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dans Politique

Retrouver une sphère d’autonomie individuelle avec Dos Passos

Matthieu CresonParMatthieu Creson
4 janvier 2021
Retrouver une sphère d’autonomie individuelle avec Dos Passos

Il y a 50 ans (le 28 septembre) s’éteignait John Dos Passos, dont l’œuvre la plus célèbre reste sa trilogie USA – 42e parallèle (1930), 1919 (1932) et La Grosse Galette (1936). Dans ce dernier volet notamment, Dos Passos s’en prenait sévèrement au capitalisme des années 20, qui, par la prégnance de sa bureaucratie, par l’ampleur de la mécanisation de son industrie, constituait selon lui un frein à l’épanouissement de l’individu. Par Matthieu Creson.

Or on sait moins en France que Dos Passos en est venu à abjurer le socialo-communisme de ses débuts1, pour finalement embrasser les conceptions et les idéaux des fondateurs américains, auxquels il nous invitait à revenir, notamment dans une conférence prononcée à Princeton en 1956, « A Question of Elbow Room » – titre que l’on pourrait traduire par « Une question de marge de manœuvre » ou par « une question d’espace vital pour l’individu », l’expression to have elbow room signifiant « avoir les coudées franches », « pouvoir bénéficier d’un espace à soi ». Deux ans auparavant, Dos Passos consacrait d’ailleurs un livre à Thomas Jefferson, The Head and Heart of Thomas Jefferson (1954)2. En conséquence de son adhésion grandissante aux idées qui préexistèrent à la création des États-Unis, Dos Passos ira même jusqu’à soutenir la candidature du libertarien Barry Goldwater à la présidence des États-Unis en 1964.

L’apparent revirement politique de Dos Passos valut à celui-ci de nombreuses critiques. Or son œuvre est peut-être sous-tendu par une trame bien plus cohérente qu’il y paraît au premier abord. Dans un article du New York Times du 25 octobre 1959 intitulé « Looking back on USA », Dos Passos écrit en effet : « La tragédie fondamentale que mon œuvre tente d’exprimer semble rester, au risque de paraître monotone, la même : l’homme luttant pour sa survie et pour ne pas être étouffé par les institutions qu’il a lui-même créées »3. La pierre angulaire de l’œuvre de Dos Passos nous paraît en effet être la défense ininterrompue de la liberté individuelle face au danger que constitue pour elle toute forme de carcan bureaucratique, à commencer par le carcan étatiste du Big Government, de plus en plus présent dans la société américaine depuis F.D. Roosevelt au moins.

En cette époque si particulière, marquée par un amoindrissement de la passion de la liberté individuelle et par une tendance certaine à l’infantilisation des esprits par un État toujours plus paternaliste, lire ou relire Dos Passos – celui notamment des années 50 et 60 – nous paraît constituer un antidote efficace contre le danger que représente l’empiètement croissant du pouvoir politique sur la sphère d’autonomie de l’individu. Car si l’impératif sanitaire de ces derniers mois paraît être en lui-même parfaitement justifiable (lutter contre la pandémie de Covid-19), il ne doit pas pour autant nous conduire à renier ce qui constitue ou devrait constituer le socle de la civilisation occidentale moderne : la protection de l’autonomie de la sphère individuelle.

Un nécessaire espace vital pour l’individu : la conférence « A Question of Elbow Room » prononcée à Princeton en 1956

