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dans N°1115, Politique

IA : sommes-nous prêts ?

Hervé Le JouanParHervé Le Jouan
24 décembre 2025
IA : sommes-nous prêts ?
Analyse

En quarante ans, l’humanité est passée du premier ordinateur portable à l’ère des intelligences artificielles génératives, bouleversant nos sociétés, nos métiers et nos vies quotidiennes. Après l’Internet, le mobile et le Cloud, l’IA s’impose comme la révolution la plus radicale, promettant de transformer nos façons d’apprendre, de travailler, de communiquer et même de penser. Mais derrière les prouesses techniques et les promesses d’efficacité, se profilent des enjeux immenses : dépendance accrue, impact anthropologique, consommation énergétique colossale et questionnements éthiques majeurs. Sommes-nous vraiment prêts à affronter ce futur qui arrive à une vitesse vertigineuse ?

DES RÉVOLUTIONS TECHNOLOGIQUES QUI ONT BOULEVERSÉ NOS SOCIÉTÉS

De par mon parcours, j’ai eu la chance d’être un acteur, aux États-Unis et en France, des quatre grandes révolutions technologiques de ces quarante dernières années : l’ordinateur portable, l’Internet, le mobile et maintenant l’IA générative. Révolutions qui se sont enchaînées à une vitesse sans précédent grâce aux progrès exponentiels des capacités des puces, du stockage de données de moins en moins cher, des réseaux fibres, satellites et mobile offrant des débits de plus en plus élevés, et l’avènement du Cloud. En quarante ans, nous sommes ainsi passés d’une technologie à usage personnel non connectée à une connexion permanente de plus de 6 milliards d’individus qui sont devenus des producteurs de contenu à tout moment et en tout lieu, bouleversant au passage une communication qui passait par des médias traditionnels tels que la télévision, la presse écrite et la radio.

Et les nouveaux maîtres de ce monde, appelés GAFAM aux États-Unis ou BATX en Chine, ont transformé les citoyens en « produits », leur offrant des services gratuits et addictifs en échange de leurs données les plus personnelles, ouvrant ainsi les portes d’une surveillance massive. Et ce ne sont pas les différentes régulations, nécessaires, qui ont ralenti ces évolutions.

Petit à petit, nos sociétés se sont transformées, profondément. Dans les organisations, nous avons découvert la « transformation numérique », majoritairement basée sur l’exploitation des données clients, internes et externes, en s’appuyant sur la puissance du Cloud. Ceci a bouleversé l’environnement de travail et impacté significativement la fonction et le rôle de chaque employé. Et notre mobile, initialement réservé à la téléphonie, s’est trans- formé en un outil puissant d’accès à des applications sociales, de communication, de rencontres, de jeux, d’e-commerce, de services bancaires ou administratifs ou de contenus en tout genre pour ne citer que ces applications ; tout a été mis en œuvre pour nous apporter « satisfaction » en quelques clics sans être dans une relation sociale et physique directe avec d’autres personnes. Le « social » est devenu numérique, entraînant insidieusement une dépendance accrue à ce mobile que nous tenons dans notre main, qualifié souvent comme le prolongement naturel de notre main… La période de confinement de la Covid-19 aura été à ce titre très instructive sur les bénéfices attendus de cette nouvelle société connectée permettant à chacun de continuer de travailler de chez soi, sans penser aux implications à la fois sociales, personnelles et professionnelles.

L’IA GÉNÉRATIVE : PROMESSE D’EFFICACITÉ OU MENACE EXISTENTIELLE ?

Alors que nous commençons à peine, faute de recul significatif, à prendre conscience des conséquences et bouleversements anthropologiques de cette transformation numérique, voilà qu’une nouvelle vague arrive, l’Intelligence artificielle générative – les LLM (Large Language Models) –, qui s’annonce très certainement comme la plus grande des révolutions numériques précitées. Ces LLMs, que ce soient ChatGPT (OpenAI), Gemini (Google), Claude (Anthropic), Grok (XAi), Mistral, DeepSeek ou Perplexity pour ne citer qu’eux, sont en train de remplacer et bouleverser tous nos fondamentaux : nous ne devons plus résoudre un problème mais poser et formuler correctement la ou les bonnes questions. Et la réponse vient en quelques secondes, remplaçant ce qui nous prenait auparavant des heures de travail ou de recherches.

