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dans N°1092, Politique

La diplomatie scientifique entre logiques nationales et ambitions de l’Union européenne : quelles convergences, quel rôle pour la France ?

Pascal GrisetParPascal Griset
31 décembre 2019
La diplomatie scientifique entre logiques nationales et ambitions de l’Union européenne :  quelles convergences, quel rôle pour la France ?

Les liens entre science et relations internationales sont multiples et englobent tout autant les situations de tension que les phases de paix et d’entente1. 

Depuis les années 2000, le concept de « Science Diplomacy » (« diplomatie scientifique » dans une traduction imparfaite) met en avant la science comme un élément à part entière de la stratégie des États pour déployer, sous différentes formes, à des niveaux différents et en visant des objectifs très diversifiés, leur action extérieure. En France le ministère des Affaires étrangères a été pionnier en développant, dès les années 1960, un réseau de conseillers et d’attachés scientifiques et techniques de grande ampleur.

Depuis une quinzaine d’années, la question de la diplomatie scientifique est renouvelée dans un contexte international qui voit un nombre croissant de nations tenter de s’approprier ses outils2.

La connexion à ce champ d’acteurs non étatiques, tout comme l’intérêt porté par l’Union européenne à ce domaine contribuent au renouvellement d’une donne qui s’avère bien plus complexe qu’elle ne l’était il y a peu encore. Désormais, la diplomatie scientifique ne peut plus être pensée de manière isolée. Elle doit être intégrée à un ensemble plus vaste et privilégier les interactions dans un système diversifié d’acteurs et de territoires.

La Science Diplomacy : émergence d’une question académique

L’initiative pour structurer le travail académique sur ce domaine fut tout d’abord essentiellement anglo-saxonne. L’American Association for the Advancement of Science, (AAAS) crée ainsi en 2008 le Center for Science Diplomacy afin d’établir : « … des ponts entre les communautés, les sociétés et les nations grâce à des interactions plus étroites entre la science et la diplomatie et accroître le rôle de la science dans la politique étrangère pour relever les défis nationaux et mondiaux (global challenges) ». La Royal Society, contribue en 2010 à la structuration du domaine à travers un rapport considéré comme la référence la plus classique sur ces questions3. Il définit trois grands axes d’expression de la « Science Diplomacy » : 

  • éclairer les objectifs de la politique étrangère avec des conseils d’ordre scientifique (science in diplomacy) ;
  • faciliter le développement international des sciences (diplomacy for science) ;
  • utiliser la coopération scientifique pour améliorer les relations entre les États (science for diplomacy).

Cette définition, qui a le mérite de la clarté, a été remise en cause ou complétée par de nombreuses analyses qui en contestent le caractère réducteur, pour un domaine qui s’avère particulièrement polymorphe. Examiner les territoires et les acteurs de cette « Science Diplomacy » permet en effet de faire apparaître l’exceptionnelle plasticité d’un champ qui s’adapte, de manière parfois opportuniste, au contexte fluctuant des relations internationales et aux priorités variables des dispositifs nationaux. En constatant la diversité des acteurs, l’emboitement des périmètres et les articulations fluctuantes qui les relient il devient très clair que, loin d’être une « catégorie » aisément définie par quelques recettes, la « Science Diplomacy » est un construit historique dont la dimension politique se laisse mal enfermer dans les définitions à vocation performatives.

Diplomatie scientifique et stratégie nationale : l’impératif d’une action concertée

L’État nation est, par construction, le territoire de base pour la mise en œuvre d’une diplomatie scientifique dont la première fonction est de porter les intérêts d’un pays.

La France a très précocement investi dans ce domaine.

Si le premier attaché scientifique est nommé à Bonn en 1955, un véritable réseau ne se développe cependant qu’à partir de 1963. L’effort est conséquent, et le réseau compte, à la fin des années 1980, douze conseillers et trente-quatre attachés scien­tifiques répartis sur vingt-sept ambassades. À partir des années 1980, l’apport des grands organismes de recherche et des universités permet d’intégrer à ce réseau des scientifiques connaissant parfaitement les champs dont ils assurent le suivi. En 2013 la publication du rapport Une Diplomatie Scientifique pour la France, par le ministère des Affaires étrangères, est une réponse au rapport de 2010 de la Royal Society. L’engagement de la France dans ce domaine y est confirmé : « Depuis des années, est-il ainsi souligné, la France a fait de la coopération scientifique et de recherche un élément clé de sa politique d’influence sur la scène internationale ». La place de la recherche française dans l’espace scientifique mondial, les défis globaux tels que le climat, le développement et le soutien aux entreprises françaises sont signalés comme constituant les objectifs prioritaires de cette stratégie. Depuis 2010, la promotion de l’excellence scientifique et technologique française est coordonnée par Catherine Bréchignac, ambassadrice déléguée à la science, la technologie et l’innovation. 

