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dans International, N°1101

Un ratage dans le Pacifique ?

ParAlain Meininger
23 février 2022
Un ratage dans le Pacifique ?

La photo du Carbis Bay Hotel le 12 juin 2021 en Cornouaille lors du G7 est plus parlante que n’importe quelle analyse : trois potaches liés par les sourires complices de copains qui viennent de savonner l’escalier et la poignée de la porte qui mène au bureau d’un des leurs ; leur but ? Ils ne sont pas vraiment capables de l’expliciter mais ils savent qu’au moins pendant quelques minutes, fiers de leur coup, ils vont bien rigoler. Trahison du siècle ? Sans doute pas mais imbécillité diplomatique de l’année, à coup sûr. Dans le dos du président français, Scott Morrison, Premier ministre australien, Joe Biden, président des États-Unis et Boris Johnson Premier ministre de Sa Gracieuse Majesté ont torpillé le 15 septembre dernier un contrat de vente, de plusieurs dizaines de milliards d’euros, portant sur douze sous-marins français destinés à l’Australie, initié en 2016, dans le cadre d’un partenariat euro-pacifique.

En la forme : une diplomatie inappropriée

Trois thalassocraties occidentales, anglophones – particularités signifiantes dans le contexte – se sont trouvées afin de créer une nouvelle alliance : l’AUKUS1. Deux sont légitimement inquiètes des appétits de puissance chinois dans la zone et dans le monde ; la troisième, soucieuse d’exister après un Brexit difficile, est, selon l’expression de notre ministre des Affaires étrangères, plus opportuniste. Elle se venge de quelques irritants avec Paris : migrants, pêche, frontière irlandaise etc. sous réserve qu’elle n’ait pas elle-même des intérêts industriels et financiers2 dans l’affaire. Le but est aussi de prouver qu’une fois débarrassé du carcan bruxellois, on peut exister au niveau mondial, ce que l’U.E. ne parvient qu’imparfaitement à faire. Le « Global Britain » promu désormais par Elizabeth Truss, nouvelle patronne du Foreign Office, doit servir de support doctrinal à une politique étrangère qui redécouvre le grand large et surtout… le Commonwealth3. Pour l’Australie, la pertinence de la décision – déjà contestée en interne – ne saute pas aux yeux ne serait-ce qu’au regard des difficultés industrielles et du gap capacitaire prévisible. Pourquoi tant de brutalité maladroite ? Dans l’instant, la France est certes apparue comme la grande perdante de cette opération, ce qui semblait beaucoup faire rire les trois comparses. Pour Londres et Canberra en tout cas, difficile d’identifier de prime abord les bénéfices nets au regard de la rupture de confiance créée. Semer le doute et la discorde au sein du camp occidental4 et indiquer aux Chinois où ils peuvent verser du vinaigre pour aviver les plaies s’apparente à se tirer une balle dans le pied. L’ex-ambassadeur d’Allemagne aux Nations-Unies, Christoph Heusgen, apprécié pour sa pondération par tous ceux qui l’ont côtoyé, se déclarait consterné dans la presse par ce bris de porcelaine dont les plus-values sont difficiles à cerner. Diplomatie immature et d’amateurs, serait-on tenté d’écrire.

Pour l’industrie française, des dégâts d’image ?

Compte-tenu de son actuel carnet de commandes, l’entreprise française Naval Group devrait surmonter le choc. La parcellisation des tâches5, ainsi que le jeu des compensations et indemnisations, permettront – peut être au prix d’interminables contentieux – de circonscrire le sinistre. Restent les dégâts en termes d’image. Les Australiens se sont en effet, avec un certain manque d’élégance, quelque peu répandus sur le thème de l’insuffisance qualitative de l’offre française. L’immensité du Pacifique suppose certes le choix de l’autonomie conférée par la propulsion nucléaire. Mais dans ce cas, alors que la France excelle dans ce domaine, pourquoi Canberra a-t-elle au départ choisi une motorisation conventionnelle ? On peut espérer que nos clients habituels sauront faire la part des choses. L’Inde, elle aussi préoccupée par le « jeu de go » de Pékin, semble déjà intéressée, en plus de l’acquisition récente de Rafales et même d’anciens mais éprouvés Mirages 2000, par un possible – quoique budgétairement difficile – achat de sous-marins nucléaires d’attaque français. L’attractivité du Suffren, très médiatisé, tête de série du programme Barracuda, qui a débuté ses essais en mer en 2020 devrait aider. Il y aura lieu par contre de suivre avec attention d’autres marchés dont ceux concernant la Grèce. Après la Pologne et la Belgique sous Trump, ou le retournement éclair des Suisses6, une réitération du procédé s’apparenterait à une volonté états-unienne de tuer la Base technique et industrielle de défense (BITD) française.

