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dans International, N° 1077, Politique

George Friedman, les Etats-Unis et l’Europe

ParJean-Claude Empereur
29 février 2016
George Friedman, les Etats-Unis et l’Europe

Face à la crise de souveraineté et d’identité qui affecte l’Union européenne, il n’est pas inutile d’analyser le regard que portent certains géopolitologues américains sur cette situation. George Friedman exprime son pessimisme et surtout sa méfiance à l’égard d’une construction dont il considère qu’elle est devenue dangereuse pour l’équilibre du monde.

 George Friedman, spécialiste reconnu de la prospective, président de Stratfor, société qui se consacre à l’analyse géostratégique et à l’intelligence économique, souvent qualifiée de “CIA bis”, est proche des milieux dirigeants américains. Il peut être ainsi considéré comme très représentatif de la pensée géopolitique dominante à Washington, qu’il s’agisse des cercles dirigeants “visibles” comme de ceux du “deep-state” et du complexe militaro-industriel, qu’ils soient Républicains ou Démocrates.

Son dernier livre : “Flashpoints. The emerging crisis in Europe” est non seulement une analyse plus que critique, voire même brutale, de la situation sur le vieux continent, mais surtout une mise en garde des dangers potentiels que représente, pour le reste du monde et surtout pour les États-Unis, une Union européenne à la dérive.

Son point de vue  peut se résumer de la manière suivante :

  • L’Union européenne a échoué,
  • La “question allemande” est de retour,
  • L’Eurasie est un cauchemar géopolitique pour les États-Unis.

L’effondrement du système européen selon George Friedman

D’emblée, et pour mieux mettre en évidence l’ambiguïté initiale du projet européen, George Friedman considère que l’on a trop tendance à oublier le rôle essentiel joué, dès l’origine, par les États-Unis dans une construction destinée essentiellement à contrer la menace soviétique.  Cette origine, assez éloignée du récit officiel, explique et justifie, selon lui, la parfaite et nécessaire consanguinité entre l’OTAN et l’UE, la seconde n’étant ni plus ni moins, dans cette perspective atlantiste, que la façade économique de l’autre.

Dès sa création, surtout depuis le traité de Maastricht et jusqu’en 2008, l’Europe était devenue une puissance industrielle mais surtout commerciale florissante, l’interdépendance économique des États et des entreprises garantissant apparemment paix et prospérité.

Soixante ans plus tard, George Friedman constate, non sans une certaine “shadenfreude”, que ce double objectif de paix et de prospérité n’a pas été atteint. La crise économique et financière ne cesse de s’étendre et la menace de conflits traditionnels ou identitaires plane tant à l’intérieur qu’aux frontières de l’Europe.

C’est précisément la multiplication de ces zones de conflits : “flashpoints”, en cours ou potentiels, qui, pour l’auteur, sont la marque congénitale de l’Europe. Livrés à eux-mêmes, les Européens sont dans l’incapacité de s’entendre.  La cons­truction européenne a pu faire un moment illusion, mais le tragique de l’histoire a repris ses droits.

Les Européens ne changeront jamais. Dès que se profile une crise majeure, leurs vieux penchants les reprennent. Aucun système institutionnel européen n’a réussi à enrayer ce mouvement, l’Union européenne pas plus que les autres.

Incapables de  se contrôler eux-mêmes, au risque de déchaîner une nouvelle guerre mondiale, ils ne peuvent que se soumettre à une puissance extérieure.

“Les Européens ont su conquérir le monde mais se sont montrés incapables de se conquérir eux-mêmes”.

Pour George Friedman le point tournant de l’histoire se situe  en 2008, année d’une double crise : d’abord militaire en Géorgie, économique ensuite avec la chute de Lehman Brothers. Sur le moment le lien entre ces deux événements pivots  ne fut pas remarqué. Le premier d’entre eux montrait que les relations entre la Russie et l’Europe venaient de prendre brutalement un tour nouveau et que la guerre pouvait ressurgir à tout moment sur le continent, comme devait le montrer, par la suite, le conflit en Ukraine. Le  second, quant à lui, en marquant le début d’une crise économique profonde, mettait en évidence la fragilité de l’Union européenne, fragilité que les discours incantatoires de ses dirigeants avaient réussi à masquer jusqu’alors.

