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dans N°1101, Science et technologie

Les nouveaux défis de la liberté à l’ère numérique

Olivier BabeauParOlivier Babeau
8 avril 2022
« Big brother is watching you »

Les nouvelles technologies ouvrent des possibilités vertigineuses qui sont évidentes. Mais elles sont aussi porteuses d’évolutions préoccupantes pour la liberté. Trois des libertés essentielles sont ainsi particulièrement menacées : le libre-arbitre, la liberté d’expression et enfin la liberté politique.

Le libre-arbitre est le luxe de demain

Le luxe d’hier est souvent devenu le standard d’aujourd’hui. Manger à sa faim, vivre en sécurité étaient des privilèges il y a des siècles, avant de devenir heureusement banals. Un mouvement inverse pourrait bien faire que le standard d’autrefois devienne l’exception demain. Dans les années qui viennent, le libre-arbitre risque de devenir un trésor précieux car rare.

L’autonomie a été la grande conquête de l’humanité. À force d’ingéniosités et d’efforts, les humains ont réussi à dépasser leurs contraintes immédiates. Ils ont pu coloniser la planète. Ils ont vaincu les rigueurs de la nature en développant les technologies médicales faisant reculer la mortalité infantile. Puis la modernité a été l’épiphanie de l’autonomie, apportant aux individus la liberté politique. La vie se présente aujourd’hui comme un paradis de choix s’offrant à nous : notre profession, nos relations affectives, nos croyances, et plus généralement tous nos comportements sont ouverts.

Mais l’histoire du libre-arbitre pourrait bien s’arrêter là. L’effet des technologies jusqu’à présent était un accroissement de l’éventail de nos possibilités ; elles peuvent devenir maintenant des vecteurs d’aliénation.

Tout d’abord, les versions gratuites des services sur internet passeront de plus en plus par l’acceptation d’une traçabilité totale. Conserver ses données et éviter le ciblage ultra-précis qu’elles permettent sera un privilège de nantis. Partout, la préservation de ses propres données deviendra une coûteuse lubie.

Seuls les plus riches d’entre nous, ensuite, auront les moyens d’échapper aux technologies addictives.

Le marketing était un art pratique. Il devient une science. Les progrès des neurosciences permettent de comprendre en profondeur les mécanismes de nos désirs et de nos décisions. Le Persuasive Technology Lab de Stanford a créé une discipline, la captologie, dont le but est de mobiliser tous les leviers de confiscation de notre attention, en utilisant par exemple notre réflexe ancestral de chasseur à rester en alerte et attentif à tous les nouveaux signes. Les notifications ont remplacé les bêtes sauvages. S’abstraire du flux sera un effort que peu feront. Une éducation exigeante reposant sur une discipline de fer sera nécessaire. Une culture élitiste, développant l’art d’échapper aux machines, en sera capable. Les plus aisés pourront aussi avoir recours à des accompagnements spéciaux de « coaches en humanité ».

À mesure que le marché de notre attention deviendra saturé et mieux réglementé, la seule possibilité pour les plateformes sera de recueillir notre consentement aux publicités. Elles y parviendront en proposant des contenus gratuits ou moins chers à ceux qui auront subi les messages. Vidéos gratuites, services en tous genres seront accessibles à condition d’accepter d’ouvrir son cerveau aux annonceurs. Il faudra payer pour y échapper. L’application PreShow propose par exemple d’échanger des places de cinéma contre 20 minutes de publicité. Innovation de taille : la caméra de votre ordinateur vérifie que vous ne détournez pas les yeux et que vous regardez entièrement. Dans le cas contraire elle stoppe la vidéo. Aucun moyen d’y échapper. Le lavage de cerveau sera impitoyable. Maintenir une bonne hygiène mentale deviendra un privilège des classes dominantes.

