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dans Economie, Société

L’industrie, moteur de la croissance

ParClaude Sicard
15 mai 2023
L’industrie, moteur de la croissance

La France est un pays qui s’est très fortement désindustrialisé, et cette désindustrialisation a considérablement affaibli son économie. Les effectifs du secteur industriel sont passés de 6,5 millions de personnes à la fin des Trente Glorieuses à 2,7 millions aujourd’hui, et ce secteur d’activité que depuis Jean Fourastié on nomme « le secteur secondaire »  ne concourt plus que pour 10 % à la formation du PIB, alors que dans des pays comme l’Allemagne ou la Suisse il s’agit de 23 % ou 24 %. La France est devenue le pays européen le plus désindustrialisé, la Grèce mise à part, et cette grave désindustrialisation a miné l’ économie du pays.

Aussi, tous les clignotants de l’économie sont-ils passés au rouge : nous avons des dépenses publiques record du fait, notamment, de dépenses sociales particulièrement importantes, d’où des prélèvements obligatoires les plus élevés de tous les pays européens, et ceux-ci n’étant jamais suffisants un recours systématique à l’endettement, chaque année, ce qui a conduit à une dette maintenant supérieure au PIB.

La situation économique de la France va donc en se détériorant, et l’agence de notation Fitch vient de faire reculer  notre pays d’un cran, le faisant passer de AA à AA-.

Et déjà la France, en 2013, avait elle été rétrogradée, par cette agence, de AAA à AA.

Une économie qui réalise de très mauvaises performances :

Le service des statistiques des Nations Unies a publié en 2018 les résultats d’une étude montrant comment ont évolué sur une longue période les économies d’un certain nombre de pays. Nous indiquons, ci-dessous, en réactualisant les données, les évolutions qu’ont connues les grands pays européens, en y rajoutant le cas d’Israël qui est particulièrement exemplaire :

                                               PIB/tête  (US dollars  courants )

                                   1980              2000              2017            2021       Multiplicateur

            Israël             6.393            21.990           42.452       52.170              8,0

            Espagne        6.141            14.556           28 .356      30.103             4,9

            Suisse          18.879           37.937           80 .101      91.991             4,9

            Danemark     13.881          30.734           57 .533      68.007             4,9

            Allemagne    12.091           23.929           44.976       51.203             4,2

            Pays-Bas      13.794          20.148           48.754       57.767             4,2

            France            12.669          22.161           38.415       43.659             3,4

                                                                                   (Source : ONU, Statistics Division)

Comme on le voit, sur cette période d’une quarantaine d’années les performances économiques de notre pays ont été considérablement inférieures à celles des autres pays européens : il eut fallu, pour le moins, que l’on en soit au multiplicateur 4, ce qui aurait permis à notre PIB de se trouver majoré de 20% à 25 % de plus. Et l’on en serait bien heureux : tous les ratios se retrouveraient ramenés à un niveau normal.

Ce qui s’est produit, c’est que les pouvoirs publics sont restés indifférents à la situation, et il faut donc s’interroger pour comprendre pourquoi ?

La raison que nous y voyons est qu’ils n’ont pas réalisé que la cause du mal venait de la dégradation de notre secteur industriel.

Ils se sont trouvés, en effet, aveuglés par les conclusions hâtives qui ont été tirées par les sociologues des travaux de Jean Fourastié qui avait publié en 1949 « Le grand espoir du XXe siècle ». Cet économiste montrait dans son ouvrage que lorsqu’une économie se développe elle passe du secteur agricole (le secteur primaire) au secteur industriel (le secteur secondaire), puis ensuite du secteur industriel au secteur des services (le secteur tertiaire). Jean Fourastié avait repris la classification de Colin Clark mais en caractérisant les secteurs par la rapidité avec laquelle progresse le progrès technique :

            – Secteur primaire : progrès technique moyen.

            – Secteur secondaire : progrès technique fort.

            – Secteur tertiaire : progrès technique faible ou nul.