C’est le constat fait par Dos Passos que les États-Unis des années 50 perdaient « le sens et la passion de l’individualité » qui amena l’auteur de USA et de Manhattan Transfer à prononcer ladite conférence, que l’on peut considérer comme sa profession de foi individualiste et libertarienne4. Conscient de l’audience croissante rencontrée par les idées « progressistes » et collectivistes dans l’Amérique des années 50, Dos Passos estimait qu’il fallait, au rebours de cette tendance de plus en plus manifeste, renouer avec l’esprit de la Déclaration d’Indépendance et de la Constitution des États-Unis d’Amérique. « Nous vivons à une époque, dit-il, où ceux qui font l’opinion par le biais des écoles, de l’université et de la presse vont si loin dans leurs efforts pour conformer les gens à ce qu’ils croient être les exigences d’une société caractérisée par la production de masse que la défense de l’individualité est devenue une question de vie ou de mort »5. Dos Passos a souvent insisté sur la tendance fondamentale des êtres humains à échafauder des institutions qui finissent par se retourner immanquablement contre eux-mêmes. L’originalité des institutions établies par les fondateurs américains réside dans le fait que celles-ci ont vocation à garantir aux individus un espace suffisamment large pour qu’ils puissent librement s’y épanouir. Ainsi Dos Passos déclara-t-il dans la conférence en question : « Quand tous les débats sur le statut de l’architecture du gouvernement qui avait préoccupé les meilleurs esprits du siècle ont abouti en 1776, le principal souci des bâtisseurs de l’État américain a été d’établir des institutions qui laisseraient à chaque citoyen assez d’espace pour se développer en tant qu’individu. Ils différaient grandement entre eux sur la meilleure manière d’y parvenir, mais se retrouvaient d’accord sur cet objectif fondamental. La protection du bonheur individuel, l’assurance de pouvoir disposer de l’espace nécessaire pour y accéder étaient pour eux ce qui justifiait l’existence de l’État »6. De ce point de vue, non seulement les institutions américaines conçues par les fondateurs font figure d’exception dans l’histoire des sociétés humaines, elles entrent aussi en contradiction avec les exigences des défenseurs du Big Governement. « Pour Morris et Jefferson, poursuit Dos Passos, la science suprême consistait à concevoir un gouvernement qui permettrait la plus grande liberté possible aux citoyens ; pour les dirigeants politiques et les théoriciens d’aujourd’hui, elle consiste à leur apprendre à s’adapter aux demandes de la société et de l’État. Et donc à leur apprendre comment s’accommoder de l’absence croissante d’une sphère d’autonomie individuelle »7. Au début de la seconde moitié du XXe siècle Dos Passos en vint donc à penser que la fonction première de l’État était devenue l’antithèse de ce qu’elle avait initialement été en 1776. D’ou l’urgence qu’il y avait selon lui à redécouvrir de première main les textes des fondateurs américains. « Si dans ce pays devait survenir une génération de jeunes hommes et femmes ressentant effectivement que le plus important dans leur vie serait de restaurer la sphère d’autonomie individuelle de chaque Américain, ils trouveraient dans les textes des fondateurs de la République tout un ensemble de procédures et d’attitudes d’esprit dont ils auraient besoin pour s’engager dans leur tâche »8.

Dos Passos rappelle en outre à ses concitoyens comment leurs libertés sont en fait le fruit de combats menés par des générations d’anglophones qui avaient la passion de l’individualité chevillée au corps.

L’état de liberté dans lequel les individus ont pu vivre et s’épanouir n’est nullement le résultat d’un quelconque processus automatique de l’histoire : il est dû à la détermination dont firent preuve plusieurs générations, avant la fondation des États-Unis, pour se libérer du joug de la servitude. Or cette disposition d’esprit, ajoute Dos Passos, est toujours minoritaire : la passion de la liberté individuelle est non la règle, mais l’exception.

« Il est toujours bon de se rappeler, ajoute-t-il dans la même conférence, que la pratique la plus courante de l’humanité est que quelques-uns imposent l’autorité et que la majorité se soumet. Regardez n’importe quel groupe d’enfants jouer pendant une récréation scolaire. C’est l’habitude de la liberté individuelle qui fait exception »9.

L’homme comme animal bureaucratique

Ainsi que nous le disions plus haut, le fil conducteur de l’œuvre de Dos Passos nous semble être une sensibilité aiguë à cette apparente contradiction : l’être humain, dont on peut penser qu’il aspire au moins en partie à la liberté, tend à créer des institutions qui finissent par l’asservir sous l’effet de la bureaucratisation des sociétés.

A cet égard, l’être humain n’est pas qu’un animal social et politique, il est aussi un animal bureaucratique.

