvernement. Autrement dit, ils ont d’abord présenté la mesure comme une « attaque » contre la population, puis le recul comme une « victoire de la mobilisation populaire » contre le gouvernement, comme le suggère cette déclaration du député de l’opposition Gustavo Gayer : « Le gouvernement a plié grâce à vous qui avez utilisé les médias sociaux pour exprimer vos opinions sur la tentative de ce gouvernement de nous voler notre argent ». Ce dernier cadrage peut être interprété à travers le concept de « populisme métrique » proposé par Varis, qui explique comment ces dirigeants exploitent les indicateurs d’engagement des médias sociaux (likes, partages et followers) comme preuve de leur légitimité et de leur soutien populaire.

L’affaire Pix est emblématique, mais s’inscrit dans un contexte plus large de diffusion de la désinformation dans le domaine économique au Brésil. Depuis janvier 2023, le gouvernement Lula a dû faire face à de nombreuses campagnes de désinformation dans ce secteur, ayant démenti 400 fausses nouvelles via la plateforme officielle Brésil Contre Fake News.

La large pénétration des technologies et plateformes numériques au sein de la population brésilienne crée des conditions structurelles favorables à la propagation rapide d’informations et de rumeurs. Dans un contexte de crises successives et de polarisation sociale et politique qui, dans le cas brésilien, dure depuis plus d’une décennie, les discours controversés et les campagnes de désinformation tendent à instrumentaliser les peurs, les croyances et les revendications latentes dans la société. Le bolsonarisme et ses publics ont compris mieux que quiconque comment exploiter politiquement ces faiblesses pour se positionner comme une force d’opposition politique et éroder progressivement la confiance dans les institutions.

Face à l’affaire Pix, le gouvernement Lula a subi une défaite et il n’est pas certain qu’une stratégie de communication institutionnelle aurait pu contenir la crise.

En effet, ces publics anti-structurels opèrent dans la logique des plateformes, exploitant leurs caractéristiques sociotechniques – désintermédiation, état de crise permanent, fragmentation de l’audience, agence algorithmique qui favorise les déclencheurs affectifs – pour devenir viraux, polariser et mobiliser leurs adeptes. Les institutions publiques, quant à elles, suivent une logique libérale fondée sur la transparence, la rationalité et la vérification des faits. Le problème est que, dans la dynamique de la communication politique numérique, cette approche classique a du mal à rivaliser avec les récits émotionnels et simplifiés qui suscitent des réactions immédiates et incontrôlées. En bref, dans le contexte d’une sphère publique médiatisée par des plateformes, où l’engagement définit la visibilité et où les autorités épistémiques souffrent d’un discrédit chronique, la vérité ne s’impose pas automatiquement en clarifiant simplement les faits. Au contraire, la lutte contre la désinformation renforce souvent davantage le récit des publics anti-structurels, qui présentent une grande adaptabilité, créant de nouvelles interprétations chaque fois qu’un récit initial est réfuté, en phase avec la stratégie d’englobement.

L’exemple de la situation brésilienne montre que, dans la logique de l’action des publics anti-structurels ancrés dans les plateformes numériques, qui favorisent les contenus polarisants et contestataires, l’État sera toujours désavantagé. Pour faire face à ce défi, il est nécessaire de repenser la communication politique gouvernementale, en adoptant des formats plus compatibles avec la dynamique numérique, sans renoncer aux valeurs qui régissent la démocratie libérale et la communication des institutions publiques.

Letícia Alcântara * et Camila Moreira Cesar**

*Universidade federal da Bahia (Brésil)
**Université Sorbonne Nouvelle (France)

Camilla Moreira Cesar

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