Dès que les difficultés apparurent, devant la sidération et la paralysie des institutions européennes, les États ont repris les commandes, divergences et antagonismes se sont donnés libre cours. Les institutions européennes ont révélé alors leurs faiblesses et le moteur franco-allemand a cessé de fonctionner correctement.

Le retour de la “question allemande”

La réconciliation franco-allemande, à condition d’être équilibrée et soigneusement contrôlée, a toujours été, pour les Anglo-saxons, le principe fondateur de la construction européenne.

Flashpoints
Flashpoints

Aujourd’hui l’équilibre est rompu et le contrôle de plus en plus incertain. La réunification a rendu à l’Allemagne sa place centrale en Europe. Grâce à une politique économique tournée vers l’exportation, appuyée sur une monnaie unique qui n’est autre qu’un mark déguisé et une Banque centrale européenne copie conforme de la Bundesbank, la République fédérale s’est imposée comme puissance économique dominante, dictant sans trop d’égards ni de scrupules, à son seul profit, ses orientations ordo-libérales et mercantilistes à l’ensemble de l’Union, sous prétexte de bonne gouvernance.

Pour le président de Stratfor le divorce entre l’Allemagne et la France est consommé de manière quasi irréversible. Les voies et les choix économiques et stratégiques divergent déjà, l’Allemagne se tournant vers l’Est et la France vers le Sud.

Mais notre auteur va beaucoup plus loin. Il pense que ce pivot oriental, conforme à l’histoire et aux tropismes allemands, n’est qu’un début. Il est l’expression d’une volonté de se débarrasser des contrôles, de l’état de soumission et de souveraineté limitée qui est imposé à l’Allemagne depuis la fin de la guerre. Dans cette pers­pective l’Allemagne constitue une menace, Personne ne peut prévoir, selon lui, dans quel chemin va s’enga­ger ce pays, au cours des vingt prochaines années, s’il est livré à lui-même.

La “Question allemande”, formulation qui, dans l’histoire, a toujours exprimé vis-à-vis de nos voisins une interrogation anxieuse, serait-elle de retour ?

Mais pour George Friedman le pire est encore à venir si les Allemands, libérés de leurs liens étroits avec la France et par la même d’une Union européenne en si­tuation d’échec, se tournent, comme leur passé les y invite, vers la Russie.

L’obsession eurasienne : un cauchemar géopolitique

On sait depuis Tocqueville que l’affrontement entre l’Amérique et la Russie fait partie des grands mythes de l’histoire.

Pour certains, le caractère inévitable de cet affrontement a été théorisé dès 1904 par Hartford Mackinder dans sa conférence à la Royal Geographical Society de Londres. Cette conférence, reprise ultérieurement dans un simple article de douze pages, résume encore aujourd’hui les orientations de la politique améri­caine en mettant en évidence l’opposition absolue entre une Amérique appuyée sur la maîtrise intégrale des océans et une Russie retranchée dans “l’île du monde” cœur du système continental eurasiatique et “pivot géographique de l’histoire”.

Pour Friedman le rapprochement de la nouvelle Allemagne et de la Russie éternelle en rendant inévitable la constitution d’un ensemble continental gigantesque peuplé de plus de sept cent millions d’habitants, aux immenses ressources naturelles, à la profondeur stratégique iné­galée, en continuité et en contiguïté avec  la Chine, l’Inde et le monde musulman est inacceptable.

Ce rapprochement, s’il devait se confirmer dans les vingt ans à venir, constituerait pour les États-Unis, un véritable cauchemar géopolitique en même temps qu’une me­nace majeure, mettant en cause une hégémonie considérée comme non négociable.

Dans ces conditions, tout, absolument tout, doit être mis en œuvre pour en empêcher la réalisation.

