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dans La Revue, N°1094-1095, Politique

De Gaulle, les gaullistes et le social : histoire d’un rendez-vous pas si manqué

Frederic TristramParFrederic Tristram
8 juillet 2020
De Gaulle, les gaullistes et le social : histoire d’un rendez-vous  pas si manqué

La politique sociale du général de Gaulle et de son successeur immédiat, Georges Pompidou, a souvent fait l’objet d’un jugement en demi-teinte, qui contraste avec des succès plus largement reconnus en matière économique, institutionnelle ou diplomatique. La France aurait certes bénéficié entre 1958 et 1974 d’une croissance exceptionnelle, proche de 5,5 % en moyenne annuelle, mais n’aurait pas totalement réussi à la traduire dans le champ du social, laissant ainsi subsister des inégalités trop fortes ou des crispations trop fréquentes.

La pensée sociale de de Gaulle 

L’échec de la politique des revenus, proposée par Michel Debré en 1961, le retour, après 1966, d’une conflictualité importante, les événements de Mai 1968, les limites de la Nouvelle Société voulue par Jacques Chaban-Delmas, seraient autant de signes d’un échec relatif et d’une distance maintenue entre le pouvoir gaulliste et le monde du salariat organisé. Cette critique, souvent entendue, fut portée en son temps par la gauche politique et syndicale, mais également, au sein même du mouvement, par une frange de gaullistes sociaux ou « de gauche » prompts à pointer les hésitations, les limites ou les renoncements des gouvernements successifs, notamment sur la question ô combien sensible de la répartition du revenu national et de la participation des travailleurs aux résultats de l’entreprise. Le général de Gaulle, favorable à une transformation profonde des relations sociales, aurait ainsi été bridé dans son ambition par un entourage plus conservateur ou plus libéral, incarné notamment par Valéry Giscard d’Estaing et par Georges Pompidou. Cette thèse, déjà exprimée avant 1969, notamment dans un article publié par René Capitant à la veille des événements de Mai1, a redoublé de vigueur par la suite et a sans doute trouvé son point d’acmé dans le pamphlet publié par Louis Vallon, L’anti-de Gaulle, immédiatement après l’élection de Georges Pompidou à l’Élysée. Sur un autre sujet, puisqu’il porte sur les groupes ouvriers du RPF, mais dans le même sens, Patrick Guiol pouvait évoquer dans un ouvrage au titre évocateur, publié en 1985, « l’impasse sociale du gaullisme »2. Cette analyse traditionnelle explique sans doute que le bilan social du fondateur de la Ve République a assez peu été revendiqué par les partis, qui, après 1974, ont continué à se réclamer de lui. Elle contribue peut-être également à un certain désintérêt des historiens ou des spécialistes des sciences sociales. De manière significative, il a fallu attendre 1989 pour voir un colloque universitaire consacré à ce sujet3.

Organisé par des spécialistes d’histoire politique, introduit par René Rémond, ce colloque (et c’est d’ailleurs son apport majeur) s’est focalisé sur la pensée sociale de Charles de Gaulle, perçue essentiellement à travers ses écrits ou ses discours, mais reste plus allusif sur l’action effectivement menée, ses déterminants et ses effets. L’homme du 18 Juin apparaît ainsi, tout au long de son parcours public, comme non seulement sensible à la question sociale, mais critique des excès du capitalisme et du règne sans partage de l’argent, sans pour autant remettre explicitement en cause les principes fondateurs de l’économie de marché.

Sa principale originalité est probablement d’avoir ressenti assez tôt les effets de la technique et de la production en grande série non seulement sur les conditions sociales mais sur la vie intérieure de chaque individu.

Dans le discours qu’il prononce le 25 novembre 1941, à Oxford, et qui est sa première véritable intervention sur ces sujets, il dénonce l’uniformisation des masses et les dangers qu’elle fait courir à la liberté, dans des termes que l’on retrouvera par exemple chez Bernanos, en 1947, dans La France contre les Robots.