Cet économiste attachait une importance capitale à la productivité, facteur clé de la transformation d’une société : « La productivité est la clé du développement économique », affirmait-il dans son ouvrage.

Très vite, le grand sociologue Alain Touraine avait lancé le cliché de « société post-industrielle » pour  qualifier une société avancée, et il se répandit ainsi dans les esprits l’idée qu’une société moderne est une société dont les activités ne sont plus constituées que par des services.

Les dirigeants de notre pays furent pénétrés par cet aphorisme et ils laissèrent filer sans broncher notre secteur industriel, oubliant que Jean Fourastié avait bien dit que « la productivité est la clé du développement économique » : il avait calculé qu’entre 1900 et 1979 la productivité dans l’industrie, en France, avait été multipliée par 7,7. Nos dirigeants n’ont pas vu que Fourastié avait raisonné en termes d’emplois et non pas de valeur ajoutée : lorsqu’une économie se modernise, les effectifs du secteur industriel décroissent, effectivement, mais du fait des accroissements de productivité dans l’industrie les activités industrielles sont toujours là dans le PIB.

On en est ainsi arrivé à être le pays le plus désindustrialisé de toute l’Europe, la Grèce exceptée : le secteur secondaire de notre économie s’est considérablement réduit, celui précisément où le progrès technique progresse le plus fortement, et nous en payons aujourd’hui les conséquences ..

Le rôle moteur de l’industrie

L’industrie joue un rôle clé dans la création de richesse. La relation existant, dans différents pays, entre leur production industrielle et le PIB par tête des habitants est évidente. C’est ce que montre le graphique ci-dessous où il est pris, en abscisses, pour variable explicative, la production industrielle des pays calculée par habitant, et, en ordonnées, les PIB/capita de ces pays. Pour ce qui est des données sur la production industrielle, il s’agit des informations fournies par la BIRD (année 2019) qui place la construction dans l’industrie.

 

 

On voit que la France avec une production industrielle faible de 6.432 US$ par habitant a un PIB/capita de seulement 39.030 US$ ; l’Allemagne avec un ratio bien meilleur de 12.279 US$ a un PIB/capita de 46.208 US$, et la Suisse avec un chiffre record de 22.209 dollars en est à un PIB/capita de 87.097 dollars, le plus  fort d’Europe. Notre secteur industriel ne concourt plus que pour 10 % à la formation du PIB,  alors que ce taux devrait se situer pour le moins à 18 % ; l’Allemagne ou la Suisse en sont à 23% ou 24 %.

Le mécanisme générateur de richesse

Ce n’est qu’après la Seconde Guerre mondiale que les pays, dans le monde, se sont dotés d’une comptabilité nationale, et celle-ci permet de mesurer la production de chaque pays, et de suivre la façon dont elle évolue. Il nous faut donc voir par quel processus  la production industrielle des pays génère de la richesse selon les mécanismes de la comptabilité nationale.

a/  PIB et productivité

Jean Fourastié dans son ouvrage a montré que la production résulte d’une équation toute simple :

                                   Production = Emploi x Productivité

 

 La production augmente avec le nombre des personnes au travail  et la façon dont évolue leur productivité : c’est cette combinaison qui détermine les « PIB »  (Production intérieure brute). Et elle croit aussi avec l’augmentation des salaires, ceux-ci intervenant dans la valorisation du travail..

En France, il y avait une population de 42 millions d’habitants en 1950 et on en est aujourd’hui à 67,7millions, et la productivité des personnes au travail a considérablement augmenté : notre PIB a donc crû, régulièrement,  par cette combinaison de facteurs. Mais nous avons eu, dans toute la période de ces quarante années qui a été celle étudiée par les statisticiens de l’ONU  un double problème : notre taux de population active a toujours été beaucoup trop faible, c’est-à-dire, en proportion de la population totale, pas suffisamment de personnes au travail, et notre secteur secondaire, celui précisément où le progrès technique progresse le plus rapidement, s’est considérablement réduit. Les mauvaises performances de l’économie française  proviennent de ces deux éléments.