Cette vision se trouve néanmoins mise en tension par les orientations plus globales du ministère.

Impactée par la réduction des moyens imposée au Quai d’Orsay, elle est également touchée par l’évolution des modalités d’action auxquelles s’intègrent désormais des agences spécialisées favorisant les interactions et les partenariats. Deux d’entre elles sont très directement concernées par les questions relatives à la diplomatie scientifique. Campus France, qui regroupe depuis juillet 2010 plusieurs structures destinées notamment à favoriser l’accueil des étudiants étrangers en France, s’efforce plus globalement de valoriser et de promouvoir à l’étranger le système d’enseignement supérieur et de formation professionnelle français. Business France, né en décembre 2014 de la fusion entre Ubifrance et l’Agence française pour les investissements internationaux, aide au développement international des entreprises, stimule les exportations, informe et accompagne les investisseurs étrangers en France. En charge de l’attractivité et de l’image de l’économie française, il porte plus globalement l’action de la France dans la coopération économique internationale. Campus France a pour tutelles le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation tandis que les ministres chargés de l’Économie, des Affaires étrangères et de l’Aménagement du Territoire exercent leurs tutelles sur Business France. On comprend donc que l’action de la France en matière de diplomatie scientifique, si elle s’inscrit dans une large mesure dans le périmètre du ministère des Affaires étrangères, ne peut être pertinemment développée qu’en privilégiant les coordinations interministérielles. Celles-ci ne sont pas toujours aisées et peuvent être complexifiées par des cultures parfois contrastées ou bien contrariées par des logiques différentes à court terme. Elles n’en sont pas moins réelles comme en attestent par exemple les nombreuses convergences entre le Quai d’Orsay, les universités et les grands établissements de recherche (CNRS, Inserm, CNES etc.) en matière d’actions organisées avec les postes du réseau diplomatique français. L’action à l’international d’institutions comme l’Académie des sciences4 souligne également le fait que l’ensemble des canaux doivent être sollicités. La dimension de la francophonie constitue à cet égard un élément clef.

L’exemple de l’attractivité du territoire

Accroître l’attractivité d’un territoire pour les scientifiques, ou étudiants et doctorants, constitue l’un des éléments structurant de toute diplomatie scientifique. Elle est prise en compte par un grand nombre de nations avec pour référence les États-Unis qui ont fait de leurs universités un outil de rayonnement et de prospérité. Développer cette attractivité, pour attirer les « meilleurs » et les transformer en relais d’influence positivement préparés à s’associer aux initiatives du pays qui les a formés, est donc un objectif majeur pour la plupart des nations dotées d’un système universitaire de haut niveau. La France tente d’y prendre toute sa place5. 324 000 étudiants étrangers étaient accueillis en France en 2018, mais cette croissance a été inférieure à celle de la mobilité étudiante mondiale au cours des cinq dernières années (+19 % contre +28 %). L’Allemagne, en plus forte croissance, attire de son côté 350 000 étudiants étrangers. 

La concurrence entre pays s’est ainsi considérablement accrue depuis une vingtaine d’années.

La France est le 4e pays d’accueil des étudiants en mobilité internationale, alors qu’elle était encore 3e en 2010. Cette place pourrait être menacée à court terme. Développer l’attractivité d’un territoire implique une approche globale de l’ensemble des acteurs concernés. Des initiatives non concertées, menées à partir de priorités trop étroites, peuvent ainsi s’avérer contre-productives. 

À cet égard, l’augmentation des frais d’inscription pour les étudiants étrangers, décidée par le gouvernement mais appliquée par une université sur dix seulement à la rentrée 2019, pose de multiples questions. Correspond-elle, notamment pour les étudiants issus de pays à faibles revenus, aux valeurs universitaires défendues par la France ? Va-t-elle impacter négativement l’attractivité des universités françaises à l’égard de ces pays ? Peut-elle, au contraire, l’accroître vis-à-vis de pays à hauts revenus pour qui une université de qualité est très naturellement payante ? Peut-elle contribuer à une augmentation des ressources des universités françaises qui ne peuvent rivaliser en matière d’accueil et de services aux étudiants avec les universités étrangères faute de moyens… Quelles que soient les réponses apportées à ces questions on comprend que ce segment de la diplomatie scientifique dépend d’acteurs nombreux et diversifiés. Les questions d’innovation, très liées à l’économie mais également à la science, permettraient de mettre en lumière la même multiplicité d’acteurs et leur nécessaire convergence pour que la diplomatie scientifique française reste efficace dans un contexte de plus en plus concurrentiel.

Une Diplomatie scientifique européenne ?

