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dans International

Comment bâtir un « nouveau partenariat euroafricain »

Claude SicardParClaude Sicard
4 novembre 2021
Comment  bâtir un « nouveau partenariat euroafricain »

Après cette tentative avortée qu’a été « le nouveau sommet Afrique France » qui s’est tenu à Montpellier en octobre dernier, ne voila t-il pas que notre ministre des Affaires étrangères nous annonce qu’Emmanuel Macron  va  faire du « renforcement du partenariat euroafricain » une des priorités  lors de sa présidence de l’Union européenne, au premier semestre 2022. 

Il vient, en effet, de se tenir à Montpellier, ce 8 octobre 2021, une manifestation importante,  intitulée « Le Nouveau Sommet Afrique France », qui a réuni 3 000 personnes, dont 1 000 jeunes, de 12 pays d’Afrique, « un sommet  d’un genre nouveau, sans  chef d’ Etat, pour refonder nos relations avec l’Afrique » a indiqué le responsable de la communication de l’Elysée. Et Emmanuel Macron a tenu à en animer lui-même les débats. Mais par trop absorbé par les multiples sujets qu’il estime devoir traiter personnellement sans  jamais rien déléguer, le chef de l’Etat est passé complètement à coté du sujet. Un proverbe populaire nous dit « qui trop embrasse mal étreint », et ce dicton plein de bon sens s’est vérifié ici, à nouveau. Ce sommet a été un véritable fiasco. 

On peut s’interroger, tout d’abord, pour savoir si un sommet de ce  type est bien le dispositif le plus approprié pour refonder nos relations avec les pays africains. On a été, à nouveau, là, dans la procédure chère à Emmanuel Macron qui consiste à réunir sans aucuns travaux préparatoires, donc dans l’improvisation la plus totale, des personnes tirées au sort, sans l’assistance d’experts, pour procéder à des reformes profondes de la façon dont fonctionne un secteur d’activité, et ceci dans des délais de temps extrêmement brefs. Il y avait eu, précédemment, le « Grand  débat », puis le « Ségur de la santé », puis « La Convention citoyenne sur le climat », puis « Le Beauvau de la Sécurité », avec le succès, chaque fois, que l’on sait.  Mais néanmoins, Emmanuel Macron persiste avec l’entêtement qui le caractérise.

Voyons, ensuite,  pourquoi ce fut un énorme gâchis, une occasion manquée de placer nos relations avec l’Afrique dans un cadre nouveau et de proposer à tous ces pays un partenariat correspondant aux exigences du moment. Car c’est bien ce qu’attendaient les organisateurs de ce colloque qui avaient inversé les termes dans la relation «  France-Afrique » : ils avaient  eu l’audace, en effet, d’intituler ce sommet « Le nouveau sommet Afrique France », manifestant par là  leur  désir de tourner la page sur  la « Françafrique » et de voir entrer les relations entre notre pays et le continent africain dans une ère nouvelle.

Les seules annonces qu’Emmanuel Macron s’est trouvé capable de faire à ce sommet ont consisté en la mise en place d’un fonds français de soutien à la démocratie, et la création d’une « Maison des mondes africains et des diasporas ».

Et, bien évidemment, Emmanuel Macron n’a pas manqué de se laisser humilier, comme cela était à craindre : les jeunes Africains participant à ce colloque ne se sont pas privés de dépeindre fielleusement l’ancienne puissance colonisatrice sous les traits les plus sombres : un pays esclavagiste, raciste, arrogant et responsable de l’appauvrissement de l’Afrique du fait du pillage qu’il a fait de ses ressources naturelles.

Laisser insulter la France comme il l’a fait est indigne du représentant qu’il est, placé au plus haut niveau hiérarchique de notre  pays, qui, plus est, par des personnes venues pour jeter les bases  d’un nouveau partenariat entre la France et l’Afrique.

On ne démarre pas une nouvelle ère de collaboration en insultant son partenaire : mais cela a échappé à notre Président.

Le blogueur sénégalais Cheikh Fall a appelé Emmanuel Macron à demander pardon à l’Afrique et aux  Africains « pour les crimes de la colonisation », et notre Président n’a pu se dérober puisque, on s’en souvient, il avait lui-même qualifié la colonisation de l’Algérie  de « crime contre l’humanité » lors du voyage  qu’il avait fait dans ce pays au cours de sa campagne électorale. Une représentante du  Burkina a qualifié la relation  France-Afrique de « marmite très sale qu’il faut  récurer », et l’activiste malienne Adam Dicko a dit à notre Président : «  Vous devez cesser de faire croire que vous voulez aider les Africains ». Voilà donc le  climat dans lequel s’est déroulé ce sommet : en réponse, Emmanuel Macron a invité ses interlocuteurs à « privilégier un travail de vérité », et il a salué la part d’africanité de la France, se félicitant au passage de la chance qu’a notre pays d’avoir une « diaspora africaine ». Et il a annoncé que la France allait restituer au Bénin 26 œuvres d’art provenant du trésor de Béhanzin pillé au palais d’Abomey en 1892, pendant les guerres coloniales.