Il faut sauver la liberté d’expression

J’avais appris dans mon enfance à considérer la liberté d’expression comme une évidence. Les cours d’histoire nous faisaient découvrir avec stupeur, et non sans quelques frissons, les bûchers du Moyen Âge, le procès de Galilée, les purges totalitaires. Des milliers d’années où avaient dominé, sous une forme ou une autre, des systèmes par lesquels les propositions déviantes étaient interdites, souvent éliminées en même temps que ceux qui avaient osé les formuler. On nous apprenait combien il était formidable de vivre à une époque où plus personne ne pouvait imposer le silence au nom de ses croyances et imposer par la violence son interprétation de la vérité. Une époque où l’on respectait toutes les opinions, pourvu qu’elles acceptent de respecter les autres, et où il n’était pas nécessaire d’être d’accord sur tout pour daigner se parler.

Nos enfants n’auront pas la même chance.

La liberté d’expression, comme la démocratie qui en dépend, risque de n’avoir été qu’une parenthèse bien courte.

Le mécanisme est le même depuis des millénaires. Un groupe minoritaire développe une idéologie qu’il parvient à imposer au reste de la société. Cette idéologie définit précisément ce qui peut être dit et ce qui doit être tu. Dans un premier temps elle profite de la tolérance générale pour s’exprimer, dans un second elle disqualifie tout discours déviant, affirmant peu à peu une prétention à détenir le monopole de la vérité. Elle a son clergé, son vocabulaire, ses tabous, ses tribunaux et ses potences.

Dans Coming apart, le politologue Charles Murray décrit la nouvelle forme de ségrégation sociale qui isole les élites politiques, économiques et intellectuelles aux États-Unis et leur permet de développer une bulle sociale où l’idéologie du puritanisme progressiste est hégémonique. Tous issus des mêmes universités et lieux de formation, ce groupe de milliardaires a les moyens d’étendre son emprise grâce aux entreprises qu’ils contrôlent. Il s’agit aujourd’hui de la plus puissante force de diffusion de la bien-pensance contemporaine. Outre-Atlantique, ce courant fait d’incroyables progrès. Il faut visionner les vidéos sur les dérives de l’Evergreen State College pour comprendre comment le progressisme, dans sa version la plus extrême, impose physiquement le silence à tous ceux qui osent questionner l’orthodoxie ou même ne professent pas le catéchisme du moment avec assez de zèle. Tout est fait pour réduire la moindre interaction sociale au schéma obsessionnel du rapport entre oppresseurs et victimes, chacun appartenant à l’un ou l’autre camp en fonction de sa race, de ses préférences sexuelles ou de son sexe. Les universités devraient être ce lieu surplombant de la société où sont montrées avec courage les ambiguïtés du réel, elles se transforment en camps de rééducation idéologique. Elles devraient être les temples de la rationalité et de la confrontation scientifique, elles deviennent les gardiennes d’un projet politique.

Les bulles cognitives créées par les réseaux sociaux aidant, toute la société est contaminée. Nous devenons hyper-sensibles aux divergences d’opinion désormais perçues comme des violences. Elles sont ainsi de moins en moins supportables. John Cleese, le mémorable acteur du groupe des Monthy Python, témoignait en 2016 de son exaspération face à la chape du politiquement correct qui étouffe l’humour. Tout se passe, souligne-t-il, comme si la société voulait nous protéger de toute émotion inconfortable. Il rapporte la phrase d’un psychiatre londonien qui lui a livré une explication éclairante de ce besoin nouveau : « si les gens ne peuvent pas contrôler leurs propres émotions, alors ils doivent essayer de commencer à contrôler le comportement des autres ».

Nous riions hier des « enfers » des bibliothèques, ces lieux où l’on cachait les ouvrages interdits. Ils ont été rouverts.

Tous les livres ne sont plus bons à lire. Plusieurs écoles de Barcelone ont supprimé 200 livres de leur collection, soit un tiers de leur catalogue, dont La Belle au bois dormant et Le Petit Chaperon Rouge, jugés « stéréotypants et sexistes ».

La machine à purger les discours tourne à plein. Au nom du respect des opinions, on veut en interdire l’expression. Le puritanisme progressiste ne gagne pas parce qu’il est fort, mais parce qu’il a pour lui la foule immense des gens lâches qui croient éviter la guerre au prix de la honte. Comme pour Munich autrefois, ils auront l’une et l’autre.