La diplomatie a connu depuis les années 1960 de profondes évolutions amenant à caractériser de nouvelles pratiques et de nouvelles théories. Les plus notables se sont structurées autour des notions de « Public Diplomacy » et, de manière plus large encore et plus récemment, de « New Diplomacy ». Ces champs conceptuels ont inclus au fil du temps, et parfois des modes, des domaines et des pratiques très variés. Ils ont vu aussi un nombre croissant d’acteurs y investir pour promouvoir leurs propres intérêts. Grandes métropoles, Régions, ONG s’engagent de la sorte dans des actions qui peuvent être considérées comme relevant de la diplomatie ou bien comme étant étroitement connectées à celle-ci. 

L’Union européenne est devenue, dans la dynamique du traité de Lisbonne, l’un de ces nouveaux acteurs. Créé en 2011, le Service européen pour l’action extérieure (SEAE) gère ainsi les relations diplomatiques de l’UE et mène la politique étrangère et de sécurité de l’Union. Il est dirigé par la Haute représentante pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Mme Federica Mogherini, également vice-présidente de l’Union. Chargé d’accroître l’influence de l’Europe dans le monde, ses objectifs plus précis concernent la paix, les droits de l’Homme, la sécurité de l’Union européenne, la politique de voisinage, l’aide au développement, ou bien encore le changement climatique. On le comprend, il s’agit d’un périmètre qui correspond à un engagement non potentiellement con­flictuel et qui, en ambitionnant de déployer de manière privilégiée un « soft power », s’adapte à une doctrine imposée par les traités qui fondent l’Union.

Dans ce contexte, la diplomatie scientifique est apparue comme un vecteur d’action correspondant bien à ces spécificités.

Les principales Délégations de l’Union européenne intègrent ainsi dans les grandes capitales où l’Union est représentée un conseiller scientifique. 

Des réalisations emblématiques ont éga­lement permis à l’Union d’amorcer la concrétisation de ses ambitions. Le Centre international d’excellence technologique SESAME (acronyme de l’anglais Synchrotron Light for Experimental Science and Applications in the Middle East) constitue à cet égard un exemple éclairant de la manière dont la diplomatie scientifique européenne peut trouver sa propre voie. Ce projet d’accélérateur de particules à vocation scientifique, lancé en 1999 et inauguré en 2017, résulte de la coopération entre huit pays d’une région particulièrement marquée par les tensions et conflits internationaux : Chypre, l’Égypte, l’Iran, Israël, la Jordanie, la Palestine, le Pakistan et la Turquie. Le centre a été également soutenu par un ensemble d’organismes ou pays observateurs au sein duquel l’Union européenne et l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) ont pris une part essentielle tant politique que technique et financière. L’ouverture de ce centre de recherche en physique nucléaire est hautement symbolique et a constitué un véritable succès pour la diplomatie scientifique européenne. 

Comment associer diplomaties scientifiques nationales et diplomatie européenne ?

Face à ces défis, qui peuvent être considérés comme autant d’opportunités, la Commission européenne a récemment décidé d’approfondir sa réflexion sur le futur de sa diplomatie scientifique en finançant trois projets de recherche portant sur la définition d’une stratégie originale pour l’Europe en ce domaine. Réunis au sein d’un « Cluster »6 ces projets coopèrent et contribuent à l’affirmation de l’Union dans un champ académique jusqu’alors très dominé par les États-Unis. La complexité des articulations entre systèmes nationaux et européens rend cependant la formulation de préconisation difficile. La montée en puissance du Service européen d’action extérieure ne peut ainsi correspondre de manière réaliste à un effacement des diplomaties nationales. La coopération scientifique, qui a déjà joué un rôle essentiel dans le rapprochement entre pays européens et contribué ainsi à la dynamique menant à la CEE puis à l’Union, peut néanmoins, à travers la diplomatie scientifique, contribuer à une convergence des actions diplomatiques nationales et européennes.

Dans cette perspective, l’initiative de plusieurs États membres décidant d’une action concertée, en lien avec le Service d’action extérieure pourrait apparaître comme le dispositif le mieux adapté.

