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dans Hors série HEIP, Politique

Histoire des blogs et réflexions autour de l’outil

ParJacky Isabello
25 mai 2021
Blogging

Illustration blogging avec fenêtre Internet et figures humaines échangeant des lettres et des mots

27 ans après sa création, Jacky Isabello revient sur l’histoire du blog et la place qu’il occupe dans l’espace public.

Cet été 2020 Bernard Stiegler, un philosophe au parcours de vie incomparable, nous a quittés. Il s’était fait adepte, parmi d’autres spécialités, de la place essentielle de la technique dans l’histoire occidentale de l’être humain. Et dans l’histoire de l’être humain tout simplement. Il aimait à rappeler à ses élèves, dans le cadre de l’Université qu’il créa à Epineuil-le-Fleuriel (Berry, Cher), la conversion qu’opéra le monde dès que Prométhée subtilisa au nez et à la barbe de Zeus le feu, symbole de la technique et du savoir, pour le livrer aux Hommes. Oubliés que furent nos lointains ancêtres mortels dans la distribution des qualités et défauts aux espèces vivantes qu’était censé opérer son balourd de frère Epiméthée1 (en grec : celui qui réfléchit après coup). Prométhée fût sanctionné et à travers lui les humains sous la forme d’une obligation de pourvoir à notre subsistance ; il faut y lire l’avènement du travail notamment. Stiegler rappelait l’importance d’essentialiser l’humain à son rapport à la technique. Qu’elle fût peintures rupestres sur les murs de la grotte Chauvet, les différentes écritures cunéiforme, alphabétiques, la construction de la logique à travers la démonstration de la surface de carré (Socrate), l’acte d’individuation des êtres vivants dotés de l’art de penser, la technique est le socle et non l’outil, c’est essentiel, des civilisations humaines.

Le blog, cet espace de consignation de la mémoire par diverses formes éditoriales de contenus appartient à cette filiation.

Le blog s’inscrit dans la longue chaîne de ce que Jacques Ellul nomme le Système technicien2. Ellul définit la technique comme un ensemble de mécanismes qui répondent à la recherche de l’efficacité en toutes choses. Il développe une sorte de phénoménologie de la technique, la saisissant par les effets qu’il en perçoit dans la société. Devant le constat d’une interconnexion croissante de tous les réseaux (banques de données, flux, productions, circuits de distributions, publicité, etc.) que l’informatique, naissante à son époque, promet d’amplifier, Jacques Ellul fait l’hypothèse que la Technique prise dans son ensemble et sous ses différents aspects forme aujourd’hui comme un système économiquement et sociologiquement repérable, le « Système technicien ». Un système aveugle, sans perspective, sinon celle de son extension illimitée, « artificialisant » toujours plus l’environnement et aliénant l’homme, un système aux effets totalement imprévisibles. Dans le déclin des empires médiatiques traditionnels, en marche depuis plus de vingt ans maintenant, le blog aurait dû briller des atours annonciateurs de la Krisis, au sens où l’exprime Edgar Morin c’est-à-dire l’acception grecque du moment permettant au médecin d’affirmer ses convictions sur la maladie frappant un patient. Le blog comme première forme de déstabilisation des médias « mainstream » pour reprendre l’expression popularisée par l’ouvrage de Frédéric Martel3, mais honnie par Bernard Stiegler, et d’activation d’un lent processus de délégitimation de la mission d’intermédiation entre la République des idées et les masses populaires considérées abusivement par certains « Chiens de garde », qu’ils soient ceux de Paul Nizan ou de Serge Halimi4, comme incontestables.

Petite histoire du blogging

Internet s’est développé par étape.

Aux balbutiements du fait d’une mise en place technologique complexe et d’un faible niveau d’équipement des particuliers succéda la révolution du Web dit « 2.0 ». Ce Web enrichi offrit la possibilité pour tous les internautes de devenir producteurs d’informations, de nombreux services numériques ont été créés pour permettre aux utilisateurs de produire leur propre contenu et notamment les blogs, nous allons y venir. Déjà le wiki, tiré du mot hawaïen wiki qui signifie « vite », a été inventé en 1995 par Ward Cunningham dans le cadre d’un programme informatique appelé Wikiwikiweb. Il s’agit d’un site Web collaboratif où tout visiteur peut modifier ou ajouter du contenu. Le plus connu des wikis aujourd’hui est Wikipédia. C’est une encyclopédie participative sur Internet.

