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dans N°1100, Politique

Maintien de l’ordre « à la française »  : le lien de confiance Police/population en question

Guillaume FardeParGuillaume Farde
26 octobre 2021
Maintien de l’ordre « à la française »  :  le lien de confiance Police/population en question

Bénéficiant d’un haut niveau d’opinions favorables après les attentats de 2015, la Police a vu sa cote s’éroder au point, qu’en février 2020, un Français sur trois ne la jugeait plus digne de confiance. Dans l’intervalle, les manifestations de Gilets jaunes, en mettant en scène des affrontements d’une particulière violence, ont dégradé le lien de confiance Police1/population.

L’étude du maintien de l’ordre met en lumière des dynamiques à la fois de temps long et de temps court.

La construction d’un maintien de l’ordre dit « à la française »

Héritière d’une tradition révolutionnaire où l’expression des opinions n’a de limite que « l’ordre public établi par la Loi2 », la France a bâti un modèle d’inspiration libérale, singulier et de temps long, où les manifestations revendicatives ne sont pas autorisées mais déclarées et où l’autorité civile est seule habilitée à décider du recours à la force.

Au nombre des héritages, figurent les trois grands principes du maintien de l’ordre dit « à la française » que sont la spécialisation, la mise à distance et la gradation des moyens employés.

Plus ancien parmi les trois, le principe de spécialisation se formalise sous la IIIe République qui voit la création de la Gendarmerie mobile en 1921 avant que les CRS ne soient créées à leur tour en 1944. Confier le maintien de l’ordre public à des unités spécialement équipées et formées répondait, à l’époque, à un enjeu de réduction des violences, et donc des blessures, à l’occasion de manifestations publiques où le recours à la troupe faisait de nombreuses victimes.

Combiné au principe de spécialisation, le principe de mise à distance a fait évoluer la doctrine française de maintien de l’ordre public vers une prise en compte toujours plus grande de l’intégrité physique des manifestants. Le recours à la force reste possible dans les situations les plus tendues mais il est strictement encadré par le troisième principe fondateur qu’est celui de la gradation des moyens employés. L’emploi des armes de force intermédiaire telles que les grenades ou les engins lanceurs d’eau est privilégié sur le bond offensif3 tandis que l’emploi des armes de dotation est l’ultima ratio. Jalousée par certains et enseignée à d’autres, la doctrine française permet, par la manœuvre, d’éviter les confrontations violentes.

Les évolutions des manifestations revendicatives

Or, depuis le milieu des années 2010, la communication entre les forces de l’ordre et les manifestants se dégrade, le recours à la force par les policiers et gendarmes devient polémique et le contrôle interne des forces de sécurité intérieure se voit contesté dans son principe même, avec la polarisation, sans-doute excessive, du débat autour de l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN) et son devenir. Le modèle de temps long, préalablement décrit, est ainsi mis à l’épreuve par des évolutions de temps court qui ont conduit à l’inflexion de ses grands principes clés.

La première évolution notable est celle de l’affaiblissement généralisé des partis politiques, des syndicats, des associations ou encore des collectifs, dans leur capacité à organiser des manifestations massives d’une part, et à en assurer le service d’ordre, d’autre part.

Les années 1990 et 2000 ont connu des manifestations revendicatives où plus de 100 000 personnes pouvaient défiler à Paris. Or, depuis les manifestations à l’encontre du mariage homosexuel ou le grand rassemblement du 11 janvier 2015 à la suite des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher, Paris n’a plus connu une telle masse de manifestants. La moyenne est plus proche des milliers et plus exceptionnellement des dizaines de milliers.

Cet affaissement du volume de participants a, pour corollaire, l’affaiblissement des services d’ordre au point que les cortèges sont désormais plus vulnérables aux infiltrations par des individus violents et à la formation de Black Blocs. Les manifestations les plus récentes répondent à des appels lancés depuis les réseaux sociaux, rassemblent quelques milliers de personnes tout au plus et contraignent les policiers et gendarmes à tenir lieu de service d’ordre en cheminant en tête et sur les flancs du cortège.

Cet affaissement des corps intermédiaires complique d’ailleurs la duplication d’un modèle allemand qui contractualise l’organisation des manifestations publiques avant leur déroulé et maintient un dialogue permanent pendant. Dans le cas français, la difficile instauration d’un dialogue préventif avec des organisateurs de moins en moins structurés, ne permet pas la conduite de manœuvres sereines sur le terrain, accentue les tensions et augmente le niveau de violence.

La deuxième évolution notable est celle de la médiatisation des manifestations publiques.

La couverture des défilés par les chaînes d’information en continu couplée à leur retransmission en direct sur les réseaux sociaux, ont fait de la manifestation publique un événement presque accessoire à son retentissement médiatique devenu, chemin faisant, l’effet majeur recherché. À cet égard, les manifestations de Gilets jaunes, ritualisées et feuilletonisées à travers des actions hebdomadaires rebaptisées « acte » ont définitivement fait entrer le maintien de l’ordre public dans une nouvelle ère, où la diffusion d’images est permanente que ce soit avant la manifestation pour inciter à s’y rendre, pendant pour démultiplier sa résonance ou après pour revendiquer son succès.

