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dans N°1091, Politique

La crise de la conscience européenne et le progrès

Eduardo Rihan CypelParEduardo Rihan Cypel
26 juillet 2019
La crise de la conscience européenne et le progrès

L’Europe est à un tournant de son histoire. Depuis le vote britannique sur le Brexit, l’implosion frappe aux portes de l’Union européenne. Les résultats des élections au Parlement européen du 26 mai dernier confirment l’état de vulnérabilité critique de l’Union. Les votes en faveur des forces populistes, nationalistes et souverainistes n’ont jamais été aussi importants, installant davantage l’idée que la construction politique supra-nationale la plus avancée au monde est si fragile qu’elle peut se briser à tout moment.

Bruxelles : une technocratie désincarnée

Des différences de niveau et d’intensité existent, certes, selon les pays. Mais la réalité est là : l’Europe inquiète les peuples du continent. Elle ne représente plus, à leurs yeux, une garantie de prospérité, de bien-être et de sécurité pour tous dans la durée. Un doute s’est installé. Des pans entiers de nos concitoyens européens sont touchés par le désenchantement quand ce n’est pas par la désillusion ou, pire, par le rejet définitif à l’égard de la construction européenne.

Cette situation vient de loin. Et les analyses socio-politiques ne manquent pas pour décrire le moment présent et expliquer les résultats des élections en France comme dans toute l’Europe.

Dès le référendum sur le traité de Maastricht en 1992, il était possible de percevoir les grandes lignes de la fracture aujourd’hui à l’œuvre ; elles étaient lisibles dans toutes les enquêtes, notamment qualitatives, de l’époque : intérêts des élites opposés à ceux des peuples, sentiment d’insécurité sociale et culturelle, demande de protection, crainte d’une mondialisation qui détruit la singularité des pays… Rien de nouveau donc sous le soleil européen. Ces deux dernières décennies nous n’avons vu que la progression de ce délitement sur fond de globalisation accrue et d’ajustement quasi sans faille au paradigme de la dérégulation néo-libérale du continent désorganisant et abîmant les principaux équilibres sociaux construits dans toutes les démocraties libérales européennes après la Seconde Guerre mondiale, au point qu’en 2005 les Français et les Néerlandais ont nettement rejeté le Traité constitutionnel européen avec respectivement 54,87 % et 61,54 % pour le non.

La défiance à l’égard de Bruxelles était alors à son paroxysme. La crise financière de 2008 est venue aggraver la situation en révélant une Union européenne incapable d’agir (et au mieux en retard), absolument pas préparée à jouer le rôle, pourtant attendu, de régulateur-protecteur à même de juguler le monde de la techno-finance et de préserver la vie de ses concitoyens, leur bien-être économique et social collectif. Dans l’esprit des gens, dans leur perception intérieure et profonde, les institutions de l’Europe ont davantage « sauvé les banques que leurs vies ».

Bruxelles est devenue le synonyme d’une technocratie désincarnée travaillant pour les intérêts des seuls puissants et des gagnants de la mondialisation.

Comment l’Union européenne en est-elle arrivée là ? Qu’est-ce qui a présidé à un tel processus sur le continent ? Pourquoi l’Europe a pris ce chemin plutôt qu’un autre ?

Une crise du sens

La littérature est abondante pour expliquer les raisons de cette défiance – qui peut conduire à la rupture définitive – à l’égard des institutions de l’Union européenne. Beaucoup a été dit et écrit pour relever l’incapacité de l’Europe à réduire les inégalités du continent, à créer de la croissance et des emplois pour tous, en somme à protéger ses concitoyens des méfaits de la globalisation en bâtissant un chemin vertueux de progrès humain partagé par tous les Européens. Si la production critique est importante sur les plans politique, économique et social, elle l’est bien moins sur celui de la compréhension du paradigme qui met à l’œuvre ce processus, et qui le fonde. Derrière toute politique, il y a une rationalité qui la porte, une philosophie, c’est-à-dire une vision du monde. Elle est explicite ou implicite, consciente ou inconsciente. Mais elle existe et est opérante, elle structure les comportements et les idées des acteurs en jeu.

Nous vivons une crise de la conscience européenne. C’est une crise du sens.