Selon le dictionnaire américain Merriam Webster, équivalent du Petit Robert français, un blog est un site Web qui contient des réflexions personnelles en ligne, des commentaires et souvent des hyperliens, des vidéos et des photographies fournis par le rédacteur. Le contenu d’un tel site se rapporte généralement à un sujet et se compose d’articles et de commentaires personnels d’un ou plusieurs auteurs. En 2005 ce même dictionnaire désigna « mot de l’année » ce terme créé en 1999 par Peter Merholtz, une personnalité du monde du Web, designer également précurseur des techniques d’UX (sigle pour désigner l’expérience utilisateur sur le Web). Le site spécialisé Content Marketing Academy en livre la frise chronologique suivante : 

1er janvier 1994 : le journaliste free-lance américain Justin Hall publie son premier post de blog. Sur son blog, toujours en ligne, il raconte sa découverte de l’Internet en 1988 et, après plusieurs années de recherche, il publie et s’impose dans l’histoire du numérique.

2 octobre 1997 : création de la première plateforme de blog et de social networking. Est mis en ligne pour la toute première fois Open Diary, une sorte de version bêta et toute première ébauche de software de networking social. Le site devient rapidement une communauté de journaux intimes/personnels en ligne. Ses deux fondateurs, Bruce et Susan Abelson, le décrivaient comme « le premier site Web réunissant des rédacteurs de journaux intimes au sein d’une grande communauté ». Le concept de communauté et de social networking était né. La plateforme permettait à ses membres de créer des contenus équivalents aux pages d’un journal intime pas sans rappeler Facebook : public, privé ou juste pour ses ami(e)s.

3 décembre 1997 : naissance du terme « weblog » (à lire « web log » et non « we blog ») sous la plume numérique de John Barger, créateur du site Web « Robot Wisdom » sur lequel il publie ses réflexions sur des sujets très en vogue déjà à l’époque comme l’intelligence artificielle. Dans l’espoir d’apporter à son audience une valeur ajoutée, il dresse dans ses différents articles une liste de liens « chaque jour façonnés par ses propres intérêts dans les arts et la technologie ». Pour qualifier cette collection de liens pertinents d’un point de vue éditorial, il crée une nouvelle expression « Weblog », expression ayant vocation à décrire le processus de « logging du web », qui sera par la suite reprise puis raccourcie à « blog » par Peter Merholz en 1999. J’y verrais sans choquer l’audience une certaine manière de convoquer la figure d’Epiméthée. Cuistre ou transformation syncrétique ? Un processus déformant s’est opéré entre ce qui tient de la théorie de l’information et de la communication5, c’est-à-dire l’acte de mise en relation et le processus ontologique et artistique né d’un besoin de créer de la mémoire par le contenu et de l’indexer puisqu’il en est ainsi depuis que la pensée rationnelle s’est imposée. En tant que tel il s’agit d’un acte très innovant puisque par l’intermédiaire d’un nouvel outil, le blog, la libéralité de création d’un média personnel sans frontière apparut.

Entre 2001 et 2002, lancement des premiers blogs à futur gros succès, notamment et parmi les plus marquants d’entre eux, des blogs devenus médias pure-players célèbres : Techcrunch, Mashable, ou le HuffPost. Ces médias aujourd’hui incontournables du Web ont tous été lancés par des blogueurs indépendants.

Entre 2003 et 2005, les moteurs de recherche entrent dans la danse

Les moteurs de recherche rachètent ou lancent leur propre plateforme de blogging.