À l’heure de la médiatisation, le recours à la force par les policiers et gendarmes, à défaut d’être compris, est contesté par une frange croissante de Français qui, bien qu’absents des cortèges, en voient la retransmission sur les réseaux sociaux et à la télévision. L’hypermédiatisation des manifestations conduit, de surcroît, à leur politisation excessive lorsque des ministres de l’Intérieur, recevant les images en direct sur leur téléviseur, s’immiscent dans la conduite des manœuvres au mépris de la sacro-sainte séparation des niveaux stratégique, tactique et opérationnel.
Enfin, la troisième évolution notable est celle du recours à la violence érigée en un mode d’action autonome.

Certains manifestants, réhabilitant la tradition anarchiste de la propagande par le fait, considèrent que la dégradation des biens et la confrontation avec les forces de l’ordre sont l’unique moyen de faire entendre leur cause.

Accusant le ministère de l’Intérieur de donner des directives opérationnelles consistant à brutaliser les participants dans le but de les dissuader de se réunir, cette part croissante de manifestants qualifiés « d’ultra » par les services de renseignement, se dit légitime à recourir à la violence.

Parmi les membres du mouvement des Gilets jaunes, d’aucuns ont d’ailleurs considéré que la dégradation de l’Arc de Triomphe, l’intrusion dans l’enceinte du porte-parolat du Gouvernement ou encore l’incendie du restaurant Le Fouquet’s avaient contraint l’Exécutif à réagir. Considérant que le discours présidentiel du 10 décembre 2018, la loi dite « anti-casseurs » ou l’éviction brutale du Préfet de police étaient la conséquence de leurs actions, le recours à la violence est à la fois admis et revendiqué. Le 5 janvier 2019, le boxeur professionnel Christophe Dettinger est ainsi surnommé « le protecteur » pour avoir agressé des gendarmes mobiles sur la passerelle Léopold Sedar-Senghor dans le VIIe arrondissement de Paris. La valorisation de son acte délictuel s’inscrit dans un processus d’indifférenciation des violences : au monopole de la force physique légitime de l’État peut répondre une violence de la rue, non moins légitime aux yeux de ceux qui y recourent, dès lors que leur cause se veut juste.

Nourri par des images de policiers et gendarmes recourant à la force, le sentiment anti-police accentue, de façon ouroborique, le niveau de violence à l’encontre des forces de l’ordre : depuis le début du quinquennat, plus de 4 000 CRS et gendarmes mobiles ont ainsi été blessés.

L’altération de la confiance

Face à ces évolutions, la réadaptation de la doctrine d’emploi des forces de l’ordre a conduit à une triple inflexion des principes cardinaux qui la gouvernent, au prix d’une inflation des blessures et d’une dégradation rapide du lien de confiance Police/population.

À l’occasion des manifestations de Gilets jaunes, il a ainsi été demandé à des forces non spécialistes de se rendre au contact des manifestants munis d’équipements qui comptent parmi les plus lourds dont le lanceur de balles de défense LBD40. Il en a résulté une inflation très significative du nombre de blessés en manifestation : le 17 novembre 2019, à la date anniversaire du mouvement des Gilets jaunes, 2 448 manifestants avaient été blessés dont certains de façon irréversible, après avoir perdu l’usage d’un œil ou d’une main. La médiatisation des blessures a conduit, par un phénomène d’interchangeabilité, à dégrader rapidement l’image de la Police, y compris auprès des Français qui ne participaient pas aux manifestations publiques.

En février 2015, la Police est créditée d’un capital confiance de 11 points4 à la faveur des attentats de janvier 2015, passant de 69 à 80 points. En décembre 2018, la confiance s’élève toujours à 74 points, un taux légèrement en deçà du niveau allemand mais équivalent au taux britannique. Cependant, au cours de l’année 2019, soit l’année au cours de laquelle les manifestations de Gilets jaunes ont été à la fois régulières (chaque samedi sans exception de l’automne 2018 à l’été 2019) et intenses (journées des 1er décembre 2018, 5 janvier 2019 et 16 mars 2019, notamment) la confiance dans la Police chute de 8 points si bien qu’en février 2020, un Français sur trois déclare ne plus la créditer de sa confiance.

Face à une érosion aussi forte, il est tentant de rechercher un lien causal dans le dénigrement dont la Police peut être l’objet. Cependant, alors que ce dénigrement a pu s’intensifier en 2020 à la faveur de nombreux faits divers donnant une tribune aux détracteurs de la Police au sens institutionnel, sa cote de confiance remonte à 69 points en février 2021 puis à 74 points en mai, soit le niveau de décembre 2018, preuve que la perception du maintien de l’ordre par les Français a été la principale variable du niveau de confiance dans les forces de l’ordre. Enfin, force est de rappeler d’ailleurs que seuls 4 % des Français déclarent avoir eu un contact physique avec un policier ou un gendarme, au cours des trois dernières années, à l’occasion d’une manifestation publique, si bien que la fabrique de la confiance relève davantage de la perception que de l’expérience.

