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dans International, N°1098

Lorsque Napoléon III se portait au secours des chrétiens du Proche-Orient et s’intéressait au Liban

Eric AnceauParEric Anceau
26 février 2021
Lorsque Napoléon III se portait au secours des chrétiens du Proche-Orient et s’intéressait au Liban

En 1860, le massacre des chrétiens du Proche-Orient (Liban et Syrie) perpétré par les musulmans druses et sunnites donnait lieu à la première grande expédition humanitaire d’interposition de l’histoire. La France de Napoléon III y jouait un rôle central. Elle était à la fois mandatée par l’Europe pour intervenir et limitée par celle-ci dans son action. Cet événement qui a 160 ans est d’une incroyable résonance aujourd’hui1.

Anatomie d’un massacre

Au milieu du XIXe siècle, le Mont-Liban est sous administration ottomane depuis quatre siècles. Y cohabitent deux communautés, des agriculteurs chrétiens traditionnellement protégés par la France, les Maronites, et des éleveurs pratiquant majoritairement une religion dérivée de l’Islam, les Druses, clients des Britanniques. En 1842, à la suite de grands troubles entre les deux communautés, le pays est divisé en deux provinces, le nord placé sous la direction d’un Maronite et le sud, sous un chef druse, le tout sous la dépendance du pacha de Beyrouth, lui-même soumis au gouverneur de Damas.

En 1856, la suite du Congrès de Paris qui marque la fin de la guerre de Crimée, le sultan Abdülmecid a concédé l’égalité aux chrétiens et aux musulmans dans toute l’étendue de son Empire sous la pression de ses alliés, la France et la Grande-Bretagne qui l’ont aidé à vaincre la Russie. Mais dans les montagnes du Liban, cette situation nouvelle est mal vécue.

Aux rivalités ethniques et religieuses s’ajoutent en effet des jalousies économiques, les Maronites détenant plusieurs monopoles.

Les tensions se multiplient et le pacha de Beyrouth, Kourchid, donne systématiquement raison aux Druses.

En mars, un couvent est pillé et un prêtre tué. Trois chrétiens sont assassinés fin avril. Les autorités ne sévissent pas contre les auteurs qui sont pourtant identifiés et dénoncés par les victimes. Les chrétiens décident alors de se faire justice eux-mêmes. Le 14 mai, deux Druses sont à leur tour assassinés. C’est le point de départ d’un embrasement général. Le 29, les Druses commencent à massacrer systématiquement les chrétiens. Le consul anglais Moore écrit à son gouvernement : « La guerre civile vient d’éclater dans le Liban ; les villages en vue de Beyrouth sont la proie des flammes. » Dans les jours suivants, les Druses s’emparent de plusieurs villes chrétiennes, y pillent les maisons et en massacrent les habitants. Une partie des chrétiens fuient vers le littoral. Des navires français et britanniques recueillent plus de 2 000 réfugiés.

Après une inertie quasi-totale de plus de trois mois du pacha de Beyrouth, du gouverneur de Damas, Ahmed Pacha, et du sultan, et alors que la communauté internationale commence à s’émouvoir des nouvelles qui lui parviennent, les autorités turques finissent par imposer aux chrétiens, le 5 juillet, un traité qui leur garantit la sécurité contre l’impunité de leurs bourreaux et la renonciation à toute demande de restitution des biens qui leur ont été volés.

Cependant, le 9, les persécutions touchent la Syrie et sa capitale Damas, 150 000 habitants à l’époque dont près de 20 000 chrétiens de toutes origines. Pendant dix jours, plusieurs milliers d’entre eux, principalement des hommes, des enfants et des vieillards sont massacrés dans les rues et dans les maisons, pendant que les femmes sont conduites dans des harems quand elles n’ont pas été elles-mêmes assassinées. Le gouverneur laisse les fanatiques agir en toute impunité. Seul l’émir Abd el-Kader, gracié par Napoléon III après sa révolte contre la conquête française de l’Algérie et résidant désormais dans la capitale de la Syrie, a sauvé l’honneur en offrant l’asile de son palais à plusieurs milliers de chrétiens2.