b/ Salaires et productivité:

Les salaires, dans les pays,  dépendent de la productivité, la productivité s’entendant comme le rapport entre ce qui est produit et le nombre de personnes engagées dans la production. Nous indiquons, ci-dessous, quelle est la productivité globale des différents pays ( les PIB divisés par le nombre des actifs) et, en regard, le niveau des salaires :

                                              Productivité (US$)    Salaire moyen mensuel (US$)

                                   Pologne        37.285                      1.279

                                   Grèce            46.330                     1.640

                                   Espagne        61.024                      2.527

                                   Italie              84.020                      2.902

                                   France           94.882                     3.524

                                   Allemagne    96.888                      4.045

                                   Suède          114.311                      4.674

                                   DK                130.491                     5.333

                                   USA              141.478                     5.333

                                   Suisse          161.192                     7.329

                                                                       (Source : BIRD et JDN)

Comme on le voit, les salaires croissent avec la productivité,  et c’est ce que montre le graphique ci-dessous :

                                             

Dans le cas de la France l’équation de la droite de corrélation indique que le salaire moyen devrait s’établir à 3.690 $ : il serait donc à majorer légèrement  (4,7 %).

c/ L’importance des salaires dans la formation des PIB

La rémunération du travail (les salaires, plus la rémunération des indépendants) est un des grands agrégats  des PIB des pays. Et l importance de cet agrégat varie selon le degré de développement des pays :

            Niveau de développement        Rémunération du travail ( en % du PIB )

 

             Faible :

                      Mexique                                                       71,6 %

                        Hongrie                                                      71,2 %

            Moyen :

                        Espagne                                                       63,8%

                        Portugal                                                       60,4%

                        OCDE                                                           59,8%

                        Allemagne                                                   56,5%

                        France                                                         55,7%

                        GB                                                                 54,0%

              Elevé : 

                        Finlande                                                       46,4%

                        Suisse                                                           42,8%

                        Suède                                                           42,4%

Plus les pays sont développés,  plus il y a d’investissements à rémunérer, et la part des cash-flows (amortissements et profits) augmente, ce qui réduit la part relative du travail dans les PIB : d’où le passage de 72% à 42,0% que nous voyons ci-dessus.

Pour les pays se situant dans la catégorie « moyenne » ( moyenne OCDE) comme c’est le cas de la France, la rémunération du travail intervient dans le PIB pour environ  60 %.

Les augmentations de salaires proviennent essentiellement du secteur secondaire, étant liées à la productivité : et par  effet de contagion elles se diffusent dans les deux autres secteurs. Et le PIB progresse  alors du seul fait de l’augmentation des rémunérations.

Un agrégat qui pèse 60 % pèse lourd : quand il augmente de 10 % le PIB croit de 6 %. Ainsi, les PIB se trouvent ils croitre du seul fait de l’augmentation des salaires : mais, alors, doit on parler de croissance ?

Ce qu’il est intéressant de constater c’est que les PIB croissent non seulement du fait d’une augmentation de la production, mais aussi par une augmentation des salaires.

Quand un pays se développe, le secteur industriel croit en importance jusqu’à représenter 35% ou 40 % du PIB : la productivité dans ce secteur augmente rapidement du fait de l’augmentation constante des intensités capitalistiques et les salaires dans le secteur industriel progressent : par contagion tous les salaires du pays font de même, et le PIB croit.

La France : un pays pénalisé par l’atrophie  de son secteur industriel.

 Ce qui s’est produit, en France, c’est que nos dirigeants ont imprudemment laissé fondre le secteur secondaire de l’économie, celui de l’industrie, alors que c’est précisément celui où la productivité augmente le plus vite et de la manière la plus importante. On ne doit donc pas s’étonner de ce que la France, pays avec la Grèce qui est le plus désindustrialisé de tous les pays européens, se retrouve être dans la période de ces quarante dernières années le pays du continent européen ayant les plus mauvaises performances. Ce qui est surprenant, c’est que les autorités du pays n’aient pas été à même de prendre conscience du phénomène, vu le nombre important d’économistes dont dispose le pays, et vu le niveau de formation en principe élevé des dirigeants. Ce constat est incompréhensible, et il faudrait que soit constituée une commission d’enquête parlementaire pour élucider ce qui s’est passé..

