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dans Politique

Election à la présidence de l’AMF – Entretien avec Philippe Laurent

ParPhilippe Laurent
2 novembre 2021
Election à la présidence de l’AMF – Entretien avec Philippe Laurent

Après sept ans à la présidence de l’Association des maires de France, François Baroin a décidé de ne pas briguer un nouveau mandat. Deux candidats, David Lisnard et Philippe Laurent sont en lice pour lui succéder. L’élection aura lieu lors du 103e Congrès des maires et présidents d’intercommunalités de France qui se tient du 16 au 18 novembre à Paris. Pour la Revue Politique et Parlementaire, Jean-Victor Roux a interviewé les deux candidats. Rencontre avec Philippe Laurent, maire de Sceaux, secrétaire général de l’Association des maires de France.

Revue Politique et Parlementaire – L’élection à la présidence de l’Association des maires de France, à laquelle vous êtes candidat, se déroule un peu plus d’un an après les élections municipales. Quels sont pour vous les enseignements de ce scrutin, tenu dans le contexte si particulier de la crise sanitaire, et marqué par une abstention record ?

Philippe Laurent – L’abstention au scrutin municipal de 2020 a été supérieure de 20 points à celle enregistrée en 2014. Marquée par le contexte sanitaire, la campagne des candidats a d’abord été impactée en raison de la crainte des électeurs face à ce nouveau virus, puis contrainte par le report du second tour. Cette situation a en outre généré un contexte inédit pour l’AMF qui a dû décaler d’un an son 103e congrès et le renouvellement de ses instances. 

Pour rappel, l’élection des maires en 2020 est intervenue un an après un sondage qui avait fait la une des journaux en estimant que près de la moitié des maires ne souhaitaient pas se représenter en raison des difficultés d’exercice de leur mandat. Elle s’inscrit également à la fin d’un quinquennat qui a contribué à nourrir le désintérêt pour les responsabilités politiques des élus locaux, notamment avec la fin de la taxe d’habitation. Les maires sont en passe de devenir de simples sous-traitants de l’administration d’Etat, ce que naturellement nous n’acceptons pas.

La place des maires dans les pouvoirs publics sera un des sujets de fond des prochaines années.

Notons cependant que l’abstention aux municipales est restée inférieure à celle observée lors des élections régionales et départementales de cette année 2021, et que la « popularité » du personnage du maire reste très élevée, avec près des trois-quarts des Français qui disent être attachés au maire. Cette popularité tient notamment à l’incarnation du scrutin, car l’élection du maire est, comme celle du président de la République, une élection incarnée, identifiée des électeurs, et qu’elle est à leurs yeux porteuse de responsabilité malgré la volonté étatique de la « dévitaliser ».

RPP – Emmanuel Macron a fait appel aux maires dans le cadre inédit du Grand débat national, au plus fort de la crise des Gilets jaunes. Le gouvernement a également vanté le « couple maire-préfet » pour faire face à l’épidémie de Covid-19. Pourtant, les sujets de désaccord semblent nombreux entre l’exécutif et les élus. Comment jugez-vous les relations entre les maires et le Président de la République au cours du quinquennat écoulé ?

Philippe Laurent – Historiquement, la République repose sur deux piliers : l’Etat et la commune. C’est une situation très particulière à la France, qu’on ne retrouve pas dans d’autres pays, et notamment les pays à structure fédérale ou quasi-fédérale. Elle suppose une forme de relations faite de confiance et respect mutuel, ce qu’incarne bien l’expression « couple maire-préfet ». Et c’est vrai que ce couple fonctionne généralement assez bien, sous la double condition que le maire ait les moyens de ses responsabilités et que le préfet dispose de marges de manoeuvre. Or, ceci est de moins en moins vrai sous l’effet d’une recentralisation administrative très forte à l’oeuvre depuis une dizaine d’années, à la suite notamment de la crise financière de la fin des années 2000. J’ajoute que certaines mesures concernant les conditions d’exercice du mandat de maire ont été perçues comme vexatoires et injustes (et notamment s’agissant des indemnités de fonction ou des accusations infondées de prise illégale d’intérêt). Je crois que le président de la République est encore trop à l’écoute de ses condisciples hauts fonctionnaires, qui se sont appropriés totalement la défense de l’intérêt général et ne considèrent les élus locaux que comme des exécutants, et encore à condition qu’ils soient dociles et n’aient pas trop d’idées… on n’en sortira pas sans une vraie révolution culturelle de l’administration centrale que malheureusement personne ne porte réellement, car elle supposerait aussi une réforme institutionnelle d’ampleur. Tout est lié, et on ne veut pas le voir.