L’Europe ne sait plus quel est son but profond, sa tâche historique en tant que civilisation.

Nous ne savons plus ce qu’il nous incombe de réaliser à l’aube du premier quart de ce XXIe siècle naissant. Quel monde voulons-nous ? Quelle société souhaitons-nous construire ? Comment voulons-nous vivre ensemble ? Quelles valeurs portons-nous ? Pourquoi (et pour quoi) faire ? La paix ? La prospérité ? La liberté et la démocratie ? Certes. Mais cela est vague et précisément ce sont sur ces valeurs générales, voire abstraites, que nous calons et n’arrivons pas à produire un projet concret, crédible et mobilisateur pour nos concitoyens, un projet capable de relancer une espérance réaliste pour les peuples du continent.

La crise du sens et de la conscience européenne se niche là : dans le doute de nos concitoyens quant à la vitalité et à la crédibilité du modèle européen pour relever les défis du futur sur la base des valeurs fondatrices de la construction européenne.

L’Europe, mais plus largement le monde occidental dans son ensemble, subissent une crise de sens sans précédent. Elle ne date pas d’aujourd’hui. Cette crise du sens est une perte de sens, un effacement, un oubli, sans doute un refoulement du sens inhérent à la conscience européenne. C’est une crise de la Raison. Comme si la rationalité à l’œuvre dans l’Histoire, au travers des femmes et des hommes qui l’incarnent, s’était détachée du sens qui la constitue pour dévier de façon unilatérale vers un seul de ses facteurs : sa puissance de calcul. C’est le règne de la Raison technique, une sorte de rationalité technocratique, une Raison purement calculatrice, capable d’objectiver le monde en chiffres, en nombres ou en algorithmes, d’une puissance de calcul jamais atteinte dans l’histoire de l’Humanité mais incapable de saisir la vie telle qu’elle se déploie dans le réel, de comprendre l’humain dans sa dimension humaine, sans le réduire à une objectivation formelle, purement mathématisable (mathésis).

Le règne de la raison technique

Calquée sur le modèle de l’ordinateur, nous vivons l’ère de la Raison algorithmique. Une sorte de Techno-Logos qui réduit tout ce qui existe à des datas. C’est une Raison déshumanisée, sapée de sa substance propre, coupée de ce que le philosophe allemand Husserl nommait au début des années 1930 « le monde de la vie » (Lebenswelt). Le père de la phénoménologie avait à cœur et à l’esprit, en pleine montée du nazisme en Allemagne, de comprendre les causes de cette déviation du Logos vers une Raison positiviste, enveloppée dans un paradigme hérité de la science nouvelle, née avec Galilée et Descartes au XVIIe siècle, et qui est une réussite incontestable au plan de l’efficience des sciences de la nature.

Ce positivisme est redevenu l’esprit dominant à notre époque mais à l’aune de la révolution numérique et de l’intelligence artificielle qui reproduisent aujourd’hui, en les amplifiant, la vision d’Auguste Comte au cœur du XIXe siècle. Une vision qui réduit le réel, essentiellement le vivant et l’humain, donc le sens, à des données, à des datas, au sens où l’entendait Émile Durkheim dans les Règles de la méthode sociologique (1895) : à des faits. C’est ici que se situe la perte de sens. Les faits sont factuels, les datas des données ; ils n’ont pas de sens propre inhérent, en-soi. Priorité est donnée à la technique sur le sens. D’où la domination de l’esprit technocratique qui régit, surplombe et irrigue la vie politique dans le monde européen et occidental.

Le déracinement européen est celui du sens. Cette Raison technique n’est pas susceptible de comprendre ni d’appréhender le « monde de la vie », l’humain en mouvement dans sa dimension spécifiquement humaine. D’une certaine façon, la crise des « gilets jaunes » qui secoue la France depuis plus de six mois est une expression, un symptôme, de cette impasse du politique – et du Techno-Logos qui le porte – à saisir la vie des gens et d’y répondre de manière adéquate. Quand on entend les expressions « sentiment d’abandon », « éloignement », « rejet des élites », « refus des décisions technocratiques, venues d’en haut », « absence de proximité », « peur de la mondialisation », « crainte du déclassement », « on est réduit à du chiffre », « en finir avec la bureaucratie », « refus de l’uniformisation », on entend précisément, en creux, une critique tacite de cette Raison technique et un appel de détresse pour un retour au sens, celui d’une vie digne et humaine, conformément aux idéaux Humanistes et des Lumières, avant que celles-ci ne prennent le chemin de la réduction
positiviste
.