En 2003, Google entre dans la danse avec le rachat de Blogger. Dans la foulée il lance Adsense et crée ainsi le premier réseau publicitaire offrant la possibilité d’insérer des publicités contextualisées au sein des contenus de blogs. En 2004, MSN inaugure Spaces, plateforme de blogging qui lui permet de faire le lien entre MSN Messenger et les services Hotmail. En 2005, AOL crée son service de blogging RED ciblant les adolescents et rachète la plateforme d’édition de blogs Weblogs Inc pour 25 millions de dollars. Les toutes premières plateformes de blogging furent lancées en 2001. C’est à partir de 2003 que le blog prend son essor avec la création de WordPress. Ces plateformes aident le blogueur dans sa création de contenu en le délestant des aspects techniques liés notamment aux actions de programmation jusque-là nécessaires pour mettre en ligne un contenu. De nos jours, la plupart des sites des entreprises et des organisations intègrent ces outils dits de CMS (Content Management System. Drupal, Wix et Weebly sont les principaux concurrents de WordPress) et les mettent à disposition de leurs collaborateurs afin qu’ils publient aisément leurs expertises. Cet aspect a révolutionné la communication des organisations. Signalons l’apparition de Technorati, le premier moteur très puissant de recherche de blogs ou encore d’AudioBlogger, le tout premier service de podcast, une fonctionnalité dont on prédit, retournons en 2020, un développement très important dans les prochaines années. Enfin, notons que les premiers blogs vidéo furent lancés dès 2004, soit un an avant la création de Youtube.

L’histoire s’est ensuite accélérée. Aux experts du marketing digital comme Karine Abbou qui considéraient dès l’aurore du 21e siècle : « que le blog est le devenir de toutes les marques. En tant qu’outil individuel et incarné par une personne physique, il a même vocation à devenir le support média de n’importe quelle marque », la tendance a donné raison. Or la suite de la prédiction s’est révélée plus hasardeuse : « Face à la prise en otage du web par l’oligopole GAFAM et son hyper monopolisation, je pense que l’équilibre des forces passera justement par la réunion de ce milliard et demi d’individus (NDLR : les blogueurs) qui, ensemble, constitueront le plus juste, le plus puissant et le plus humain des contre-pouvoir » (sic). Nous savons désormais que ce qui tenait davantage de l’espérance que de la prévision se sera construit inversement proportionnel. La force est et demeurera longtemps entre les mains des GAFAM, devenant chaque jour un peu plus puissantes que les États.

Toutefois, forçons notre nature optimiste en pointant une lueur d’espoir. Puisque la plus grande encyclopédie désormais accessible sur le Web, j’ai noté Wikipédia, garde un savoir gigantesque loin de l’appétit des GAFAM américains et autres BATHX chinois et des impératifs financiers guidant leurs stratégies. De la part d’un chef d’entreprise n’y voyez aucune caricature anti-capitalise, car nous comprenons que, devenus des géants boursiers devant rendre des comptes aux retraités américains, notamment, dont ils constituent de solides actifs dans leur plan épargne retraite, le principe « collaboratif sans publicité » leur fasse saigner les tympans.

*
*      *

Dans la très philosophique saga Terminator, porté par le talentueux acteur/gouverneur Arnold Schwarzenegger, le Pharmakon associant informatique et robotisation à défaut d’avoir enrichi l’humanité, l’aura décimée.

Dans notre cas d’espèce le blog, entre autres nouvelles espèces numériques de formalisation de consignation et d’indexation de la pensée intelligente, produit des effets déstabilisateurs des équilibres d’alors toujours en cours d’évaluation.