Comment donc notre chef de l’Etat a-t-il pu laisser notre pays se faire ainsi piétiner par de jeunes Africains arrogants venus pour débattre avec lui de  la refondation de nos relations avec leur continent, le continent qui est dans le monde celui qui a le plus de mal à entrer dans des processus de modernisation, asphyxié par les problèmes démographiques qui plombent les économies des différents  pays et par la prévarication de la plupart des dirigeants ?

Il nous faut donc rappeler ici la gravité des problèmes à traiter et indiquer sur quelles bases, dorénavant, devrait se trouver fondée la relation entre notre pays et l’ Afrique.

La gravité des problèmes à résoudre

Chacun a conscience, aujourd’hui, de la gravité des problèmes qui se posent, car les flux migratoires auxquels l’Europe a à faire face servent de signal d’alarme : les pays africains ne parviennent plus a assurer la survie de tous leurs habitants, et cette situation va inévitablement s’aggraver dans les années à venir en raison de la dynamique démographique qui est celle de ces pays et des dégâts qui seront causés aux populations subsahariennes par les évolutions du climat sur notre planète. De leur coté, les pays européens se trouvent de plus en plus troublés par les flux migratoires qu’ils ont à absorber, et ils  se considèrent comme incapables d’accueillir davantage encore de migrants. Il y va, pour eux, de la cohésion de leurs sociétés, de la conservation de leur mode de vie, et de leur identité.

Les pays africains connaissent, en effet, une démographie galopante : 100 millions de personnes en 1900, 275 millions en 1950, et 1,3 milliard aujourd’hui. Et la population de ce continent va s’accroitre d’un peu plus d’un milliard de personnes d’ici à 2050 nous dit l’IHME, un organisme basé à Seattle aux Etats-Unis. Le Nigeria sera, en 2100, le pays le plus peuplé du monde, derrière l’Inde, et trois autres pays africains figureront alors parmi les 10 pays les plus peuplés du monde. Pour ce qui est du PIB par tète, il s’est accru de 50 % dans les pays subsahariens entre 1960 et 2020, alors qu’il s’est agi d’un multiplicateur de 5,7 pour l’Asie du Sud et de 22 pour l’Asie de l’Est. On ne peut que se désoler des performances médiocres des pays africains, en comparaison des stupéfiants capacités manifestées par leurs homologues asiatiques pour résoudre leurs problèmes de développement..

Pour un vaste plan d’aide à l’ Afrique, au niveau  européen

Il va donc falloir aider les pays africains à se développer, et il est bien évident que la dimension des problèmes à traiter dépasse les moyens pouvant être mobilisés au niveau de chaque pays européen pris isolément. Il va donc s’agir, dorénavant, de se placer au niveau de l’ Europe, c’est-à-dire de cette entité politique qu’est l’Union européenne. On n’en est plus aux miasmes de la Françafrique, d’autant que les opinions des jeunes Africains sont devenues plutôt hostiles à la France, comme le montrent actuellement les critiques croissantes des populations africaines qui souhaitent que la France en finisse avec son opération Barkhane en  Afrique, qui a, selon elles, des relents de colonialisme.

Actuellement, l’Europe intervient en Afrique avec des moyens très limités car chacun des pays membres veut conserver sa propre politique de coopération, ce que l’on nomme «  la coopération bilatérale », un système où chaque pays mène une politique de coopération qui lui est propre, qu’il conduit en fonction de ce qu’il estime être ses intérêts. Le montant de l’aide publique des pays européens (APD) s’est élevé  à 75,2  milliards d’euros en 2020, soit 0,53 % du PIB des 27 pays membres, et cette aide est essentiellement gérée par les pays, eux-mêmes, le budget du Fonds européen s’étant limité à 30,5 milliards d’euros seulement  pour la période 2014-2020, soit environ 5 milliards par an. Et les  pays africains n’interviennent que pour  40 %  dans la politique d’aide de l’Europe aux pays en voie de développement, soit 30 milliards d’euros par an, actuellement.

Il va s’agir d’accélérer considérablement le développement économique de ces jeunes pays africains, et, pour cela, il faudra focaliser nos aides sur les éléments qui permettront à ces pays de se développer économiquement le plus rapidement possible, car il y a, pour l’Europe comme pour eux, une urgence. Et, dans le cadre de ce nouveau pacte de  coopération avec les pays africains, il va falloir obtenir qu’ils acceptent de rapatrier chez eux  tous leurs ressortissants que nos pays européens ne sont pas en mesure d’accueillir.

Evidemment, l’effort financier va devoir être considérable : il va s’agir de prévoir un budget de l’ordre de 100 milliards d’euros chaque année, chiffre correspondant aux engagements pris par les pays développés devant l’OCDE en 1960. Et il faudra que ce montant d’aide se trouve totalement consacré aux pays africains : ainsi l’aide de l’Europe à l’Afrique se trouverait elle multipliée par trois.

Et, autre disposition à prendre : concentrer tous les moyens financiers dans les mains de la Commission européenne de façon à ce que les pays africains n’aient qu’un seul interlocuteur.