C’est ainsi que l’intégration de l’Ukraine à l’Union européenne, en réalité à l’OTAN, constitue un enjeu majeur et prend tout son sens. Dans cette logique, le conflit doit être mené jusqu’à son terme afin de positionner les armées de l’OTAN jusqu’aux frontières de la Russie et ceci “pour des décennies”…

Bien au-delà du simple endiguement de la guerre froide “containment”, c’est d’une stratégie de refoulement pur et simple “roll back” dont il s’agit. Cette stratégie fait ainsi entrer subrepticement les États-Unis dans l’ “étran­ger proche” de la Russie, en plaçant de facto cette zone périphérique, à laquelle elle est très attachée, pour sa sécurité, sous contrôle américain. L’étape suivan­te est d’utiliser, dans la ligne de ce que préconise Zbigniew Brzezinski dans le “Grand échiquier”, l’Ukraine comme bélier géostratégique pour disloquer ensuite la Fédération de Russie.

Au cours d’une conférence donnée au Chicago Council for Global Affairs, George Friedman, à l’occasion de la sortie de son livre, n’a pas hésité à envisager le retour de la guerre froide voire même la possibilité d’un conflit préventif avec la Russie. “Si l’on veut éviter qu’une flotte constitue une menace il faut empêcher sa construction avant qu’il ne soit trop tard”, précise-t-il.

Nous voilà dûment avertis…

Europe/Etats-Unis, des malentendus aux divergences transatlantiques

On est loin de la vision kissingérienne du réalisme diplomatique et de l’équilibre des puissances. Conscient des risques insensés que fait courir au monde cette politique agressive et invasive, l’ancien secrétaire d’État Henry Kissinger a déclaré, dans une interview accordée au New York Times au début de l’année 2015 à propos du conflit en Ukraine : “ Je pense qu’une reprise de la guerre froide serait une tragédie historique”.

Il est clair que la brutalité – le mot n’est pas trop fort – de l’analyse de Friedman s’apparente plus à de la provocation qu’à de la diplomatie.

De ce point de vue, on se souvient des propos, méprisants, peu diplomatiques, pour ne pas dire plus, de Victoria Nuland, assistante au secrétariat d’État américain pour les Affaires européennes et eurasiennes, interceptés lors d’un entretien téléphonique avec l’ambassadeur des États-Unis à Kiev : “we F… the European Union”. Ce langage d’une diplo­mate chevronnée, très liée aux milieux néo-conservateurs, (son mari n’est autre que Robert Kagan, l’un des fondateurs du “Project for a New American Century”) sont très représentatifs de cette tendance provocatrice et jusqu’auboutiste faisant peu de cas des intérêts de l’Union européenne.

S’agissant des rapports euro-atlantiques et de l’évolution de la construction européenne, on aurait tort de ne pas tenir compte de l’analyse de George Friedman et de ne pas en tirer un certain nombre de leçons pour l’avenir, ceci pour au moins deux raisons :

  • La première c’est qu’elle n’est pas toujours dépourvue de sens, en ce qu’elle met en lumière les divergences d’intérêts aiguisés par la crise, entre les États membres de l’Union européenne.
  • La seconde vient, compte tenu de l’appartenance de son auteur aux cercles du pouvoir, de son caractère potentiellement auto réalisatrice.

Drapeau européen

Il ne faut pas se bercer d’illusions, cette analyse, partagée par la plupart des milieux dirigeants de Washington, qui rappelons le sont souvent les commanditaires de Stratfor, dénie à l’Union européenne toute possibilité d’indépendance politique économique ou militaire. Car du fait de l’impossibilité supposée des res­ponsables politiques européens de maîtriser leurs conflictualités latentes, tout désir d’indépendance de leur part est perçue comme un risque et une menace permanente pour la paix et la sécurité des États-Unis.

Friedman insiste sur le fait que les États-Unis doivent continuer à contrôler sans partage les océans et l’espace, il pourrait ajouter le numérique et le big data, car c’est le socle de leur puissance.

Devant les risques que présentent, selon lui, l’irres­ponsabilité et l’incontrôlabilité européenne, et le double échec de l’intégration économique et militaire de l’Europe, deux solutions s’imposent : le renforcement et l’extension de l’OTAN, la mise en œuvre du Grand Marché Transatlantique, deux instruments de vassalisation de l’Union.

Il est clair que les Européens font de moins en moins confiance à leurs institutions pour faire face aux problèmes du moment.

Aveuglés par une vision irénique de la mondialisation, dépourvus, à la différence de tous les autres acteurs mondiaux, de la moindre vision géopolitique et plongés dans un état de sidération depuis le début d’une crise sans fin, ils auront du mal à résister à ce double arraisonnement s’ils ne prennent pas rapidement un certain nombre de mesures de rupture.