L’ouvrage du sociologue Alain Touraine « La société post-industrielle » paru chez Denoël,  en 1969, a fait beaucoup de dégâts : il a profondément enraciné le concept de société post-industrielle dans l’esprit des Français, et il aura fallu attendre 2017 pour que cette vision erronée de l’évolution des sociétés soit corrigée par d’autres auteurs.  Ce fut le cas avec, par exemple, Pierre Veltz qui publia en 2017 « La société hyper-industrielle », chez Gallimard : Il est vrai que cet auteur était un  ingénieur, diplômé de l’Ecole Polytechnique, qui enseignait à l’Ecole des Ponts et Chaussées. On pouvait lire en quatrième de couverture de son ouvrage : « Pierre Veltz décrit une situation où les services, l’industrie, et le numérique convergent vers une configuration inédite. »

 Comment redresser notre économie ?

On se remet seulement maintenant de cette méprise sur l’évolution des sociétés qui a été celle de nos dirigeants, et ce n’est que le hasard de la crise de la Covid-19  qui leur a ouvert les yeux. Il était temps ! Il  s’agit donc, à présent, de remonter la pente en reconstruisant notre secteur industriel. Le gouvernement l’a  compris, et il a lancé pour cela le plan « France 2030 » auquel il va consacrer une trentaine de milliards d’euros. Mais il veut n’apporter son soutien qu’aux seules « industries vertes », et à elles seules, ceci du fait des limites d’action que lui accorde la Commission de Bruxelles. C’est bien dommage, car nous avons besoin d’au moins un million d’emplois industriels supplémentaires. Et l’environnement, tant national qu’international, n’y est guère favorable. Sur le plan interne,  il y a les freins mis à la réindustrialisation du pays par les écologistes, un droit du travail français pénalisant pour les chefs d’entreprise, une fiscalité qui tarde à être mise en harmonie avec celle de nos voisins, des réglementations européennes qui bloquent les initiatives que pourrait prendre l’ Etat français pour réindustrialiser le pays, et un coût du travail considérablement plus élevé que dans les anciens pays de l’ Est qui sont maintenant intégrés dans l’Union Européenne.

Et, sur le plan international, la guerre en Ukraine qui a fait fortement grimper le coût de l’énergie en Europe, et les mesures incitatives prises par le président Joe Biden pour investir sur le continent américain. Inévitablement, notre réindustrialisation va être lente, le plan « France 2030 » d’Emmanuel  Macron étant très insuffisant, et notre dette extérieure ne va donc pas cesser de croitre, alourdissant un peu plus chaque année le budget de la nation.

Il serait donc temps que les autorités de  Bruxelles laissent notre gouvernement tout à fait libre d’agir pour redresser notre secteur industriel : nous avons, dans d’autres articles, chiffré à 350  milliards d’euros  le montant des  investissements qui sont à effectuer pour remettre notre secteur industriel à niveau, et il faudrait que cela puisse se faire en une dizaine d’années. Il faudra  pour y parvenir, à la manière de ce que le président américain Joe Biden a prévu de faire avec l’IRA, que la puissance publique apporte son soutien aux investisseurs privés, et nous avons proposé une aide à l’investissement de 20.000 euros les 5 premières années, par emploi créé, puis 10.000 euros les 5 années suivantes, soit 150.000 euros sur dix ans. Dans les circonstances actuelles, et compte tenu des freins à la création d’emplois dans l’industrie existant en France,  de telles aides sont indispensables. Il faudra en persuader la Commission européenne à Bruxelles en lui faisant prendre conscience que la France est un pays sinistré : il y va, d’ailleurs, de l’intérêt même de tous les pays de la zone euro.

Claude Sicard
Économiste
Consultant international

Claude Sicard

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