L’universitaire James Flynn, auteur de l’effet qui porte son nom concernant la hausse du QI dans les sociétés développées, a annoncé en 2019 que son éditeur, Emerald Publishing, venait de lui refuser le manuscrit attendu. Le sujet ? La liberté d’expression… L’éditeur expliquait en substance que le texte traite des sujets sensibles de race, de religion ou de genre, et qu’ainsi « les risques de complications judiciaires sont trop grands ». Steven Pinker, le grand penseur contemporain qui insiste sur l’urgence de célébrer et retrouver les Lumières, s’est indigné du refus de publication. Pour ne heurter personne, on tait et on fait taire.

Si le recul de la liberté d’expression est si dramatique, c’est parce qu’il affaiblit directement le débat politique. L’éthique de la discussion a cédé la place à une éthique de l’anathème, consistant à décerner aux uns des brevets de vertu, aux autres des stigmates d’indignité. On ne doit plus discuter avec Untel ou parler de tel sujet. Les groupes politiques se juxtaposent, passant plus de temps à attribuer des étiquettes qu’à parler réellement des faits et des idées.

Notre démocratie ne souffre pas d’un trop-plein de débats, mais de leur rareté. Comment peut-on espérer se comprendre si l’on refuse même de se parler ? Comment dissiper l’erreur, si l’on se prive du seul moyen de la contredire ? Au lieu de suivre le mouvement général des pays qui font progresser la censure, aussi généreuses en apparence que soient les justifications, nous devrions réaffirmer la liberté d’expression comme l’une de nos valeurs non négociables.

« Les gens honnêtes n’ont rien à se reprocher »

La troisième grande menace contre la liberté est peut-être la plus terrible : le déploiement de technologies de surveillance de plus en plus performantes.

La Chine a mis en place, en l’espace de quelques années, le système de contrôle des comportements le plus élaboré et le plus implacable de l’histoire humaine.

Il aurait ravi Staline et Mao. Toutes les actions sur les réseaux sociaux, les échanges sur WeChat, les déplacements, les achats, toute la vie des Chinois en un mot fait l’objet d’un contrôle centralisé. Le télécran de 1984 existe, en version XXL : l’objectif affiché est de pouvoir identifier n’importe qui, n’importe quand et n’importe où en Chine en 3 secondes, grâce aux caméras à reconnaissance faciale. Le résultat est une note de « crédit social » sanctionnant les récalcitrants. Une note dégradée signe votre bannissement social, et celle de votre famille, en interdisant par exemple à vos enfants de s’inscrire à l’université. Le régime a empêché 17,5 millions de citoyens « discrédités » d’acheter des billets d’avion et 5,5 millions d’acheter des billets de train : en tout 23 millions donc empêchés de voyager. La progression du système de surveillance est extrêmement rapide. Il y a aujourd’hui en Chine 600 millions de caméras, soit le double de 2019. Mois après mois, tous les gestes indésirables du quotidien sont encadrés. Le fait d’utiliser des sièges supplémentaires ou de manger dans le métro de Pékin est devenu un motif de dégradation du crédit social.

Le grand problème du mécanisme de notation sociale que la Chine est en train de mettre en place, c’est qu’il est au fond assez séduisant. Quiconque a déjà fait, pour quelques jours, l’expérience de la vie dans un régime sécuritaire peut témoigner du confort appréciable qu’il procure au touriste. Rendez-vous compte : quelle que soit l’heure, se promener en toute insouciance, laisser ses affaires sans surveillance et sa porte ouverte ! Qui n’a pas rêvé, en voyant nos honteux « territoires perdus de la République » dont parlait Emmanuel Brenner ou après s’être fait voler son vélo, d’un système de surveillance si efficace qu’il découragerait le malfrat désormais certain d’être pris et puni ? À l’heure où nos policiers font face à des guet-apens criminels, l’ordre semble avoir des séductions que l’idée de liberté ne peut concurrencer.