Dos Passos aura ainsi éreinté la bureaucratie du Big Business dans La Grosse Galette, tout comme il en viendra quelques années plus tard à pourfendre une bureaucratie bien plus accablante et tentaculaire encore, celle du Big Government : ainsi lorsqu’il dépeint dans son roman Le Grand Dessein (1949) la faillite irrémédiable d’une bureaucratie d’État toujours croissante, conséquence de l’application des principes du New Deal rooseveltien.

Dans l’avant-propos du livre Up from liberalism10 (1959) de William F. Buckley Jr., fondateur de la National Review, Dos Passos revient sur sa conception élargie de la notion de bureaucratie. « Bien que le prolétariat de Marx soit mieux nourri aujourd’hui qu’il y a un siècle, écrit-il, ses membres individuels n’ont guère réalisé de progrès vers la liberté et l’indépendance personnelles sur lesquelles repose la dignité de l’être humain. Toute nouvelle expansion de la société industrielle, que ce soit sous la dictature communiste ou dans les systèmes capitalistes et socialistes mixtes, qui se sont développés dans les pays occidentaux, a amoindri la stature de l’individu ». Ce qui conduira Dos Passos à s’attaquer de plus en plus ouvertement, au fil de sa carrière, à la bureaucratie d’État – dont le développement s’explique notamment par la mise en œuvre des principes « welfaristes » -, c’est avant tout la prise de conscience par lui de l’essor d’une véritable doxa « progressiste » et résolument anticapitaliste.

« Il y a quarante ans, écrit-il dans l’avant-propos en question, un étudiant prenait un certain risque en disant du mal des hommes d’affaires. Le mot « bénéfices » était sacré. On demandait aux défenseurs des syndicats sur un ton moqueur s’ils avaient jamais eu la moindre expérience de la gestion de la paye. Les principes de l’économie de marché libre étaient considérés comme aussi sacrés que les Dix Commandements. Avec la ferveur des jeunes mormons durant leur année passée comme missionnaires, les diplômés d’universités prenaient la route pour vendre des obligations. Combien différent est le climat qui règne aujourd’hui dans les écoles ! Un défenseur de l’économie de marché libre éprouve souvent de la difficulté à conserver son emploi ».

Contrairement à ce que prévoyait Marx, ce n’est pas le socialisme qui devait supplanter le capitalisme : les bureaucrates, ajoute Dos Passos, et non les travailleurs, allaient de plus en plus remplacer les capitalistes après la crise de 1929, au point même de devenir une nouvelle classe dirigeante.

« La Première Guerre mondiale, ajoute-t-il dans le même avant-propos, a causé l’élargissement sans précédent de l’État federal. Sous Roosevelt, les bureaucraties syndicales rejoignaient les bureaucraties des grandes entreprises en tant que forces économiques dominantes. Puis après la Deuxième Guerre mondiale, l’État les dépassa largement toutes les deux. » Les individus, qui sont pourtant à l’origine de la création d’organisations bureaucratiques, ont finalement d’autant plus de mal à en limiter l’action et l’influence que ces organisations sont essentiellement tournées vers un seul et même but : leur propre pérennisation. Dos Passos en vient ainsi à poser l’hypothèse suivante : la mentalité « progressiste », illustrée dans un livre comme Le Grand Dessein, n’est peut-être finalement rien d’autre que « le camouflage idéologique de la volonté de puissance de cette nouvelle classe dirigeante ».

Face à la tendance des bureaucrates américains des temps modernes à défendre bec et ongles leurs fonctions et leurs prérogatives, le recouvrement de la passion de l’individualité apparaît donc pour Dos Passos comme étant la condition sine qua non permettant d’inventer des solutions inédites aux problèmes qui se posent actuellement aux individus. Aussi convient-il pour lui de parvenir à « inverser la tendance qui mène à la servitude individuelle afin de la réorienter vers la liberté individuelle »11 (« A Question of Elbow Room »).

Lorsque la crise sanitaire sera derrière nous, pour revenir à l’époque actuelle, il nous faudra donc aussi réfléchir à ces questions centrales : sommes-nous prêts à renoncer à l’héritage que nous ont légué nos ancêtres, qui se sont battus pour la liberté, au nom d’un impératif collectif, qu’il soit sanitaire ou autre ?