RPP – Baisses de dotations, suppression du levier fiscal avec la fin de la taxe d’habitation, transfert de nombreuses compétences à l’échelon intercommunal : ces dernières années, le constat d’une perte de pouvoir des maires semble difficilement contestable. Comment y remédier ?

Philippe Laurent – La suppression de la taxe d’habitation était une mauvaise idée pour les finances locales, déjà en difficultés en raison des baisses de dotations, et les finances publiques en général. Elle a retiré aux maires un levier d’action, et en même temps a distendu le lien citoyen entre la commune et les habitants puisqu’une partie de ceux-ci ne participent plus aux charges communes. L’AMF l’a dit et répété dès le début du quinquennat. Quant à l’intercommunalité, elle pâtit de la loi Notre, qui a transformé une démarche positive (une intercommunalité choisie et progressant au rythme choisi par les élus eux-mêmes) en une contrainte (par la taille minimale et les transferts obligatoires). C’est très dommage. Face à cette situation mal vécue par de nombreux maires, l’AMF doit continuer d’être au service de ses membres en travaillant à renforcer la « communauté des maires ». Elle doit également impulser un nouveau dialogue, exigeant avec les ministres, l’administration centrale, les parlementaires, en particulier avec les députés.

L’AMF doit être plus présente au Parlement, se faire davantage reconnaître comme force de proposition, continuer inlassablement à éclairer les décideurs sur la situation exacte du pays dont les maires sont d’excellents connaisseurs.

Enfin, dans le prolongement de la loi Lecornu, il faut continuer d’assouplir le fonctionnement des intercommunalités sans les détricoter. Nous avons là aussi un travail à faire ensemble, en toute bonne foi.

RPP – L’application du non-cumul des mandats a pour effet de déconnecter la vie politique nationale de la vie politique locale. C’est d’ailleurs le premier Parlement du non-cumul qui a voté la suppression de la taxe d’habitation. Faut-il revenir sur cette réforme afin que les maires, qui sont identifiés des Français et bénéficient d’une place à part parmi les élus locaux, puissent se faire mieux entendre à Paris ?

Philippe Laurent – Après ces premières années, une véritable réflexion sur cette question s’impose en effet. Certes, le non-cumul des mandats permet une forme d’autonomie avec le Parlement, mais créé avec le temps une distance entre les élus nationaux et les élus locaux sur laquelle il va falloir lutter, car certains n’ont pas d’expérience locale, comme ce fut le cas en 2017, et ne peuvent pas comprendre comment fonctionne le système. Là encore, le cumul des mandats est lié au régime institutionnel, qui n’organise pas de contre-pouvoirs suffisants. S’il n’y a pas d’évolution, nous irons vers une situation avec deux mondes qui s’éloigneront de plus en plus, créant de l’inefficacité, de l’incompréhension, des frustrations et des affrontements. Le pays en pâtira gravement.

Le retour à une forme maîtrisée de cumul est probablement une piste à examiner, mais, au-delà du Parlement, il y a aussi à installer une relation beaucoup plus organique entre les exécutifs locaux et l’exécutif national. Les tentatives précédentes ont échoué, essentiellement par manque d’ambition et d’engagement loyal des uns et des autres.

RPP – Quarante ans après les lois Defferre, réclamer « davantage de décentralisation » est presque devenu un lieu commun et cette notion semble désigner un processus sans fin. Que recouvre concrètement cette revendication et pourquoi est-elle à même de répondre aux attentes des Français ?

