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dans N°1099, Politique

Napoléon et le tsar Alexandre : le conquérant et le prophète

ParCharles Zorgbibe
2 août 2021
Napoléon Bonaparte

Le 25 juin 1807, Napoléon et le tsar Alexandre se rencontrent pour la première fois à Tilsit. Charles Zorgbibe revient sur la richesse et la complexité des rapports entretenus par ces deux personnalités.

Les maîtres du continent

À Sainte-Hélène, on demande à Napoléon quelle fut l’époque la plus heureuse de sa vie. Il répond :

– Peut-être à Tilsit… J’étais victorieux, je dictais des lois, j’avais des empereurs et des rois pour me faire la cour.

Tilsit, une entrevue au milieu du Niémen : « Napoléon y voyait un brillant épisode pour le poème de sa vie », commente Talleyrand dans ses « Mémoires ». Une agglomération ignorée à l’extrémité de la Prusse orientale, sur la rive sud du fleuve-frontière avec la Russie, le Niémen, entre dans l’Histoire ce 25 juin 1807. Les soldats français du corps du génie, les « sapeurs », ont ancré un radeau sur le fleuve, à l’aide de barques juxtaposées, et dressé deux grandes tentes de toile blanche.

Des branchages et des fleurs, les chiffres de Napoléon et d’Alexandre entrelacés au fronton.
Napoléon a pris pied le premier. Alexandre vient vers l’empereur comme s’il l’avait toujours connu : par son ton simple, son sourire confiant, il a le don d’établir une intimité immédiate. Les deux souverains s’embrassent spontanément. La tête légèrement penchée, Alexandre s’exprime dans un français parfait, avec les inflexions douces de la langue russe. Napoléon est séduit : c’est un coup de foudre amical. Alexandre n’est plus l’ennemi, le vaincu. Napoléon vient de reconnaître en lui l’associé, l’allié, l’autre maître du continent.

Dès ses premiers mots, le tsar a visé juste :

– Sire, je hais les Anglais autant que vous.

– En ce cas, la paix est faite.

Alexandre n’a pas pardonné à l’Angleterre ce qu’il a considéré comme un abandon en plein combat : son peu d’empressement à soutenir financièrement la Russie, alors qu’elle était épuisée par l’effort de guerre.

Un peu plus tard, Napoléon précisera l’idée d’un accord des deux empires contre l’Angleterre. Un accord à deux, exclusif, sans intrusion d’une tierce puissance, Autriche ou autre…

– J’ai souvent couché à deux, jamais à trois, lance Napoléon.

Alexandre rit franchement. Il trouve le mot « charmant ».

Ils poursuivent leur dialogue en tête-à-tête. Napoléon souhaite la paix : il le dit avec passion. Il lui faut l’aide d’Alexandre pour en finir avec le refus de l’Angleterre. Il fait l’éloge des unités russes sur le champ de bataille… et feint de déplorer les manquements des alliés de la Russie.

Dans ses entretiens avec le tsar, Napoléon jouit d’un ascendant incontesté. Il veut séduire, refait le récit de ses campagnes d’Italie, distille ses souvenirs d’Égypte et ses rêves pour l’avenir de l’Orient. Il explique la politique intérieure française, montre comment il a reconstruit un pouvoir, un appareil d’État, comment il a recréé une société, reconstitué une nation. Il laisse poindre une vision très relativiste de la guerre et de la victoire :

– La guerre n’est pas un art aussi difficile qu’on l’imagine. Comment a-t-on gagné telle bataille ? On serait très embarrassé de le dire. Tout le secret, c’est qu’on a eu peur le dernier. Il n’est point de général qui ne redoute l’issue du combat, mais il s’agit de dissimuler cette crainte le plus longtemps possible.

Alexandre écoute, admiratif. Mais il étonne et surprend Napoléon par son côté « idéologue » libéral… Le tsar est tellement détaché de l’Ancien Régime européen ! Il évoque sa visite, à Mittau, au chef en exil de la maison de Bourbon : le futur Louis XVIII est « l’homme le plus nul et le plus insignifiant qui fût en Europe » – un diagnostic qui ne peut que satisfaire Napoléon ! Par contre, l’empereur s’insurge quand Alexandre se dit républicain et veut le convaincre de la nocivité du droit héréditaire dans la conduite des monarchies…

Les meilleurs ennemis

Cinq ans plus tard, en mai 1812, à l’approche de leur duel guerrier, Napoléon et Alexandre semblent à contre-emploi, ou à fronts renversés : leurs postures – opposées – contredisent la nature profonde de leur pouvoir. Napoléon, l’ancien allié des Jacobins, le « sabre » de la Révolution, se comporte en empereur d’un nouveau Saint-Empire d’Occident, en suzerain des rois et princes européens – ceux qu’il a créés et ceux auxquels il a laissé leur couronne. Alexandre, le souverain de droit divin, le tsar absolu, héritier de la longue lignée de tsars qui ont gouverné la Moscovie, s’érige en libérateur des peuples, en fédérateur naturel des oppositions nationales qui émergent à travers l’Europe.