Garantir pour un État la plus grande autonomie individuelle possible, est-ce nécessairement se condamner à devoir gérer moins efficacement les crises venant bouleverser la marche habituelle d’une société ? 

Matthieu Creson
Enseignant, chercheur (en histoire de l’art), diplômé en lettres, en philosophie et en commerce

———-

  1. La guerre civile espagnole (1936-1939) compta pour beaucoup dans la désillusion de Dos Passos vis-à-vis du communisme. Ami et traducteur de Dos Passos, soutien des Républicains espagnols, José Roblès avait été arrêté par les forces de sécurité républicaines, aux mains des services secrets de l’Union soviétique, le NKVD. Il fut fusillé au motif qu’il aurait été un espion agissant pour le compte de Franco. La rencontre avec Orwell, en 1937, finit de convaincre Dos Passos de la nocivité et du caractère intrinsèquement criminogène du communisme. (Voir par exemple USA, Paris, Gallimard, « Quarto », 2002, p. 1315-1316 – section « vie et œuvre ».) À cet égard, Dos Passos fit preuve d’une lucidité comparable à celle qu’on trouve dans le Retour d’URSS d’André Gide (1936) concernant le communisme, écrivant à Upton Sinclair dans une lettre d’avril 1938 : « Concernant ce pays (l’Espagne), j’ai de plus en plus le sentiment que les communistes y introduisent la mentalité fasciste qui a fait de l’Europe un cauchemar. Après tout, ce sont les bolcheviks qui ont inventé tous les procédés d’Hitler et de Mussolini ». (Ibid., p. 1316.) Plus tard, en 1948, Dos Passos fera paraître dans le magazine Life un article intitulé « L’Échec du Marxisme ». L’anticommunisme de Dos Passos se reflète aussi dans un témoignage qu’il fit en 1953, en plein maccarthysme, pour défendre un ancien ami suspecté de sympathie procommuniste : « Mes observations en Espagne m’avaient complètement ouvert les yeux sur le communisme et l’Union soviétique (…) j’ai aussi pris conscience de l’infiltration communiste dans l’administration d’État et dans les médias (…) j’ai décrit cette infiltration sous forme fictive dans un roman intitulé Le Grand Dessein ». (Ibid., p. 1321-1322.) Soit dit en passant, ce propos tenu par Dos Passos en 1953 semble aussi s’appliquer à la situation actuelle d’un pays comme les États-Unis, à ceci près que l’idéologie communiste de jadis paraît y avoir été remplacée par le politiquement correct d’aujourd’hui. Raison de plus pour relire Dos Passos actuellement. ↩
  2. Dos Passos écrira plusieurs livres sur Jefferson : outre celui que nous avons mentionné, citons Thomas Jefferson : l’apprentissage d’un président (1964), ouvrage destiné aux enfants. ↩
  3. Voir Dos Passos, USA, Paris, Gallimard, « Quarto », 2002, p. 1323. ↩
  4. Alain Laurent, L’Autre individualisme, Paris, Les Belles Lettres, « Classiques de la Liberte », 2016, p. 439. ↩
  5. Ibid., p. 440. ↩
  6. Ibid., p. 440-441. ↩
  7. Ibid., p. 441. ↩
  8. Ibid., p. 441-442. ↩
  9. https://www.nationalreview.com/2015/02/question-elbow-room-john-dos-passos/ ↩
  10. Rappelons que le mot anglais liberalism signifie aux États-Unis le contraire exact du mot français « libéralisme ». Dos Passos revient d’ailleurs sur le glissement de sens dont le mot anglais a fait l’objet : « Le ”libéralisme” (au sens américain du terme) était autrefois assimilé à un enthousiasme pour le droit individuel; maintenant cela tend à signifier l’identification au pouvoir central de gouvernement ». (Cité par Michael K. Yetter dans sa these de doctorat « John Doss Passos and the Individual », Northern Illinois University, décembre 2016, p. 163, https://commons.lib.niu.edu/bitstream/handle/10843/21247/Yetter_niu_0162D_12722.pdf?sequence=1&isAllowed=y.) ↩
  11. Cité dans Alain Laurent, op. cit., p. 442 ↩

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