Philippe Laurent – L’idée de décentralisation est sur les lèvres de tout le personnel politique, mais est généralement rapidement oubliée une fois au pouvoir ! Les exceptions existent, avec notamment le gouvernement Mauroy et les lois Defferre de 1982-1984, préparées d’ailleurs par toute une série d’initiatives sous le septennat de Valéry Giscard d’Estaing. Les premières lois décentralisatrices ont été ce que j’appellerai des lois « positives », c’est-à-dire des lois qui créaient de nouvelles libertés de faire, avec une grande latitude d’évolution et de négociation. Ensuite, sont apparues, en même temps finalement que la globalisation de la responsabilité des finances publiques aux mains du seul Etat, des lois que je qualifierai, en opposition, de négatives, car contraignantes pour les collectivités. Je pense notamment aux lois MAPTAM et NOTRe qui nous ont enfermés dans une vision technique des sujets, nous éloignant ainsi de l’idée d’un renforcement des libertés locales et d’une gestion des services publics plus proche des citoyens.

On est ainsi passé progressivement d’une conception « politique » du rôle des élus locaux à une conception purement gestionnaire et sous contrainte, sous le prétexte de la crise des finances publiques.

Or, la décentralisation ne doit pas être un simple transfert de compétences de gestion du haut vers le bas, mais un véritable projet de société offrant de nouvelles libertés aux collectivités sans les contraindre, et en même temps les rendant plus responsables, par exemple par l’autonomie fiscale et la décision de lever l’impôt.

RPP – La France compte près de 40 % des communes de l’Union européenne. Faut-il maintenir cet héritage historique, ou au contraire encourager la constitution de communes nouvelles, ce qui tend à se développer y compris pour d’importantes aires urbaines, à l’instar d’Annecy ?

Philippe Laurent – Je le répète : le système républicain français s’est construit sur le couple Etat-communes et donc sur la relation maire-préfet. Ce chevauchement des échelles est donc constitutif du fonctionnement de notre République. La commune n’a pas le même statut dans les autres pays que chez nous avec par exemple un maire qui est aussi le représentant de l’Etat sur son territoire et détient, parce qu’il est maire, des prérogatives d’Etat, ce qu’on oublie trop souvent.  Néanmoins, les communes nouvelles, dont j’ai activement défendu le développement à l’AMF, peuvent permettre de mieux répondre aux attentes des habitants par la réalisation de nouveaux investissements et d’économies d’échelle par mutualisation. Elles sont en ce sens une réussite, car elles respectent le « fait communal », qui réunit l’efficacité, la proximité et la responsabilité. C’est une affaire d’équilibre, cela doit se décider au cas par cas, par volontariat et en aucun cas s’imposer par le haut.

RPP – L’Association des maires de France est une institution importante de notre République. Quel doit être son positionnement vis-à-vis des partis politiques ? Comment concevez-vous le rôle de son président afin de représenter l’ensemble des maires du pays ?

Philippe Laurent – L’AMF n’est pas un parti politique. Ce n’est pas non plus une structure dont on se sert pour faire carrière.

L’AMF doit être « centrale », au coeur de la nation, parce que le maire est « central » dans sa commune.

Elle ne peut se définir « pour » ou « contre » un pouvoir quel qu’il soit, car elle existe en elle-même et est puissante de l’engagement de chacun de ses membres pour la République, le service public, le lien social. L’AMF assiste et défend tous les maires, sans considération de leur éventuelle appartenance partisane – dont ils se réclament généralement assez peu, d’ailleurs, et c’est tant mieux. Le Président doit incarner cette neutralité et agir exclusivement dans l’intérêt général de l’Association, être en contact avec les institutions du pays, parfois en négociation, être aussi en, relation avec les forces économiques, syndicales, associatives,…. Par exemple et pour cette raison, si je suis élu président de l’AMF, je ne soutiendrai aucun candidat durant la campagne présidentielle, et je proposerai à chacune et chacun des candidats une audition devant nos membres, en respectant une stricte égalité.