Napoléon réunit à Dresde un « parterre de rois ». Pendant son voyage, il déploie tous les fastes d’un potentat du continent : à chaque étape, les princes de la Confédération du Rhin lui présentent leurs hommages ; les populations ont été réquisitionnées pour aplanir les routes ; la nuit, de grands bûchers sont enflammés au passage du cortège impérial afin de répandre la clarté sur les glorieux visiteurs. Dresde, la capitale paisible de la Saxe, réputée vivre hors du siècle et des modes, au milieu de ses musées, de ses monuments anciens et de ses montagnes, est soudainement réveillée par l’agitation et le bruit des préparatifs de ce nouveau « sommet » monarchique et le fracas du canon qui salue les arrivées impériales ou le commencement des Te Deum ; la ville est illuminée, de l’esplanade de la Résidence au pont sur l’Elbe ; les feux se reflètent sur le fleuve ; la population est enfiévrée et s’amasse aux abords des palais. L’empereur a accepté l’hospitalité de Frédéric-Auguste de Saxe, docile et bienveillant ; il s’est installé, le 16 mai 1812, au château royal, entouré de toute sa cour, sa maison militaire, une cohorte de chambellans, écuyers, pages – et l’accompagnement ordinaire de Marie-Louise, grande maîtresse et dames du palais ; il tient table ouverte, préside à l’interminable défilé des princes allemands, qui commence par ceux de Weimar, Cobourg, Mecklembourg et Wurtzbourg.

Alexandre et son état-major ont gagné Vilnius. Le tsar s’est établi au centre de la capitale lituanienne, dans la résidence de l’évêque, un bâtiment néo-classique aux colonnes doriques et aux larges frontons. Le débat est militaire : le tsar et son commandant en chef, Barclay de Tolly, se rallient aux vues du général Phül, un officier prussien enrôlé dans l’armée russe, qui refuse l’affrontement direct avec la Grande Armée et préconise le retrait jusqu’au camp de Drissa, sur la Dvina, fortifié après deux ans de travaux. D’autres plans, plus politiques, sont élaborés : à la cour plénière des monarques européens, convoquée à Dresde, Alexandre imagine d’opposer un congrès des nations asservies, une sorte d’internationale des peuples au conquérant universel.

Unir les émigrations nationales et les desseins nationaux, fomenter des révolutions nationales pour l’indépendance dans la liberté.

Les personnalités les plus diverses se croisent dans cette officine de propagande transnationale, qui innove en nouant les liens d’une diplomatie non-gouvernementale : de grands hommes d’État comme l’ancien ministre prussien et patriote allemand, Stein, d’éternels comploteurs marginaux, comme le comte d’Antraigues, un noble corse qui poursuit son combat intime contre Napoléon, après que sa famille ait été liée aux Bonaparte, Pozzo di Borgo, un témoin au destin perturbé des débuts de la confrontation entre la Révolution et l’Europe, Dumouriez…

Les contradictions dans lesquelles ils s’engagent ne finiront-elles pas par déconcerter l’empereur et le tsar ? Napoléon semble ressentir, par éclairs, la nostalgie des combats de l’an II et de cette foi révolutionnaire qui déplaçait les lignes de puissance entre la France et l’Europe coalisée. Peut-on discerner la même contradiction, chez Alexandre ? Une contradiction inversée : le tsar libérateur des peuples européens contre la tyrannie redécouvrirait, au fil de la guerre, sa nature de souverain absolu, de droit divin. En fait, l’évolution du tsar n’entraîne pas de contradiction, mais plutôt un approfondissement de son rôle. Conformément à l’image qu’il souhaitait imprimer à son combat, Alexandre est l’homme qui affranchit le continent du conquérant universel, de la monarchie universelle napoléonienne. Dans les palais et les chancelleries, il apparaît comme le champion de l’indépendance de l’Europe et de sa liberté en voie d’être recouvrée. L’autre tsar, qui surgit au cours de la guerre patriotique, ne s’adresse pas aux élites européennes, mais au peuple russe dans ses profondeurs. Il n’est plus l’homme des Lumières mais le monarque qui affirme sa foi et sa confiance en Dieu, s’en remet au soutien de la Providence et fédère naturellement tous les ordres russes, nobles, clergé et paysans. Il est le messager de la colère de Dieu, il en appelle au Dieu vengeur et rédempteur… et à la constitution de milices populaires qui viendront appuyer ses armées. Une autre manière d’assurer le salut de la Russie, à travers l’attachement de son peuple à son sol et à son Dieu.