Lorsque le Logos hérité des Grecs dévie vers cet écueil de la pure puissance techno-cognitive de la mathématisation du monde, la perte du sens engendre populismes, nationalismes et démagogismes.

Le populisme se niche à l’endroit même où le sens fait défaut sans y apporter un remède. À la perte de sens, le populiste lui substitue un recul du sens. Il enferme la Raison et la possibilité de progrès humain qu’elle porte vers une illusion : celle d’un retour au sens par un bond en arrière aussi fantaisiste que dangereux. Le populisme est enfanté par la perte de sens, il est son négatif politique, son démon.

Cette critique avait été aussi opérée par Max Horkheimer et Theodor W. Adorno en 1944 dans un livre célèbre, désormais classique, La dialectique de la Raison (Tel, Gallimard). Les deux fondateurs de l’École de Francfort, s’appuyant davantage sur les pensées de Hegel et de Marx, mais aussi sur celle de Freud et de la psychanalyse, font la critique d’une Raison réduite à son seul penchant technique dont l’essence est la domination positive de la nature mais aussi de la société, et donc une domination des Hommes par des Hommes. Une Raison qui depuis les Lumières a perdu son sens unificateur et s’est laissée conduire vers l’unique maîtrise et possession de la nature (Descartes), une Raison devenue en quelque sorte irrationnelle, une Raison puissance mais sans but humain bien défini, une Raison conduisant à un progrès dont la capacité de destruction devient de plus en plus importante. 

Ces penseurs ont vu de près la montée du nazisme et l’avènement de la Seconde Guerre mondiale et la réalité indicible de la Shoah. La question pour Horkheimer et Adorno était de savoir comment la connaissance et la science ont-elles pu être orientées par tout une société, un pays, un État vers la destruction et la mort. Comment cette Raison techno-positive peut-elle se combiner avec une pulsion morbide ? La puissance scientifique, technique et industrielle de l’Allemagne nazie servait des buts totalement irrationnels. Quelle est donc la nature de cette Raison héritée des Lumières, d’une efficience scientifique et technique inégalée dans l’histoire de l’Humanité, qui permet de comprendre et de maîtriser les phénomènes naturels et qui a dévié au service du régime nazi ? Comment l’idéologie du progrès peut-elle conduire à la destruction pure plutôt qu’au développement humain ? Comment l’expliquer ?

Ce négatif de la Raison est de nouveau le principal défi de la civilisation européenne. Nous sommes de nouveau entrés – en étions-nous sortis ? – dans un paradigme de la Raison technocratique incapable de renouer avec le sens d’une Humanité pleine et entière, réconciliée avec elle-même. « De pures sciences positives font des hommes purement positifs », écrivait Husserl en 1934 dans La crise de l’humanité européenne et la philosophie, texte manifeste d’un honnête homme profondément humaniste, inquiet du chemin dans lequel son Vieux continent était en train de glisser irrémédiablement. Pour Husserl, il n’y avait pas d’autre solution que de rompre avec le positivisme de la Raison strictement calculatrice. Comme lui, nous affirmons qu’il est urgent de retrouver le chemin du sens sans lequel il n’y pas d’humanité possible, sans lequel la civilisation européenne est privée de substance.