Cette convergence ne se fera cependant pas d’elle-même. Elle nécessitera pour se développer la définition d’objectifs communs et de méthodes compatibles. La diplomatie scientifique s’inscrivant au niveau national dans des dispositifs qui la voit associée aux questions économiques, technologiques ou culturelles, ne peut en effet être considérée uniquement comme un vecteur de « soft power » destiné à favoriser la paix et la coopération internationale. C’est donc en prenant pleinement en compte le fait que les systèmes diplomatiques nationaux sont issus d’une longue construction historique et participent de l’expression de la souveraineté des États membres, que l’Union européenne pourra de manière réaliste amorcer une dynamique commune où ses objectifs trouveront progressivement leur place. Il s’agira, dans cette perspective, de définir les dispositifs pouvant initier de telles évolutions, mais également d’identifier les champs d’action les mieux à même de favoriser les approches communes entre des groupes d’États membres décidés à travailler ensemble. À cet égard, les questions relatives à l’environnement, à la santé, ou bien encore au patrimoine, si elles ne sont pas exemptes d’éléments de compétition entre nations, peuvent néanmoins constituer des domaines plus favorables à une action commune positivement articulée aux initiatives et aux réseaux du Service européen d’action extérieure. Le projet InsSciDE, « Inventing a Shared Science Diplomacy for Europe », explore ces possibilités à travers un projet de recherche Horizon 2020 associant quinze institutions représentant onze pays membres de l’Union7. Piloté par le CNRS et Sorbonne-Université (UMR Sirice), il rendra ses conclusions en 2021. L’émergence d’une diplomatie scientifique européenne constitue donc un enjeu crucial pour l’Union dans la prochaine décennie. L’impératif des « Global Challenges » tels que le climat, les pandémies ou les migrations ne fait que rendre plus urgent encore une action dynamique et réaliste en la matière. Celle-ci ne pourra ni reprendre les logiques d’action des diplomaties nationales ni se concrétiser dans l’urgence. Dans le contexte d’une Europe traversée par le doute et déstabilisée par le Brexit, elle nécessitera en effet des avancées successives et des modes d’action innovants. Elle devra tenir compte également de la diversité des acteurs désormais concernés par la diplomatie scientifique. 

La France a très certainement un rôle important à jouer dans ces nouvelles dynamiques.

Alors qu’elle s’est engagée très tôt dans le domaine de la diplomatie scientifique et technique, elle dispose d’une expérience unique en Europe et d’un réseau diplomatique exceptionnel qu’il conviendra de maintenir et de préserver.

Dans le cadre des réorganisations en cours et des synergies renforcées entre diplomaties économique8, culturelle, scientifique et technique9, il sera important de maintenir la visibilité et la spécificité de la science. Au sein de l’Europe, la France pourra ainsi prendre une place constructive, fondée sur ses atouts, dans le processus d’émergence d’une diplomatie scientifique européenne compatible avec les dispositifs nationaux et la souveraineté des États membres. Une logique de projet apparaît sans doute à cet égard préférable à une logique d’institutionnalisation. L’action devra être accompagnée par une réflexion sur les méthodologies à mettre en place, sur les formations à dispenser et sur la mise en relation des multiples acteurs directement reliés à la diplomatie scientifique. La richesse et la diversité de l’écosystème scientifique français offrent, à cet égard, de multiples possibilités. Permettre à la recherche française en sciences humaines et sociales de prendre place durablement dans la réflexion souhaitée par l’Europe sur ces questions pourrait constituer, dans une telle perspective, un élément particulièrement positif.

Pascal Griset
Professeur d’histoire contemporaine, Sorbonne Université
Coordinateur du Projet H2020 InsScide
Président du Comité pour l’histoire de l’Inserm
Pascal Griset est l’auteur avec Andreas Fickers de Communicating Europe, Technologies, information, events, Palgrave-MacMillan, 2019, 485 p.

 

  1.  S. Courteix, « Recherche scientifique et relations internationales », Revue internationale de droit comparé, vol. 25, n°2, avril-juin 1973. ↩
  2.  P.-B. Ruffini, Science et diplomatie : une nouvelle dimension des relations internationales, Éditions du Cygne, Paris, 2015. ↩
  3.  Royal Society, New frontiers in science diplomacy, 2010. ↩
  4.  P. Griset et F. Greffe, Une compagnie en son siècle. 350 ans de l’Académie des sciences, Paris, Le Cherche-Midi, 2015, 255 p. ↩
  5.  Conférence des Présidents d’Université,
    « Rayonnement et attractivité de la France. Attirer, accueillir, former, accompagner : l’université française participe à la circulation internationale des talents tout au long de leur vie », note aux Parlementaires, 7 juin 2013, http://www.cpu.fr/wp-content/uploads/ 2013/06/130613-Note attractivité pour les parlementaires.pdf. ↩
  6. https://www.science-diplomacy.eu/ ↩
  7. http://www.insscide.eu/ ↩
  8.  L. Badel, Diplomatie et grands contrats, Publications de la Sorbonne, Paris, 2010. ↩
  9.  Voir L. Laborie, « Experts et réseaux techniques : penser et réaliser le quotidien de l’Europe moderne » et « Expertise et coopération techniques face à la Guerre froide et à la construction européenne », in S. Guillaume (dir.), Penser et construire l’Europe, 1919-1992, Paris, Ellipses, 2007. ↩

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