Cela sera essentiel pour agir efficacement et être en mesure de mener avec les pays bénéficiaires les négociations permettant de résoudre les problèmes de réinstallation chez eux des migrants récalcitrants, un problème actuellement insoluble pour les pays européens. Ce serait la contrepartie exigée par l’Europe pour mettre en place ce vaste plan d’aide. Les Chinois exigent eux aussi, de leur coté, on le sait, des contreparties : elles consistent en des concessions, dans des conditions particulièrement avantageuses, pour l’exploitation de ressources naturelles : ressources minérales, forestières, ou agricoles.

Cette aide publique serait consacrée, essentiellement, aux trois objectifs suivants :

  • La réalisation des infrastructures dont l’Afrique a un urgent besoin ;
  • L’alimentation d’un fonds d’assurance des investissements privés contre les risques non commerciaux, un fonds à créer au niveau européen, à l’exemple de la MIGA créée à Washington par la BIRD ;
  • La réinstallation des migrants dans leur pays d’origine.

Pour ce qui est des infrastructures, il faudra agir à la manière des Chinois, c’est-à-dire en adoptant, en accord avec les pays concernés, des procédures  permettant d’agir directement avec nos entreprises de travaux publics.

Pour ce qui est de la mobilisation des entreprises européennes, pour qu’elles s’orientent vers l’Afrique bien plus qu’elles ne le font spontanément aujourd’hui, il faudra créer un fonds de garantie au niveau européen pour assurer nos entreprises contre les risques politiques, comme celui qui existe a Washington auprès de la Banque mondiale, la MIGA.

L’Europe, qui gérera l’ensemble des aides à l’Afrique, aura le poids voulu pour dialoguer avec les pays qui pourraient être tentés de spolier nos entreprises.

Les pays africains, de leur coté, devront s’ouvrir plus largement aux investissements étrangers privés : il faut, en effet, être conscient du fait que l’implication des entreprises des pays développés dans le processus de développement de pays en voie de développement est fondamentale. Les entreprises étrangères, en effet, qui investissent sur place sont des acteurs essentiels : elles constituent, on l’oublie trop souvent, le moteur de la croissance dans ces jeunes pays. Actuellement, les IDE (investissements directs étrangers) s’élèvent à quelque 800 milliards de US$ chaque année, dans le monde : 500 milliards s’orientent vers les pays asiatiques, et seulement 60 milliards vont dans les pays africains. Les investissements étrangers permettent aux pays bénéficiaires d’accéder aux technologies qu’ils n’ont pas, de former leur main d’œuvre, et d’exporter : les firmes étrangères, en effet, sont essentielles pour alimenter les exportations, car des entrepreneurs locaux agissant seuls sont incapables de pénétrer sur les marchés des pays développés. Tout pays qui se développe accroît à vive allure ses importations et il est donc vital, pour lui, qu’il puisse développer ses exportations au même rythme afin de gagner les devises dont il a besoin pour payer ses importations.

Troisième volet : l’aide à la réinstallation dans leur pays d’origine de tous les migrants que l’Europe ne se trouvera pas en mesure d’accueillir : et, là, les modalités d’intervention de l’Europe seront à mettre au point avec chaque pays intéressé.

On est très loin, actuellement, de la mise en place d’un tel dispositif. Dans le cas de la France, par exemple, l’aide aux pays africains revêt des formes multiples et variées : mais faute d’être consacrée à l’essentiel, comme le font les Chinois, elle n’a aucun effet sur la croissance de ces pays. Et, en s’inspirant là aussi des Chinois, il faudra cesser de s’immiscer dans les affaires intérieures de ces pays.

Emmanuel Macron qui sera porté à la tête de l’Europe le premier janvier prochain devra être l’artisan de ce vaste plan de « partenariat » de l’Union européenne avec l’ensemble des pays africains. On a vu, avec ce sommet avorté qui vient de se tenir à Montpellier, qu’il est à une année lumière du projet dont nous esquissons ici, à  grandes lignes, les contours : il s’agirait, pourtant, d’un plan à lancer sans plus attendre car répondant à un besoin urgent, un plan orienté avant tout vers l’action et conçu pour répondre de manière équilibrée aux besoins primordiaux des parties en présence. Puisse donc l’annonce faite par son ministre des Affaires étrangères qui nous informe du souci d’Emmanuel Macron de faire du partenariat avec l’ Afrique une de ses priorités lors de sa présidence, en 2022, de l’UE déboucher sur le lancement d’un plan d’aide à l’Afrique de l’importance de celui que nous indiquons ici, conçu en s’écartant totalement des manières d’opérer qui ont été celles, jusqu’ici, tant des pays européens que de l’Union européenne elle même. L’exemple du réalisme des Chinois et de leur manière pragmatique d’opérer en Afrique doit ouvrir les yeux de nos hauts fonctionnaires qui ont aujourd’hui les leviers de commande à la Commission européenne, à Bruxelles.

Claude Sicard
Economiste, consultant international

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