Pourquoi résister alors, disent déjà tant de concitoyens ? Ces nouvelles technologies prennent rapidement place dans nos vies. Les villes installent sans cesse plus de caméras. Dans l’aéroport d’Orly, deux compagnies aériennes, dont Air France, testent la reconnaissance faciale pour l’embarquement des passagers depuis 2020. Au Japon, des taxis utilisent même la reconnaissance faciale pour deviner l’âge et le sexe du client afin de leur proposer des publicités ciblées.

Au fond, la préférence supposée pour la liberté semble de moins en moins vérifiée.

La tentation de la servitude volontaire décrite par La Boétie est plus forte que jamais. Les très faibles protestations face au développement de la vidéosurveillance et l’indifférence face à la captation massive des données en ligne font penser que les gens valorisent les mille services rendus par la transparence beaucoup plus que la liberté permise par les zones d’ombre. Beaucoup de nos concitoyens jugeront que la liberté politique peut être sacrifiée en faveur de celles de consommer et d’entreprendre, ne voyant pas que perdre la première, c’est condamner à terme les deux autres.

L’argument avancé par les fatalistes de la surveillance est toujours le même : « les gens honnêtes n’ont rien à se reprocher ». Comme le soulignait Edward Snowden, dans une interview donnée à la télévision américaine, dire « la surveillance n’est pas utilisée contre la liberté des citoyens normaux » est exactement aussi rassurant que de dire « je te mets un revolver sur la tempe, mais je te jure que je ne tirerai pas ». Dans le monde de l’hypersurveillance, un tyran aura à sa disposition tous les outils pour se saisir du pouvoir absolu sur nos existences. Mais cela n’est peut-être même pas le plus grave.

Une société sans vie privée est semblable à ces prisons sans fenêtre où la lumière ne s’éteint jamais et où le prisonnier finit par perdre le sens de l’écoulement des jours, enfermé dans une sorte de présent éternel. Tout y sera propre. Au cordeau. Chaque détenu sera rangé comme il faut dans sa case. Chaque action contrôlée, tout déplacement suivi. La vraie privation de liberté n’est pas tant de devoir rester entre les murs de la centrale pénitentiaire que d’être entièrement à la merci du contrôle permanent, contraint de tout montrer. La vraie peine, c’est la transparence. L’intimité inexistante. Exposée en permanence, la vie sera nécessairement soumise à la prévenance continuelle d’une puissance publique voulant s’assurer de la conformité de nos actions et de nos pensées. Il n’y aura au fond pas de différence entre les régimes organisant la surveillance au nom du contrôle politique et ceux qui la développent au nom du Bien. Dans les deux cas, il s’agira, sur fond de bonheur matériel et de sécurité absolue, d’imposer une existence industrieuse aux loisirs encadrés. Dans les deux cas, l’existence ressemblera plus à un tour de manège standardisé qu’à l’aventure qu’elle était encore malgré tout jusqu’à présent. Si la vie de Sisyphe est infernale, ce n’est pas parce qu’il pousse chaque jour une pierre. Ce n’est même pas parce qu’il pousse chaque jour la même pierre. C’est parce qu’il sait que rien d’autre ne se passera, que les évènements sont parfaitement déterminés par les dieux qui le punissent ainsi. La vraie punition de Sisyphe est d’être privé de l’imprévu et du nouveau. C’est exactement ce qui nous attend. Citant l’historien de l’art américain Bernard Berenson, Röpke déplore cet appauvrissement intérieur, ce spleen comme le vrai danger qui menace notre société : « Je ne crains pas la bombe atomique. Si notre civilisation est menacée, elle l’est bien davantage par l’ennui que suscite dans un État-providence totalitaire la disparition de l’initiative personnelle et le goût du risque. » L’avenir verra des populations entières de gens honnêtes qui n’auront sans doute rien à se reprocher, mais qui crèveront d’ennui.

Olivier Babeau
Professeur d’université
Président-fondateur de l’Institut Sapiens

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