Dans un cri en forme d’appel héroïque au redressement de l’humanité européenne, Husserl conclut son manifeste de 1934 par ces mots d’une ouverture dont la résonance est si actuelle pour nos oreilles contemporaines : « La crise de l’existence européenne n’a que deux issues : soit la décadence de l’Europe devenant étrangère à son propre sens vital et rationnel, la chute dans l’hostilité à l’esprit et dans la barbarie ; soit la renaissance de l’Europe à partir de l’esprit de la philosophie, grâce à un héroïsme de la raison qui surmonte définitivement le naturalisme. Le plus grand danger pour l’Europe est la lassitude. Luttons avec tout notre zèle contre ce danger des dangers, en bons Européens que n’effraye pas même un combat infini et, de l’embrasement anéantissant de l’incroyance, du feu se consumant du désespoir devant la mission humanitaire de l’Occident, des cendres de la grande lassitude, le phénix d’une intériorité de vie et d’une spiritualité nouvelles ressuscitera, gage d’un avenir humain grand et lointain : car seul l’esprit est immortel. »

Que faire ? Comment pouvons-nous, aujourd’hui, reprendre le flambeau d’une telle quête de sens pour une authentique Renaissance européenne ?

Retrouver une raison augmentée

Les défis devant nous sont d’une ampleur inédite. Nous vivons un choc de civilisation avec des ruptures scientifiques et technologiques majeures, incomparables dans l’histoire de l’humanité. Les mutations du numérique, de l’intelligence artificielle et des sciences du vivant nous conduisent vers un monde où la tentation transhumaniste guette. Le défi écologique avec son cortège de possibilités cataclysmiques pour les êtres vivants – et donc l’humanité elle-même – n’a jamais été aussi réel et actuel. L’humanité saura-t-elle survivre ? Et si elle survit, saura-t-elle le faire en évitant le tragique de l’histoire ?

Si le déracinement est celui du sens, alors l’enracinement est celui du retour au sens. Tel est le travail à accomplir si nous voulons renouer avec l’esprit européen, celui dont nous sommes les héritiers depuis que les anciens Grecs ont saisi le Logos comme le propre de l’Homme.

Trois tâches concrètes doivent être menées de front, et en commun, pour répondre aux défis de notre civilisation.

D’abord, il faut reprendre une critique de la Raison pour la réconcilier avec elle-même et rompre avec la pure rationalité positive. Face à l’écueil de cette Raison diminuée, il faut retrouver une Raison augmentée. Une rationalité augmentée par le sens même qui lui est propre, qui nous est propre. C’est le rôle et le travail fondamental des philosophes contemporains et à venir que de mener cette tâche critique sans laquelle notre civilisation ne saurait être fondée en esprit ni en projet.

Ensuite, au plan politique européen, nous devons reprendre le principe de subsidiarité pour définir au juste niveau les actions et les décisions de chacun des acteurs de la construction européenne. Le principe de subsidiarité – concept éminemment politique et non administratif – consiste à privilégier la prise de décision à l’échelle la plus proche de la vie réelle des citoyens. Il permet de mieux définir la répartition des rôles et des décisions entre les États-nations et l’Union européenne mais aussi entre les territoires, les États et l’UE. Seul un respect rigoureux du principe de subsidiarité permettra à l’Europe de sortir de la tentation uniformisatrice dans laquelle Bruxelles s’est enfermée et qui provoque le rejet des citoyens du continent. Par là, il est possible de réconcilier l’Europe avec le génie des peuples et des pays européens. Par là, nous pourrons combiner souveraineté des Nations et souveraineté européenne en définissant les limites de chacune des parties, et atteindre une souveraineté en-soi et pour-soi, celle des citoyens.

Enfin, notre civilisation européenne doit viser le règlement des deux défis majeurs de notre époque : le refus de la tentation (du piège) transhumaniste, qui n’est qu’une nouvelle figure de la rationalité dominatrice et prédatrice dont nous sommes toujours les prisonniers ; relever le défi écologique en fixant les bonnes et justes limites à l’action des hommes sur la planète et la biosphère. Pour cela, il faut travailler à l’avènement d’un nouvel Humanisme et de nouvelles Lumières.

Ce n’est qu’à cette triple condition que le retour au sens visant un progrès humain et partagé par tous sera de nouveau possible.

Nous sommes les fils d’Ulysse. Nous sommes les enfants de la Métis. Puisse la Ruse nous revenir pour naviguer à l’écart de l’hubris d’une Humanité qui porte encore en elle l’illusion de sa toute-puissance.

Eduardo Rihan Cypel
Ancien Député de Seine-et-Marne
Maître de conférence à Sciences Po Paris 
Membre du Conseil national du PS

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