Cette thématique bien ancrée semble révéler une influence déterminante du catholicisme social que Philippe Levillain ou Jean-Marie Mayeur ont, entre autres, bien mis en exergue4. Celle-ci se nourrit d’une tradition familiale et d’une jeunesse passée dans le Nord industriel de la fin du XIXe siècle, marqué par de profondes inégalités, mais aussi par la présence d’un patronat paternaliste et un usage précoce de la négociation collective. Aussi retrouve-t-on dans l’œuvre du Général des références non inhabituelles aux pères fondateurs de ce courant, Lamennais, Le Play, La Tour du Pin ou encore Sangnier5. Pour autant, cette influence est loin d’être exclusive et le catholicisme social n’est, lui-même, pas uniforme, comme la liste des auteurs cités suffit à le montrer.

En réalité, la pensée sociale du général de Gaulle (mais la remarque vaudrait pour tout le gaullisme) est un syncrétisme où se mêle la trajectoire particulière d’un homme et des courants de pensée fort divers, allant d’un jacobinisme rénové à un conservatisme repensé ou un libéralisme tout de modération.

De Gaulle n’est pas un penseur social, assurément. Mais cette remarque de bon sens suffit-elle à minorer l’importance des questions sociales dans la pensée et l’action de l’homme du 18 Juin ? Ce sujet serait-il second, uniquement déterminé par un souci de grandeur nationale et de cohésion de la population dont il ne serait en quelque sorte que la condition nécessaire (c’est la thèse de René Rémond) ? Serait-il en outre (horresco referens) surdéterminé par des contingences politiques, voire électorales et son rappel constant ne viserait-il qu’à assurer au camp gaulliste un électorat populaire sans lequel la victoire n’est pas possible ? L’observation des politiques effectivement menées, aussi bien à la Libération, qu’au début de la Ve République démontre le contraire. Car c’est bien au niveau des pratiques, que doit in fine s’analyser l’identité sociale du gaullisme et qu’apparaît sa réelle cohérence.

Les trois lignes d’action de la politique sociale gaulliste 

Évaluée à cette aune, la politique gaulliste s’articule autour de trois lignes d’action.

Le général de Gaulle et les gouvernements qu’il a animés ont d’abord eu un rôle considérable et sans doute premier dans la construction du système français de protection sociale. Celui-ci repose sur une logique d’assurance, fondée sur la notion de risque, organisée dans un cadre professionnel et financée par des cotisations, qui s’analysent comme une part intégrante du salaire dont la jouissance est simplement différée. Ce système a pris naissance dans les années d’entre-deux-guerres, notamment par la loi sur les assurances sociales de 1928-1930 et, pour la couverture du risque famille, par la loi Landry de 1932. Pour autant, c’est la création de la Sécurité sociale, par les ordonnances Parodi des 4 et 19 octobre 1945, qui constitue l’étape décisive. La protection des risques vieillesse et maladie est étendue à l’ensemble des salariés ; l’administration chaotique des assurances sociales est rationalisée par la création d’une caisse unique ; l’accent est mis sur la politique familiale, chère entre toutes à un de Gaulle conscient des effets désastreux du déclin démographique6. Surtout, et c’est sans doute l’avancée la plus importante, l’homme du 18 Juin a permis que se dégage un large consensus de toutes les forces de la Résistance sur un sujet resté jusqu’alors très conflictuel. Contrairement à une légende tenace, la Sécurité sociale, pas plus d’ailleurs que d’autres réformes de structure inscrites dans le programme du CNR, n’ont été imposées au Général par le Parti communiste (le PCF, traditionnellement hostile aux assurances sociales et au principe de cotisation, a alors accompli, au contraire, une bonne part du chemin).

Toutefois, le système de 1945 est loin de couvrir la totalité de la population. La promesse d’extension, contenue dans les ordonnances Parodi, va être tenue au prix d’avancées successives, s’échelonnant jusqu’aux années 1970, et auxquelles les gouvernements gaullistes ont pris, une fois encore, une large part. En 1961 est créé un régime d’assurance maladie pour les exploitants agricoles et, en 1966, pour l’ensemble des professions indépendantes. En 1969, 98 % des Français sont ainsi couverts, contre seulement 53 % en 1945. Dans le même temps, l’hôpital public est modernisé par l’ordonnance Debré de 1958 et la loi Boulin de 1970. Un programme « d’humanisation » visant à supprimer les salles communes est lancé dans le cadre du VIe Plan en 1969. Le conventionnement des médecins libéraux qui permet de rapprocher le prix des soins et le montant des remboursements (et est donc la condition indispensable à une véritable protection) avait pris beaucoup de retard dans les années 1950 ; il est relancé de façon décisive à partir de 19607 et conduit à la signature de la première convention générale en 1971. Les retraites sont réévaluées par une seconde loi Boulin de 1971. Cette série d’exemples suffit à montrer qu’il n’existe pas d’opposition entre le programme de 1958 et celui de 1945 et que le fondateur de la Ve République a consolidé et souvent poursuivi les réformes de la Libération.