Nous connaissons leurs impacts sur l’économie de l’attention, notion chère à Yves Citton6. Le trop de contenu ayant fait le lit du retour à l’émotion chère aux sophistes, ennemis du tandem Socrate/Platon, aux dépens de la pensée construite sur un modèle démonstratif (la fin de notre confrère la Revue Débat n’en est qu’un exemple parmi une myriade). Ajoutons à cela l’appropriation des espaces publicitaires sur les blogs (cf. supra) et l’hégémonie des moteurs de recherche, tout particulièrement celle de Google (part de marché en Europe : 92 %, source Statcounter global stats), en tant que porte d’entrée indexante de l’ensemble des savoirs, qui auront dévasté, le terme n’est pas trop fort, les fondements sur lesquels la puissante économie des médias fonctionnait. Les derniers combats en date menés avec difficulté par les industries des médias de la presse écrite et audiovisuelle contre Google, Facebook et leurs coreligionnaires peuvent interroger avec pessimisme celles et ceux pour qui la vérité n’est pas une opinion comme une autre.7 Les GAFAM n’acceptent toujours pas d’appliquer la réglementation européenne sur les droits voisins et les plateformes de contenus Amazon Prime Video et Netflix voient peser moins d’obligations sur leurs activités que les groupes Canal ou TF1. L’attirail de destruction de valeur ou de déplacement massif de celle-ci profitent aux GAFAM/GAFAN et BATHX8. La guerre ouverte entre Pékin et Washington à propos de Tik Tok9, le dernier outil qui fait fureur dans les cœurs de nos adolescents, une forme évolutive de blog comme l’était Néandertal par rapport à Sapiens, n’autorise pas de prédire en se référant à la rigueur des chiffres ou l’analyse factuelle des tendances du business, de profonds changements à venir, ni d’escompter une lumière dans le ciel nuageux bien « bouché » du village planétaire de la pensée occidentale. Ira-t-on jusqu’à avancer, comme le fait Nicolas Arpagian, ancien journaliste et expert en cybersécurité10, la fin de la presse écrite sous sa forme physique, rien ne l’empêche. Pourquoi ce fort relent de pessimisme ? Non par détestation de la technologie, bien au contraire. Pour Stiegler et d’autres le Pharmakon technologique formalisé dans la représentation des outils numériques, comme tout Pharmakon, pouvait laisser entrevoir des effets sociaux bienfaisants ou nourrir le jaillissement de pulsions destructrices, une nouvelle boite de Pandore contenant les maux de l’humanité. À ce stade, qu’ils soient blogs ou réseaux sociaux, ils imposent une nouvelle forme d’aporie, une fin de notre savoir dans ce domaine. En effet, la profusion de contenus, sous toutes ses formes écrites, sonores ou vidéos, engendre un racornissement, un affaiblissement de la pensée logique et rationnelle. Et malheureusement lorsque l’espace public offre en sacrifice la logique démonstrative aux démons du recours facile à l’émotion, que ce soit en se référant à la pensée de Le Bon ou à celle de Freud et d’autres comme Gramsci, la promesse d’un nouveau monde en cours d’apparition voit rarement surgir dans ce clair-obscur une image modérée et apaisante.

Jacky Isabello
Membre du comité éditorial de la Revue Politique et Parlementaire
Fondateur de l’agence de conseil en communication CORIOLINK

  1. Bernard Stiegler, La technique et le temps, La Faute d’Épiméthée, éd. Galilée, 1994. ↩
  2. Jacques Ellul, Le Système technicien, Calmann Levy, 1977, puis Cherche Midi, 2004. ↩
  3. Frédéric Martel, Maintream, enquête sur cette culture qui plaît à tout le monde, Flammarion, 2010. ↩
  4. Paul Nizan, Les chiens de garde, Rieder, Paris, 1932 ; Serge Halimi, Les nouveaux chiens de garde, Liber-Raisons d’agir, novembre 2005. ↩
  5. Cf. travaux de Claude E. Shannon et Warren Weaver et de Norbert Wiener ↩
  6. Yves Citton, L’Économie de l’attention. Nouvel horizon du capitalisme ?, La Découverte, 2014. ↩
  7. Une des définitions du concept de « Post-vérité ». ↩
  8. GAFAM – GAFAN : Google Apple Facebook Amazon – M = Microsoft – N=Netflix, BATHX : Baidu Alibaba Tencent Huawei Xiaomi ↩
  9. Le nouveau président américain Joe Biden engage l’annulation de la vente forcée de Tik Tok USA à Walmart/Oracle voulue par son prédécesseur. ↩
  10. Nicolas Arpagian, La Cybersécurité, Collection Que sais-je ?, PUF. ↩
Jacky Isabello

Jacky Isabello est le fondateur du Cabinet Parlez-moi d'Impact. Après deux ans au cabinet du ministre des PME Jean-Pierre Raffarin, il a fondé la première de ces quatre aventures entrepreneuriales. Il est co-auteur de trois ouvrages sur le travail et l'entrepreneuriat dont le dernier avec Thibault Lanxade : Il faut en finir avec la dictature du salariat. Officier de réserve de la Marine nationale, administrateur du think tank Synopia, Jacky Isabello est membre du comité éditorial et auteur régulier dans la Revue Politique et Parlementaire.

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