Avec un « Au-revoir » à 2020, chanté sur des airs énergiques et sans indulgence ou bienveillance aucune – et qui pourrait nous en vouloir ? – nous voilà en train d’écrire la préface du nouveau tome de la troisième décennie du XXIe siècle.
Avec un « Au-revoir » à 2020, chanté sur des airs énergiques et sans indulgence ou bienveillance aucune – et qui pourrait nous en vouloir ? – nous voilà en train d’écrire la préface du nouveau tome de la troisième décennie du XXIe siècle.