Les plus urgentes mais aussi les plus difficiles à mettre en œuvre devraient être les suivantes :

Solidarité, puissance, identité, souveraineté

Refonder le projet européen sur quatre concepts  intimement liés entre eux : solidarité, puissance, identité et souveraineté. La crise a mis à mal, depuis longtemps, les impératifs de solidarité et de puissance, les faisant passer imprudemment derrière les contraintes techniques et comptables de “gouvernance” budgétaire.

Les crises migratoires et la perspective de leur amplification posent le problème de l’existence et de l’identité d’un peuple européen. Cette incertitude identitaire est à l’origine de bien des difficultés présentes.

Enfin le retour à la multipolarité du monde et le développement d’une compétition acharnée entre ses différents acteurs mettent en évidence l’exigence fondamentale de souveraineté.

En effet, malgré les discours iréniques sur la mondialisation et l’érosion des États-nations, la souveraineté reste le marqueur central de la réalité d’un pouvoir. Or la construction européenne a consisté, sous prétexte de gradualisme, à installer, sous couvert du principe anesthésiant de subsidiarité, un système très coercitif, de transfert/neutralisation insidieux de la souveraineté des États membres, au profit d’une Union, incapable de construire, en retour, à son niveau une souveraineté européenne authentique. Ce système d’aspiration/annihilation, dont l’extrême nocivité apparaît maintenant au grand jour, du fait des multiples crises existentielles qui assaillent l’Europe, a mis en péril sa défense, et explique dans une large mesure son incapacité à forger une politique dans ce domaine.

La refondation des institutions européen­nes commande le retour au principe, plus souple, d’un “Concert européen de souverainetés nationales”.

Ce double refus impolitique et névrotique de l’identité et de la souveraineté condamne, s’il n’est pas surmonté rapidement, l’Europe à sortir de l’histoire.

Pour une Europe des grands espaces

Construire et renforcer le partenariat Euro-Russe, l’Union européenne l’avait un moment envisagé, puis abandonné sous la pression anglo-saxonne.

Il est temps de le relancer, dans une pers­pective d’équilibre entre le monde atlantique océanique et le monde asiatique continental.

Seul, en effet, ce partenariat s’appuyant sur un lien tripartite équilibré et complémentaire entre Paris, Berlin et Moscou est capable d’offrir au projet européen une réelle puissance en accordant à celui-ci la possibilité de :

  • développer de grands projets industriels et technologiques, en particulier, dans l’espace et le numérique,
  • lui donner accès à des ressources naturelles considérables,
  • le doter enfin d’une véritable profondeur stratégique allant bien au-delà de ce que George Friedman appelle “ l’Europe péninsulaire”. Cette con­vergence entre les trois pays s’est manifestée, avec succès, au cours des dernières années dans des situations très critiques, la guerre en Irak en 2003 et le conflit en Ukraine avec les accords de Minsk II en 2015.

Rupture avec la stratégie d’encerclement issue de la guerre froide

Se dégager de l’endiguement “Mackinderien” qui oppose depuis plus d’un siècle l’ensemble eurasiatique au reste du monde pour le seul bénéfice de l’hégémonie américaine en recherchant des alliances avec les puissances émergentes et notamment les BRICS. De ce point de vue une attention toute particulière doit être accordée non seulement au monde méditerranéen mais surtout à l’Afrique, le plus proche voisin de l’Europe, dont l’évolution démographique, récemment rappelée par un rapport de l’ONU, va déterminer, pour une part, l’équilibre du monde dans les prochaines décennies : 2,4 milliards d’habitants en 2050 et 4,4 milliards en 2100. Le refus de voir les conséquences géopolitiques de cette situation, s’il persistait, est gros d’énormes difficultés à terme très rapproché.

Reste à savoir s’il existe aujourd’hui une opinion publique européenne prête à entendre ce message et des hommes politiques “grand format”, pour reprendre la formule de Thomas Mann, capables de les guider dans cette voie.

Jean-Claude Empereur, haut fonctionnaire honoraire, ancien président de sociétés

Photo : Luc Van Braekel/Wikimedia Commons

Jean-Claude Empereur

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