Le second trait distinctif de ces mesures sociales, au moins à partir de 1958, est qu’elles s’inscrivent dans le respect des grands équilibres financiers dont le général de Gaulle a voulu faire un des principes fondateurs de sa nouvelle République. Certes, la dépense sociale augmente fortement dans les années 1960, à un rythme d’ailleurs un peu supérieur à celui de la croissance exceptionnelle que connaît alors le pays (cette progression, de plus de 6 % par an en moyenne, est due aussi bien aux mesures volontaristes qui viennent d’être énumérées qu’à des mécanismes plus spontanés, comme les progrès de la médecine ou l’arrivée à l’âge de la retraite de générations ayant davantage cotisé). Les gouvernements gaulliens veillent cependant à ce que cette hausse ne provoque pas un déficit des comptes publics. Ce souci justifie les mesures prises par ordonnance, en août 1967, par le ministre des Affaires sociales, Jean-Marcel Jeanneney. Le régime général de la Sécurité sociale est divisé en trois caisses spécialisées par risque. Leur gouvernance est désormais régie par le principe du paritarisme, c’est-à-dire la gestion conjointe par les syndicats ouvriers et le patronat, qui siègent à parts égales dans les conseils d’administration des caisses. Ce modèle, destiné à assurer un meilleur équilibre, avait été inauguré dès 1958 avec la fondation de l’UNEDIC, chargée de couvrir un risque chômage pourtant à l’époque fort peu développé. Il donne au syndicat Force ouvrière, devenu le partenaire privilégié du patronat, une place centrale dans le système de protection sociale, jusqu’à son remplacement, au milieu des années 1990, par la CFDT.

Enfin, la période gaullienne correspond à une augmentation importante des revenus réels des salariés les plus modestes. Cette tendance doit cependant être précisée. Elle est due pour l’essentiel à la modernisation économique et à la très forte croissance que connaît la France dans les années 1960 auxquelles les pouvoirs publics ne sont d’ailleurs pas totalement étrangers. Elle permet, pour la première fois et de façon quasiment simultanée, au plus grand nombre d’accéder aux biens de consommation durables (automobile, électroménager, télévision…) qui font entrer le pays dans une société de consommation à la fois attendue, enviée et critiquée. L’observation des taux d’équipement des ménages montre un décollage très net après 1962, qui vient considérablement transformer les modes de vie et remet accessoirement en cause une conception unitaire de la période de la grande croissance, popularisée en 1979 par l’ouvrage de Jean Fourastié, Les Trente Glorieuses. Pour autant, cette évolution résulte d’une politique en demi-teinte. Jusqu’en 1968, les salaires ouvriers augmentent moins vite que la croissance (ce qui reste, au regard des normes actuelles très élevé). L’idée d’une politique des revenus, voulue dès 1961 par Michel Debré, relancée par le rapport rédigé en 1963 par Raymond Barre, Claude Gruson et Raymond Mathey8, se heurte au scepticisme de Georges Pompidou et à l’hostilité des partenaires sociaux. Les avancées réelles de la participation, inscrites dans l’ordonnance du 17 août 1967, ne modifient pas foncièrement la donne. Il faut attendre les événements de Mai 1968 et le protocole d’accord de Grenelle pour que les salaires modestes connaissent un très fort rebond. Cette politique n’est cependant pas que circonstancielle puisqu’elle est poursuivie par Georges Pompidou après son élection à la présidence de la République. Le successeur du général de Gaulle prend en 1970 deux mesures importantes, qui figurent sans doute parmi les derniers droits collectifs accordés sans contrepartie au monde du travail : il s’agit d’abord de la mensualisation des salaires et du remplacement du SMIG par le SMIC, qui permet une indexation beaucoup plus dynamique du salaire minimum.