Fin juillet, lorsque les troubles s’arrêtent, le bilan est très lourd. Les massacres ont fait au moins 10 000 morts dont la moitié à Damas, et certaines estimations parlent même du double. Plus de 75 000 chrétiens ont été chassés de leur village, pendant que 10 000 enfants ont perdu leurs parents. 560 églises, 42 couvents et 28 écoles ont été détruits. Le sultan envoie son ministre des Affaires étrangères, Fouad Pacha, à la tête d’une armée, pour rétablir l’ordre. Le choix de l’homme est significatif. Il faut en effet un diplomate habile pour régler une affaire qui est désormais internationale. Fouad est l’homme idéal pour paraître céder à l’Europe tout en lui résistant3.

Le congrès de Paris et l’intervention française

Après avoir appris la guerre civile au Liban par leurs ambassadeurs, par des religieux en particulier les lazaristes, et enfin par la presse4, le public est informé, le 18 juillet, du massacre de Damas, par Le Moniteur, le journal officiel de l’Empire, qui publie une dépêche du commandant de la division navale du Levant. La nouvelle provoque une grande émotion dans l’opinion publique5.

La presse catholique et légitimiste, en particulier L’Ami de la religion, lance des pétitions et des souscriptions pour venir en aide aux chrétiens d’Orient.

Très affecté lui-même, Napoléon III se sent d’autant plus contraint de réagir que le souverain français est traditionnellement le protecteur des chrétiens d’Orient depuis les capitulations du règne de François Ier.

Il se doit aussi de donner des gages aux catholiques français car la guerre d’Italie qu’il a menée aux côtés du Piémont contre les Autrichiens, l’année précédente, a suscité leur colère en bouleversant l’équilibre dans la péninsule et en remettant en cause les États pontificaux. Il repousse cependant l’idée défendue par des catholiques intransigeants d’une croisade pour fonder un État chrétien client de la France. Depuis quelques années, il envisage au contraire la création d’un vaste royaume arabe s’étendant de l’Afrique du nord au Proche-Orient et confié à Abd el-Kader.

Le sultan qui sent la menace lui écrit pour essayer de le dissuader d’intervenir en affirmant qu’il flétrit les massacres et qu’il en châtiera les coupables, qu’il indemnisera les victimes et récompensera ceux qui les ont secourues. Cela ne suffit pas. Début août, le ministre des Affaires étrangères français, Thouvenel, réunit au Quai d’Orsay un Congrès rassemblant les représentants de la Porte et des quatre autres grandes puissances européennes : la Grande-Bretagne, la Russie, l’Autriche et la Prusse. Cependant, des dissensions se font rapidement jour avec, aux deux extrêmes, la Russie favorable à des sanctions contre la Porte et à tout ce qui pourrait l’affaiblir et l’Angleterre, partisane d’un statu quo visant à sécuriser la route des Indes, par méfiance d’une implantation française dans la région, d’autant plus à craindre que Napoléon III appuie la construction du canal de Suez par Ferdinand de Lesseps. Londres s’enflamme contre la France, à tel point que l’empereur demande à son ambassadeur de rassurer le cabinet britannique sur ses intentions6.

Si l’Angleterre ne désarme pas et si l’Empire ottoman, hostile à toute ingérence dans ses affaires, invoque à bon droit l’article 9 du traité de Paris de mars 1856, Napoléon III, qui domine le concert européen depuis cette époque, obtient le principe d’une intervention. Pour y parvenir, il a souligné que l’humanité l’exigeait, que le monde ne pardonnerait pas au Congrès de ne pas agir et que lui-même ne pouvait résister à sa propre opinion publique car son pouvoir reposait sur la souveraineté populaire. Il n’a cessé d’insister aussi sur le but humanitaire de l’intervention et sur la nécessité qu’elle soit internationale. Par crainte d’être accusé de chercher à masquer sa responsabilité, le sultan finit par accepter. Pour prouver sa bonne foi, il se sent même obligé de décerner à Abd el-Kader la plaque du Medjidié, alors que Napoléon III accorde lui-même à l’émir la grand-croix de la Légion d’honneur et que tous les principaux chefs d’État européens, à commencer par le pape, le décorent aussi.