Pourtant l’Intelligence artificielle ne date pas d’hier et fait partie intégrante de nos vies depuis près de vingt ans. C’est dans les années 40 et 50 que sont créés et modélisés via des mathématiques les premiers réseaux de neurones artificiels (Neural Networks) et modèles d’apprentissage (Machine Learning). Ces modèles et applications commenceront à se déployer dans des applications concrètes à grande échelle lorsque la puissance de calcul des machines, la capacité de collecte et stockage des données et les coûts associés seront alignés, ce qui sera rendu possible dès 2010. Et à partir de ce moment-là, entre autres, de nombreuses recherches et avancées dans la génétique et les biotechnologies seront menées grâce à l’IA par les fondateurs de Google ainsi qu’un certain nombre de multimilliardaires américains, qui entreront dans le transhumanisme et la quête de la vie éternelle. Une quête qu’il ne faut pas négliger lorsqu’on veut comprendre les motivations profondes qui se cachent derrière l’Intelligence artificielle générale. Cette idéologie est à l’origine de nombreuses recherches et technologies dont le but est d’augmenter les capacités humaines, de pallier des déficiences physiques ou mentales, de diagnostiquer et prévenir toute maladie et de développer des robots qui vont se substituer à l’humain dans de nombreuses tâches (cf. Neuralink, Tesla « Optimus », Boston Dynamics, …).

Pour ce qui est de l’Intelligence artificielle générative, l’histoire est plus récente mais s’appuie sur les mêmes concepts théoriques et mathématiques qui ont été améliorés au fil des ans. Aussi, la quantité de données utilisées pour l’apprentissage de ces modèles a bondi de façon exponentielle : elle se chiffre à plusieurs centaines de milliards de paramètres qui s’appuient sur quasiment toutes les données publiques disponibles au niveau mondial.

Et la plupart des acteurs nous prédisent à l’horizon 2030 une « Intelligence artificielle générale » qui surpassera toute intelligence humaine et sera l’accumulation de toute l’intelligence de l’humanité ; selon Sam Altman, président d’OpenAI, cette super intelligence aura un QI à brève échéance de 400 (le QI moyen des êtres humains étant de 100).

Nous avons du mal à imaginer ce que cela signifie et quelles seront les conséquences sur nos sociétés. Alors que de nombreuses études parlent de 80 à 90 % de nouveaux métiers que nous ne connaissons pas aujourd’hui, ce qui relève de la prédiction, il est intéressant de se pencher sur ce que les individus pensent de l’impact sur leur propre métier. Une étude publiée par le BCG en juin 2024 mentionnait que 49 % des utilisateurs réguliers pensaient que leur emploi pourrait disparaître au cours de la prochaine décennie à cause de l’IA. Voilà une statistique très intéressante et qui sonne comme une alerte sur une angoisse grandissante. Quelle sera-t-elle dans cinq ans ? 60 %, 70 %, plus ? Et nous ne parlons que des métiers du tertiaire. Mais parallèlement à cette IA générative, il y a les robots, eux-mêmes gonflés à l’IA. Attardons-nous sur Tesla : véhicules autonomes, robots taxi sans chauffeur, le robot humanoïde Optimus qui a été présenté en 2022. Via son Intelligence artificielle intégrée et ses « mains » qui sont au cœur de ses capacités extraordinaires, il est aujourd’hui, dans sa troisième version, capable d’effectuer près de 80 % des tâches manuelles que nous réalisons. Optimus a hérité de toutes les avancées de l’Intelligence artificielle déployée dans les voitures Tesla pour le monde réel et surtout des capacités de production à grande échelle de tous les éléments clés, comme les composants électriques et électroniques, les batteries, les structures et coques, etc. Ce qui permet à Elon Musk d’affirmer que Tesla pourra en produire quelques milliers d’ici la fin de l’année, des millions dans la prochaine décennie voire des milliards à terme. Il dit aussi qu’Optimus sera le plus grand produit de tous les temps et que rien ne s’en approchera. La commercialisation est prévue en fin d’année pour un prix compris entre 20 et 30 000 dollars.