1815. La disparition politique de Napoléon a déséquilibré Alexandre : le tsar a perdu son meilleur ennemi, qui était son incomparable repère – point de résistance, mais aussi point d’appui ; l’alliance puis l’affrontement avec l’empereur avaient si fortement influé sur les conceptions politiques d’Alexandre et structuré le champ de sa vision internationale !

Certes, Alexandre s’est révélé un autre conquérant. Cette victoire est la sienne – contre ses conseillers, qui le pressaient, après la chute de Moscou, d’ouvrir des négociations de paix avec Napoléon… La débâcle de la Grande Armée lui a donné raison et a fait taire les critiques. La Russie est désormais projetée au centre de l’Europe : c’est déjà, avec cent trente ans d’avance, la situation de 1945, comme si les dirigeants soviétiques de la fin du deuxième conflit mondial et des débuts de la guerre froide n’avaient cessé de se fonder sur l’exemple d’Alexandre. Le tsar a-t-il installé auprès de lui un « comité allemand », animé par l’ancien ministre prussien Karl vom Stein, qui a rejoint Saint-Pétersbourg, insatisfait de l’ambiguïté dans laquelle se maintient Frédéric-Guillaume, ancré dans le choix d’une neutralité incertaine ? Staline confie au maréchal Paulus, qui a capitulé après avoir été encerclé à Stalingrad, la création d’un comité « Allemagne libre » qui lance un appel contre Hitler. Le général Yorck, commandant du corps prussien au sein de la Grande Armée, précède-t-il le retournement de Frédéric-Guillaume en signant, le 30 décembre 1812, avec son interlocuteur russe, le général Diebitsch, la convention de Tauroggen, au terme de laquelle il se replie derrière le Niémen ? Le mythe de Tauroggen illuminera les relations entre l’Union soviétique et la République démocratique allemande, jusqu’à la chute du mur de Berlin et l’effondrement de l’État communiste est-allemand. En outre, la présence de la Russie à Varsovie, à travers le couronnement d’Alexandre à la tête du nouveau royaume de Pologne, inquiète déjà l’Europe.

Mais ce conquérant est devenu messianique.

Ce n’est pas la très classique faim de territoires – et de sujets – qui l’anime mais l’ambition de conquérir les esprits, d’élaborer une nouvelle idéologie pour l’Europe à reconstruire et de convaincre les monarques, ses pairs, de l’adopter. Chez Alexandre, le prophète bouscule le conquérant, se superpose puis se substitue à lui. De deux manières… D’une part, l’exaltation religieuse a pris le pas sur la volonté politique. Naguère homme des Lumières, Alexandre ressent des élans de mysticisme depuis l’incendie de Moscou qui le ramène à une méditation sur l’Apocalypse et au « jugement de Dieu sur les champs de bataille glacés ». De 1814 à 1815, d’une entrée dans Paris à l’autre, il élabore son projet de Sainte-Alliance : une communauté pacifique européenne, à référence chrétienne – une référence radicalement nouvelle qui suscite l’ironie de Metternich et se heurte au scepticisme des Anglais. D’autre part, la diplomatie russe, forte du prestige personnel d’Alexandre, sera un étonnant laboratoire d’innovation diplomatique, et se révèlera extraordinairement créative en matière de sécurité collective et de techniques du droit international. Pour la première fois dans l’histoire du continent, apparaissent les concepts de désarmement multilatéral, de réduction proportionnelle des forces navales, de mise en place d’une flotte multinationale, d’une « ligue maritime » qui aurait son siège sur la côte de l’Afrique occidentale et contrôlerait les navires en haute mer, afin de concourir à l’abolition de la traite.