Le protocole signé à l’issue du Congrès prévoit que la force d’intervention soit dirigée par la France et compte jusqu’à 12 000 hommes dont la moitié de Français, pour un mandat limité à six mois et pour une action concertée avec les autorités ottomanes. Le ministre de la Marine choisit le général de brigade Beaufort d’Hautpoul pour commander le corps expéditionnaire. L’homme est expérimenté et connaît bien ce type de conflit. Il a servi en Égypte et en Syrie et était chef d’état-major du duc d’Aumale lors de la prise de la smala d’Abd el-Kader. Il maîtrise l’arabe et le turc. Aussi bien le ministre que Napoléon III lui rappellent le cadre de sa mission (vérifier que Fouad Pacha punit les coupables des massacres et assure l’indemnisation et la protection des chrétiens), la nécessité de ne pas se laisser entraîner dans une guérilla qui ferait perdre son prestige à l’armée française et leur espoir en une expédition courte. Néanmoins, si les Turcs ne tiennent pas leurs engagements, le général pourra agir7.

L’expédition et ses suites

Dès la mi-août, les 1 500 premiers soldats français arrivent au Liban et sont rejoints, au cours des semaines suivantes, par plusieurs milliers d’hommes supplémentaires. Établis aux Pins, non loin de Beyrouth, ils reçoivent des témoignages de gratitude du patriarche et du clergé maronite et la visite d’une cinquantaine de notables qui leur promettent leur soutien. Cependant, leur camp est bientôt assiégé par des centaines de femmes maronites qui crient vengeance et Beaufort d’Hautpoul doit demander au patriarche de faire cesser cette pression permanente. Il y a plus grave. Le général est rapidement confronté à l’hostilité des agents anglais et des populations druses et à la mauvaise volonté de Fouad Pacha. Impitoyable à Damas puisqu’il a fait exécuter, exiler ou condamner à la déportation plusieurs centaines de coupables, le ministre turc se montre clément avec les Druses et use de procédés dilatoires pour rester en Syrie plutôt que de venir à Beyrouth rendre des comptes au général français8.

Celui-ci décide alors d’agir dans le sud libanais. Le 25 septembre, il marche sur Deir-el-Kamar, la ville la plus touchée par les massacres, et traverse au passage plusieurs villages en ruines. Dans son ouvrage Vie militaire, son second, le général Ducrot, a laissé le témoignage suivant : « L’incendie avait tout ravagé. Ce n’était plus qu’un monceau de décombres, et parmi les débris des murs calcinés, achevaient de pourrir, depuis trois mois, les restes de 1 800 cadavres dévorés par les chiens et les vautours. Par endroits, des amas de poings coupés témoignaient des mutilations qu’avaient subies les victimes avant d’être égorgées. » Les Français enterrent les cadavres et assainissent les rues avant de poursuivre leur action vers le sud et l’est.

Si Napoléon III rappelle, en ouvrant la session législative, le 4 février 1861, que la France n’agit qu’au nom de l’humanité et sur un mandat international9, le gouvernement de Londres le met en garde : « Nous ne voulons pas créer en Orient un nouvel État pontifical, écrit lord Russel le 21, et donner à la France un nouveau prétexte d’occupation indéfinie10», et la presse britannique se déchaîne : « Ce n’est pas pour rien, écrit la Saturday Review, que Partant pour la Syrie est l’air national de la dynastie napoléonienne. La conquête de la Syrie et de l’Égypte est l’idée favorite de l’esprit napoléonien ».

Cependant, une commission d’enquête internationale comprenant des représentants des cinq grandes puissances, arrivée à son tour sur place, constate, elle aussi, l’ampleur du désastre humanitaire et l’inertie des autorités turques. La France obtient la prolongation de sa mission jusqu’au 5 juin, ce qui permet au général Beaufort d’Hautpoul de visiter les districts mixtes du Chouf et du Djezzin, à l’armée française de relever de leurs ruines plusieurs villes et à l’abbé Lavigerie et à son Œuvre des écoles d’Orient d’agir en étant protégés. Par ailleurs, les Turcs se décident à sévir. Kourchid est condamné à la réclusion à perpétuité, onze chefs druses sont condamnés à mort et des dizaines de Druses sont également emprisonnés en attente de jugement. Par contre, la Porte ne verse qu’une indemnité dérisoire aux chrétiens lésés et en étale démesurément le versement dans le temps.