Les avancées sociales du gaullisme s’insèrent dans une société fordiste révolue 

Ce bilan somme toute impressionnant doit cependant être replacé dans un temps long et dans un cadre économique et social particulier.

Le développement d’une protection de type assurantiel et les droits collectifs reconnus aux travailleurs correspondent à un moment de l’histoire du capitalisme, celui de la seconde industrialisation, fondé sur la production de masse de produits standardisés, la rationalisation de la main d’œuvre et le développement du salariat.

Ils permettent à la fois d’en limiter les excès et d’en mieux distribuer les revenus, il est vrai exceptionnels dans les années 1950 et 1960. Après le milieu des années 1970, toutefois, le monde change : le rythme de la croissance est rompu, le chômage de masse réapparaît, de nouveaux modes de production, plus flexibles, sont bientôt expérimentés. La protection sociale se transforme, devenant de plus en plus assistantielle, pesant également plus lourd sur les finances publiques (la part de la dépense sociale dans le PIB explose à partir de 1974) tandis que le droit du travail privilégie de plus en plus les relations contractuelles et les droits individuels au détriment des droits collectifs sanctionnés par la loi.

Les avancées sociales du gaullisme s’insèrent donc dans une société fordiste aujourd’hui révolue.

Ce n’est d’ailleurs pas le moindre des paradoxes du général de Gaulle, que d’avoir pressenti les effets négatifs de cette organisation industrielle sur la personne humaine et d’avoir en même temps favorisé une modernisation allant dans ce sens tout au long des années 1960. Il en a d’ailleurs eu pleinement conscience lorsque, énumérant dans ses Mémoires d’espoir les succès économiques du régime, il note non sans une certaine nostalgie : « Comment, étant qui je suis, ne serais-je pas ému, soucieux en voyant s’estomper cette société campagnarde, installée depuis toujours dans ses constantes occupations, encadrée par ses traditions ; ce pays des villages immuables des églises anciennes, des familles solides, de l’éternel retour des labours, des semailles et des moissons. (…) La machine est passée par là, bouleversant l’ancien équilibre, imposant le rendement. (…) »

Au moins les réformes sociales ont-elles été un moyen de tempérer cette contradiction, sinon de la résoudre.

Frédéric Tristram
Maître de conférences (HDR) en Histoire contemporaine à Paris I Panthéon-Sorbonne

  1. René Capitant, « Gaullisme et capitalisme », Notre République, 9 mai 1968. Le futur garde des Sceaux annonce « des craquements dans le capitalisme français, à moins que des réponses radicales ne viennent en transformer les structures », pronostique que « la Ve République ne survivra pas à son fondateur si elle se borne à gérer au mieux le régime capitaliste », estime enfin que « le général de Gaulle affirme sa volonté de changer la condition ouvrière et de réaliser la participation des travailleurs à leurs entreprises. Mais aucun de ses ministres n’a jamais fait écho à ses affirmations ». La tribune se termine par une charge contre le Premier ministre. ↩
  2. Patrick Guiol, L’impasse sociale du gaullisme. Le RPF et l’action ouvrière, Paris, PUF, 1985. ↩
  3. Marc Sadoun, Jean-François Sirinelli et Roger Vanderbussche, La politique sociale du général de Gaulle, Lille, Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, 1990. ↩
  4. Ibid., Philippe Levillain, « La pensée sociale du général de Gaulle face à l’héritage du catholicisme social » et Jean-Marie Mayeur, « De Gaulle et le catholicisme social », in Approches de la philosophie politique du général de Gaulle, Paris, Éditions Cujas, 1983. ↩
  5. Alain Larcan, De Gaulle inventaire. La culture, l’esprit, la foi, Paris, Bartillat, 2003. ↩
  6. Charles de Gaulle, Mémoires de guerre. Le salut : 1944-1946, Paris, Plon, 1959, pp. 336-337 dans l’édition de poche de 2010. ↩
  7. Bruno Valat, Histoire de la Sécurité sociale (1945-1967). L’État, l’institution et la santé, Paris, Économica, 2001, pp. 86-90. ↩
  8. Michel Margairaz, « De l’apogée au double infléchissement de la planification à la française sous Georges Pompidou », in Frédéric Tristram et Gilles Le Béguec (dir.), Penser l’avenir au temps de Georges Pompidou, Bruxelles, Peter Lang, 2018. ↩

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