Deux destins parallèles

Napoléon meurt le 5 mai 1820, dans son île-geôle de Sainte-Hélène, ce rocher volcanique de basalte noire, perdu au milieu de l’Atlantique-sud entre l’Afrique et le Brésil. Il avait débarqué du « Northumberland » le 17 octobre 1815 pour vivre ses cinq dernières années à Longwood House : des années mornes, dans le brouillard et la pluie et un climat rendu encore plus étouffant par les rivalités de l’entourage et les tracasseries du gouverneur anglais. Alexandre ne lui survit que cinq années : il s’est retranché du monde, désintéressé du pouvoir ; il mène à Saint-Pétersbourg une existence cloîtrée et il a pratiquement abandonné la gestion des affaires de l’Empire au brutal Araktchéïev ; il rêve de renoncer au trône, de se retirer en un lieu isolé, de finir ses jours dans la prière et la méditation – au côté de la tsarine Elisabeth dont il s’est rapproché et à laquelle il est désormais tendrement uni. En juin 1825, à son retour de Varsovie, où il est allé inaugurer la troisième Diète polonaise, il découvre l’état de grande faiblesse d’Elisabeth, affectée d’un début de phtisie. Il décide de partir avec elle vers un climat plus clément : ce sera Taganrog, sur la mer d’Azov, une bourgade aux rues désertes, écrasée de soleil et… balayée par des vents violents ! C’est là qu’il meurt brusquement, atteint de fièvres, après une ultime tournée d’inspection en Crimée, le 19 novembre 1825. Une même part de mystère et de légende dans les fins de l’empereur et du tsar : des controverses naîtront sur l’éventuel empoisonnement de Napoléon, la rumeur se répandra de la survie d’Alexandre qui aurait fui de Taganrog sous l’habit d’un moujik…

Deux destins parallèles…

L’observateur contemporain pourrait s’adonner aux surprises et aux vertiges de « l’uchronie », cet alliage de l’utopie et du temps (chronos), cette construction d’événements fictifs sur un point de départ historique. Il pourrait alors imaginer ce qu’aurait produit une alliance de Tilsit réussie, maintenue : un condominium franco-russe sur l’Europe, c’est-à-dire sur le système international du XIXe siècle, qui aurait contenu la montée en puissance de la Prusse puis de l’Allemagne, neutralisé les frustrations allemandes à l’encontre de la France, évité les affrontements et les convulsions du XXe siècle… On se contentera ici de constater que Napoléon et Alexandre ont lancé le même défi à l’élaboration d’un nouvel ordre international au lendemain des guerres de la Révolution et de l’Empire : le conquérant Napoléon comme le prophète Alexandre voulaient modeler le monde à l’image de leur volonté – le premier en prétendant à la domination universelle, le second en appelant à la réconciliation de l’humanité. Conquérant ou prophète, ils ne pouvaient véritablement s’accommoder d’un monde fondé sur l’égalité des souverainetés, sur la négociation, sur le compromis entre revendications contraires ; ils étaient des révolutionnaires qui voulaient échapper au présent, au concret et leurs projets – Système continental ou Sainte-Alliance – ne pouvaient qu’apparaître corrosifs aux tenants de la stabilité dans une société inter-étatique classique.

Les regards qu’ils ont portés, l’un sur l’autre, dans leurs dernières années, ont finalement divergé. Alexandre, gagné à un conservatisme extrême, exècre en Napoléon l’Antéchrist. Lui qui, au retour de Tilsit, avait vu en l’empereur « un homme extraordinaire » – en trois quarts d’heure de conversation, « toutes ses préventions, les plus fortes qu’il ait jamais eues contre quelqu’un, avaient disparu, comme un songe » – en vient à dénoncer Napoléon comme « un roturier, un bandit étranger, un malfaiteur », auquel il reproche « d’avoir usurpé le droit qui appartient à Dieu seul de commander despotiquement à tous ». « Le tribunal des hommes ne peut prononcer une peine assez forte pour un tel criminel ». Napoléon, au contraire, façonne, depuis Sainte-Hélène, une image apaisée du couple de Tilsit ; et l’admiration domine lorsqu’il confie à Las Cases son ultime sentiment sur Alexandre :

– C’est un homme infiniment supérieur à tout cela… Si je meurs ici, il sera mon véritable héritier en Europe.

Charles Zorgbibe
Auteur du Choc des Empires : Napoléon et le tsar Alexandre, de Fallois, 2012, grand prix du livre d’Ouest France

Charles Zorgbibe

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