Alors que l’échéance du départ des troupes françaises se rapproche, le ministre des Affaires étrangères français Thouvenel fait part de son inquiétude : « Si après notre départ de nouveaux massacres surviennent, quelle honte pour l’humanité, quelle déconsidération pour l’Europe ! ». La France se positionne clairement en faveur de l’autonomie complète du Mont-Liban convaincue que c’est le seul moyen de faire aboutir à la fois la question des réparations et la sauvegarde des populations chrétiennes.

Enfin, le 9 juin 1861, une convention est signée entre l’Empire ottoman et les grandes puissances.

Dans le firman qui en découle, le sultan reconnaît au Mont-Liban une semi-autonomie et la multi-confessionnalité.

Il sera dorénavant composé de deux districts, l’un maronite et l’autre druse et l’ensemble qui recevra à sa tête un gouverneur n’appartenant à aucune des deux communautés pour être plus facilement accepté et un conseil consultatif, composé de représentants des différentes communautés dont le nombre sera fixé proportionnellement à la population, sera placé sous la protection de la France. L’Arménien chrétien Garabet Ardin, désormais appelé Daoud Pacha, devient le premier gouverneur de cette nouvelle construction politique. Quant à Beyrouth, elle ne se trouve pas incluse dans ce Liban semi-autonome en raison de son importance pour l’approvisionnement de la Syrie qui la faisait surnommer « la porte de Damas ». Elle devient une cité commerciale florissante, grâce à l’afflux de réfugiés chrétiens et grâce à la paix retrouvée et garantie par la France.

Napoléon III n’a pu réaliser son rêve du grand État arabe et n’a pas pu imposer non plus, en la circonstance, un Liban pleinement autonome. La peur de mécontenter une nouvelle fois la Grande-Bretagne après le rattachement récent de la Savoie et de Nice à l’Empire et les réticences de la communauté internationale, Russie exceptée, ont joué ici un rôle déterminant.

Il n’en demeure pas moins que l’action généreuse et inédite du souverain français a permis de rétablir durablement la paix, de protéger les chrétiens du Proche-Orient et de donner un statut plus favorable au Liban.

Éric Anceau
Historien, Sorbonne Université et SIRICE

  1. Pour ne pas alourdir démesurément les notes, nous signalons une fois pour toutes que nous nous appuyons, sauf mention contraire, sur trois récits contemporains, Eugène Poujade, Le Liban et la Syrie, 1845-1860, Paris, Librairie Nouvelle, 1860 ; Baptiste Poujoulay, La Vérité sur la Syrie et l’expédition française, Paris, Gaume, 1861 ; Ernest Louet, Expédition de Syrie. Beyrouth, le Liban, Jérusalem, 1860-1861, Paris, Amyot, 1862, ainsi que sur une monographie récente consacrée au sujet : Yann Bouyrat, Devoir d’intervenir ? L’intervention humanitaire de la France au Liban, 1860, Paris, Vendémiaire, 2013. ↩
  2. Smaïl Aouli, Ramdane Redjala et Philippe Zoummeroff, Abd el-Kader, Paris, Fayard, 1994, p. 460-464. ↩
  3. Pierre de La Gorce, Histoire du Second Empire, Paris, Plon et Nourrit, 1903, t. III, p. 327. ↩
  4. Le plus grand journal français d’opposition, Le Siècle, y consacre des reportages à partir du 8 juillet. ↩
  5. Éric Anceau, Napoléon III. Un Saint Simon à cheval, Paris, Tallandier, 2008, Texto, 2012, p. 389. ↩
  6. Voir à ce sujet, La Reine Victoria d’après sa correspondance personnelle inédite, t. III, 1854-1861, Hachette, 1907, p. 594 et suiv. et lettre de Napoléon III à Persigny du 25 juillet 1860, AN 44 AP 6. ↩
  7. Voir en particulier le discours de Napoléon III aux troupes partant pour la Syrie, le 7 août. Œuvres de Napoléon III, Paris, Plon et Amyot, 1869, t. V, p. 122. ↩
  8. Pierre de La Gorce, ouv. cité, t. III, p. 329. ↩
  9. Œuvres de Napoléon III, ouv. cité, t. V, p. 136. ↩
  10. Pierre de La Gorce, ouv. cité, t. III, p. 339. ↩

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