RPP – L’AMF est présente aux côtés des autres associations d’élus dans le cadre de la démarche « Territoires unis ». Entendez-vous poursuivre cette orientation d’un front commun face à l’Etat pour demander davantage de décentralisation ?

Philippe Laurent – La démarche « Territoires unis » que nous avons mené conjointement avec les représentants des départements et des régions a été un succès – auquel j’ai participé en tant que secrétaire général de l’AMF, car elle nous a permis de prendre des positions communes. Cette démarche de partenariat et d’élaboration de prises de position et de propositions communes doit être étendue à l’ensemble des associations du bloc communal.

RPP – Le mandat municipal est souvent présenté comme le plus beau des mandats. Pourquoi avez-vous souhaité l’exercer ? Quelles sont les qualités d’un bon maire ?

Philippe Laurent – Je ne suis pas entré en politique par idéologie ou par les appareils politiques, mais presque par hasard en rejoignant la liste d’Erwin Guldner lors des élections municipales de 1971 à Sceaux, alors que j’étais qu’un jeune ingénieur de 22 ans. Les années se sont écoulées, je me suis passionné pour la gestion publique locale et je suis devenu adjoint en 1983, jusqu’au scrutin de 2001 où les habitants m’ont élu comme maire.

Ces années, conjuguées à mes autres expériences (tant professionnelles qu’électives), ont nourri en moi l’idée qu’un maire doit d’abord être à l’écoute des préoccupations de ses habitants pour répondre à leurs besoins et mettre en place les projets du quotidien. Il doit faire cela en gardant toujours une bienveillance et une proximité afin de faire de l’action publique un socle de confiance. Il doit aussi veiller à « manager » son équipe et son administration, et à construire une vision à long terme pour sa ville. Il doit enfin être à même de construire des partenariats de toute nature. Le « métier » de maire est à, la fois complexe et riche. Il suppose un engagement permanent, mais permet aussi beaucoup de satisfactions !

RPP – Pourquoi êtes-vous le mieux à même de présider l’Association des maires de France ? Quelles seront vos priorités une fois investi de la confiance de vos pairs ?

Philippe Laurent – Beaucoup savent le lien privilégié que j’entretiens avec l’AMF dont j’ai notamment été le vice-président pendant 10 ans auprès de Jacques Pélissard, puis le secrétaire général pendant 7 années auprès de François Baroin. L’exercice de mes missions m’a amené à visiter près d’une centaine d’associations départementales – véritables socles et racines de l’AMF – au cours de ces sept dernières années.

Mon engagement pendant près de 20 ans a été total au sein de l’AMF. Il m’a apporté beaucoup de satisfactions personnelles. J’ai été de tous les combats qu’a menés l’AMF : lutte contre la baisse des dotations et la diminution de l’autonomie fiscale, mise en place des communes nouvelles, modernisation de la fonction publique territoriale, aménagement du territoire, transition écologique et énergétique, sécurité, laïcité, rythmes scolaires, statut de l’élu. Je l’ai fait en prenant toujours soin de respecter une approche non partisane et en restant parfaitement loyal à l’égard de l’institution et de ses présidents successifs.

Je crois aujourd’hui que l’AMF peut faire encore plus, et mieux, pour renforcer la « communauté des maires ».

Les chantiers sont multiples : finances, transitions, avenir du service public, éducation, culture, citoyenneté, participation, etc… Ces chantiers participeront à faire de l’AMF une force de propositions et d’orientations, qui soit exigeante et nourrisse un dialogue approfondi avec le gouvernement, le Parlement, les acteurs économiques, syndicaux, associatifs, etc. C’est une fois encore une AMF « centrale », au cœur de la nation, qu’il faut continuer à construire avec détermination et enthousiasme. Le même enthousiasme que les maires mettent, malgré toutes les difficultés, dans l’avenir de leurs communes.

Philippe Laurent
Maire de Sceaux
Secrétaire général de l’Association des maires de France
Propos recueillis par Jean-Victor Roux

Philippe Laurent

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