Le nécessaire renforcement du lien de confiance Police/population

Pour le ministère de l’Intérieur, le renforcement du lien de confiance Police/population réside dans le Schéma national du maintien de l’ordre (SNMO), paru en 2020, modulo les ajustements décidés à l’occasion du Beauvau de la sécurité, courant 2021.

En synthèse, le ministère de l’Intérieur articule sa nouvelle politique autour de quatre axes forts que sont l’amélioration de la communication à destination des manifestants, le renforcement de la formation des policiers et gendarmes, l’augmentation de la réactivité des forces mobiles et la meilleure prise en compte des journalistes.

Le volet communication est, sans-doute, l’un des plus déterminants tant la mauvaise compréhension des manœuvres d’ordre public par les manifestants conduit à la montée des tensions. À défaut de toujours pouvoir créer un dialogue en amont et pendant la manifestation, le ministère de l’Intérieur envisage de recourir à des haut-parleurs puissants, de clarifier le régime des sommations, d’utiliser des panneaux lumineux à message variable ou encore, d’adresser des SMS automatiques aux participants.

Le volet formation revêt, lui aussi, une importance particulière en raison, notamment, du haut niveau de sollicitation des unités de force mobile, engagées dans des proportions telles que le temps de formation, pourtant indispensable, est trop souvent sacrifié. Aussi le ministère de l’Intérieur envisage-t-il de leur dégager davantage de temps et, surtout, de leur trouver des infrastructures adaptées quitte à en mutualiser certaines (le centre de la Gendarmerie nationale à Saint-Astier par exemple).

Le besoin de flexibilité répond, quant à lui, à des exigences d’ordre opérationnel alors que les rassemblements festifs comme revendicatifs sont désormais à l’initiative d’organisateurs qui se déclarent rarement comme tels préférant lancer des appels, le plus souvent anonymes, depuis les réseaux sociaux. Ce défi de la mobilisation sur un préavis court d’unités spécialistes du maintien de l’ordre a conduit, par ordre chronologique, la Préfecture de police de Paris à se doter de brigades de répression de l’action violente (BRAV et BRAV-motos), la Gendarmerie nationale à bâtir des dispositifs d’intervention augmentée et la Police nationale à réorganiser la CRS 08.

Enfin, la place des journalistes au sein des cortèges nécessite de meilleures garanties pour mieux préserver la liberté d’informer.

Le ministère de l’Intérieur entend ainsi mieux protéger l’intégrité physique des journalistes couvrant les manifestations, trop souvent victimes de violences de la part de certains manifestants et parfois confondus avec eux lorsque les policiers et gendarmes recourent à la force. À cet égard, des pistes d’amélioration de leur identification sont à l’étude.

Ceci posé et au-delà de la nécessaire réforme de la doctrine du maintien de l’ordre dit « à la française », le resserrement des liens de confiance Police/population appelle une vaste entreprise de clarification, à même de répondre à la quête de sens qui tiraillent aussi bien les policiers et gendarmes que le citoyen. Ce questionnement s’entend non seulement comme celui de la compréhension des politiques publiques de sécurité menées par le ministère de l’Intérieur au nom de la sécurité générale de la Nation, mais aussi comme celui de la fixation d’un cap qui suscite l’adhésion collective de Français en proie à une crise des consentements.

*
*     *

En conclusion, l’adaptation du maintien de l’ordre dit « à la française » aux défis que lui imposent les nouvelles formes de contestations violentes appelle des évolutions de doctrine : la réforme des modes de communication entre manifestants et forces de l’ordre, le rehaussement de la formation des policiers et gendarmes, l’augmentation de la réactivité des forces mobiles et la meilleure prise en compte des journalistes, en font partie. De telles réformes ne doivent cependant pas éclipser l’enjeu, plus fondamental, de consolidation des liens de confiance qui, en démocratie, unissent la Police à la population. Car, il serait réducteur de ne voir dans le maintien de l’ordre qu’une simple opération de police administrative dont chacun s’accorderait sur de nécessaires et modestes ajustements réglementaires et techniques. Le maintien de l’ordre est bien plus que cela : il est à la fois une incarnation du fait démocratique dans son principe et l’une des principales conditions de sa réalisation dans les faits.

Guillaume Farde
Professeur affilié à l’École d’affaires publiques de Sciences Po,
Chercheur associé au CEVIPOF

Photo : Olga Besnard/Shutterstock.com

  1. L’emploi de la majuscule désigne les forces de sécurité intérieure étatiques dans leur ensemble. Le terme générique Police englobe donc la Police et la Gendarmerie nationales. ↩
  2. Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen, article X. ↩
  3. Terme technique pour désigner la charge, au cours de laquelle il est généralement fait usage des matraques. ↩
  4. Source Baromètre de la confiance politique du CEVIPOF. ↩

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