Tout a été dit, écrit et décrit par ces quelques personnages, leurs sociétés et leurs projets respectifs dans les quinze dernières années, et pour autant, nous sommes-nous attelés à comprendre ce que cela pouvait bien vouloir dire et quels pourraient être les enjeux et conséquences pour nos sociétés ? A-t-on vraiment prêté l’attention nécessaire à ces évolutions au combien disruptives ? La réponse est bien évidemment négative. Pourquoi ? Parce que tous ces protagonistes travaillent dans le temps long, investissent massivement en prenant des risques avec des objectifs à dix, vingt voire cinquante ans. Et ils ont toujours un temps d’avance sur les politiques, structures étatiques et régulations en se déployant toujours plus vite auprès de centaines de millions d’utilisateurs.

UN FUTUR À INVENTER

Cette révolution de l’Intelligence artificielle va nous projeter dans un monde et une société que nous imaginons difficilement ou ne souhaitons pas imaginer, car si les auteurs de science-fiction nous ont souvent apporté une bonne projection de l’environnement dans lequel nous pourrions nous trouver demain, robots omniprésents, Intelligence artificielle dominante, surveillance totale, moyens de transports automatisés et volants, avatars et univers virtuels hyperréalistes, holo- grammes, etc., ils ne se sont pas ou peu penchés en détail sur tous les enjeux de cette révolution, qu’ils soient sociétaux, éthiques, philosophiques, politiques, énergétiques ou économiques.

Sommes-nous prêts ? Les comprenons-nous ? Sommes-nous acteurs ou spectateurs/utilisateurs ? Sommes-nous prêts à tout accepter ?

Nous devons reconnaître que nous ne sommes pas prêts car nos systèmes politiques, certainement occidentaux et plus particulièrement européens, sont dans un temps court, de même que nos sociétés, et ont du mal à reconnaître et anticiper des signaux qui apparaissent comme faibles au début, mais s’avèrent très impactant quelques années plus tard.

Impacts sociétaux pour commencer. Cette Intelligence artificielle va profondément transformer de nombreux pans de notre société à commencer par l’éducation, qui doit absolument intégrer cette nouvelle dimension où le discernement, l’esprit critique vont être des éléments clés. Cette Intelligence artificielle répond toujours avec beaucoup d’aplomb, laissant croire que la réponse est « vraie » et « complète », mais de très nombreux exemples démontrent au contraire la fausseté des informations rendues et/ou leur incomplétude : on appelle cela les hallucinations et les biais. Il faut souvent être un expert du domaine pour démasquer ces problèmes qui seront acceptés par la majorité des utilisateurs, faute de recul et discernement. En fait, une partie du temps gagné grâce à ces applications devrait être utilisée pour valider et/ ou remettre en question les réponses à nos questions.

Et cette éducation doit commencer dès le plus jeune âge et se poursuivre dans les entreprises. Avec ce nouveau paradigme qu’il faut savoir poser le problème mais non pas le résoudre. L’opposé de ce qu’on nous enseigne depuis la nuit des temps.

Dans le monde professionnel, tous les métiers seront impactés, même ceux manuels. L’IA va être dans le meilleur des cas un super assistant et permettre de se consacrer à des tâches à plus forte valeur et plus intéressante plutôt qu’à des tâches répétitives ou physiquement difficiles, mais dans le cas le plus défavorable, un remplaçant total de l’humain. Par exemple, posons-nous la question si dans vingt ou trente ans, il n’existera pas des banques 100 % numériques, entièrement pilotées par des IA ? Utopique ? pas si sûr.

Quelles seront les conséquences ? Allons-nous vers une société où le « travail » sera majoritairement effectué par des IA et des robots ? N’oublions pas que le revenu minimum universel a des origines en Silicon Valley, dont certains pouvaient anticiper que de nombreuses personnes de ce monde ne travailleraient plus dans le futur. Et ces IA seront-elles toujours sous le contrôle des humains ? Nous devons nous en assurer sous peine de revenir à une nouvelle forme d’esclavagisme.

Et tout cela, s’il fallait le répéter, demande et va demander une énergie phénoménale. L’Agence internationale de l’énergie a ainsi estimé dans un rapport récent que l’économie américaine est en route pour consommer plus d’électricité en 2030 pour ses centres de données que pour toute sa production manufacturière, incluant celle des métaux comme l’aluminium. En février, Goldman Sachs a publié un rapport indiquant que la demande d’énergie pour les centres de données devrait augmenter de 50 % en 2027 par rapport à 2024 et de 165 % à l’horizon 2030, cette augmentation étant principalement due à l’IA générative. Et une étude conduite par Morgan Stanley a projeté qu’en 2030, les centres de données émettraient près de 2,5 milliards de tonnes de gaz à effet de serre en équivalent CO2… À titre de comparaison, l’Agence européenne pour l’environnement a estimé que l’Union européenne avait émis 3 milliards de tonnes de gaz à effet de serre en équivalent CO2 en 2023. Cela donne une idée des enjeux à venir.

Il ne faut pas négliger d’autres aspects qui sont tout aussi critiques dans cette transformation :

  • la consommation d’eau pour refroidir les processeurs utilisés pour faire fonctionner ces IA. Ainsi, pour chaque kilowattheure d’énergie consommé par un centre de données, on estime à 2 litres d’eau nécessaires pour son refroidissement. Je vous laisse faire le calcul quand on parle de terawatts… Ceci a et aura forcément un impact négatif sur la biodiversité.
  • Autres points, l’utilisation de terres rares et de procédés chimiques toxiques pour fabriquer les processeurs de type GPU, nécessaires à l’exploitation de l’IA (cf. Nvidia) et l’énergie nécessaire pour leur fabrication.

Et dès lors, nous entrons dans des questions philosophiques et éthiques sur le rôle de ces IA, leur niveau de contrôle sur. les humains, leur impact sur notre terre, leurs décisions basées uniquement sur des données et dénuées de toute humanité : ne dit-on pas déjà que l’IA pourrait remplacer les avocats, les juges, les médecins et d’autres professions ? En Chine, une société a nommé une IA comme PDG : disponible 24/24, 7/7, pas de sentiments ni de doutes… et si nous poussons plus loin, une IA pourrait prendre le rôle des politiques et nous aboutirions peut-être à 1984 de George Orwell. Ne négligeons pas ces aspects de contrôle des populations et des peuples qui pourraient satisfaire une élite qui se rêverait l’égal de Dieu.

Hervé LE JOUAN
Strategic Advisor, Cybersécurité & IA

Hervé Le Jouan

Hervé est un entrepreneur passionné et un leader reconnu dans les nouvelles technologies depuis les années 90. Il possède un mélange unique de compétences en technologie, en affaires et en management. Depuis lors, il a rejoint, co-fondé ou fondé des entreprises ou des organisations pour lancer et piloter des innovations de marchés globalement (Europe, US, Aise) dans divers secteurs tels que la cyber sécurité, la protection des données, la mesure des médias numériques, la transformation numérique et le marketing mobile. Aussi, L'une des sociétés qu'il a cofondées et dirigées, NetValue, a été listée sur le Nouveau marché en 2000 et atteint le statut de Licorne. En tant que pionnier de la technologie et du marché, Hervé a plus d'une douzaine de brevets à son nom démontrant sa capacité à anticiper les prochains produits et technologies. La dernière entreprise qu'il a fondée en 2010 et dirigée jusqu'à très récemment, Privowny, a développé une suite unique de solutions dans le domaine de la protection et de la sécurité des données, anticipant de plusieurs années les exigences du RGPD. En tant que leader charismatique doté d'une vision stratégique, il a su constituer, faire grandir et diriger les meilleures équipes en matière de conception, de développement et de distribution mondiale de produits. Il a scellé de multiples partenariats stratégiques avec de grands groupes internationaux, a présidé la Mobile Marketing Association EMEA et été un Advisor du European Digital Forum. Depuis la vente de sa dernière société, Privowny, en juin 2021, Il accompagne et suit plusieurs entreprises dans le domaine de la cybersécurité (Chiffrement homomorphique, protection des environnements de développement, des sites web, certificats, e-Signature, etc …) ainsi que des sociétés dans le domaine de l’IA transparente et l’IA générative. Aussi, Il intervient depuis 2021 aux Forum Incyber (ex FIC) de Lille et de Montreal (https://www.forum-fic.com/) sur des sujets liés à la stratégie des COMEX/Board sur la cybers sécurité, au « Trust & Safety » (membre du comité de programme pour l’édition de Mars 2024) et aux implications de l’IA sur la désinformation et l’éthique. Depuis 2019, il tient une rubrique mensuelle sur Bsmart TV « Smart Tech » sur les sujets de protection de données personnelles et cyber sécurité (https://www.bsmart.fr/emissions/smart-tech). Enfin et surtout, Hervé, en tant que personne, a un très fort sens de l'humanité qui lui donne une capacité à reconnaître et à faire ressortir le meilleur potentiel de chaque personne, en combinaison avec un sens aigu de l'éthique et de la résilience.

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