La contre-prolifération malmenée ?

La dimension nucléaire n’est pas la moins surprenante de ce dossier. Dans une région hypersensible à tout ce qui s’approche de l’atome, le changement de motorisation des bâtiments suscite – ce dont apparemment le gouvernement australien actuel n’a cure – une vague d’inquiétudes de la Malaisie à l’Indonésie en passant par le Japon et d’autres. La Première ministre néo-zélandaise, Jacinda Ardern, a fait savoir que ces nouveaux sous-marins ne pourront pénétrer dans les eaux territoriales de son pays. Il ne s’agit certes que de propulsion mais après le traumatisme des 6 et 9 août 1945, Fukushima a mis en lumière en 2011, le risque d’un accident civil auquel n’échappent pas les matériels militaires. Par ailleurs, la capacité des Australiens à construire – fut-ce partiellement – entretenir et opérer ces bateaux interroge. Peu enclins à laisser se disséminer de telles technologies, les Américains garderont – y compris sans doute par des personnels embarqués – le contrôle de tout ce qui est sensible, dont la machinerie nucléaire, n’octroyant à Canberra qu’une forme de « souveraineté militaire limitée ». De là à penser que cette vente est une façon de renforcer leur capacité navale sur zone en s’abritant derrière le pavillon australien… Les sous-marins américains fonctionnent certes avec de l’uranium hautement enrichi7 mais le risque de prolifération, sans être inexistant, demeure donc limité et l’affaire interpelle surtout par la symbolique du message envoyé. Après avoir doté – en 20408, si le marché va jusqu’à son terme – l’Australie de huit sous-marins à propulsion nucléaire, certaines postures diplomatiques antiprolifération risqueront d’être plus difficiles à tenir.

Cette course à l’acquisition de SNA dans le Pacifique participe-t-elle d’un relâchement généralisé dont la prolifération civile déjà à l’œuvre dans le Golfe autour de l’Iran est un avant-goût ?

La France, puissance Indo-Pacifique ?

Des Kerguelen à la Polynésie, pour faire simple, la zone englobe 93 %9 de notre ZEE, environ deux millions de ressortissants, 7 000 soldats et quelques-uns de nos bateaux de guerre. Important pour nous mais peu significatif à l’échelle de la planète. S’y trouve la Nouvelle-Calédonie, qui vient de voter une troisième fois le 12 décembre contre une rupture avec la France et dont le nickel – entre autres – ne laisse pas les Chinois indifférents. Emmanuel Macron venait de jeter en 2018 les bases d’une doctrine française – européenne ? – de l’Indo-Pacifique10 avec un Premier ministre australien11 au profil, il est vrai, différent de l’actuel. On peut certes s’étonner que le premier réflexe des trois fondateurs de l’AUKUS n’ait pas été de proposer à la France d’y entrer. Mais la cohérence est-elle au rendez-vous ? notre attitude vis-à-vis de la Nouvelle-Calédonie apparait souvent ambiguë. Souhaite-t-on déférer aux injonctions onusiennes pour qui le territoire reste à décoloniser ou assurer les Calédoniens de l’indéfectible attachement de la France ? Cette indécision apparente a pu jouer en l’espèce ; en ne donnant pas à Canberra l’assurance du maintien d’une base navale française à Nouméa, Paris a envoyé le signal qu’elle ne se souciait guère sur le long terme de la sécurité de son partenaire.

Reste le décentrage des perceptions dans une zone où nous ne sommes pas attendus comme pourvoyeurs de sécurité quand notre présence n’est, tout simplement, pas ressentie comme légitime. Washington y doute de la pertinence et de la crédibilité d’un engagement européen. Français, Anglais et Allemands y montrent à tour de rôle – furtivement – le pavillon mais il en faudrait infiniment plus pour convaincre l’état-major américain de l’impact significatif de cette gesticulation. Comme le souligne Walter Russell Mead12, comment la France qui a perdu le contrôle de la Méditerranée – retrait du Mali devant les milices russes du groupe Wagner, évacuation d’une Libye en état de désastre complet, échec au Liban après une initiative très médiatisée – pourrait-elle aider à cogérer l’Indo-Pacifique ? Et d’ajouter « Tahiti restera française tant que les Américains et les Japonais pourront contenir la Chine dans cette partie du Pacifique ».

Sur le fond : comprendre les logiques à l’œuvre

La France doit se garder des surréactions autant que de l’autodénigrement systématique. L’excellence de nos matériels n’est pas en cause13. Les soi-disant signaux faibles que nous étions censés capter n’entraient certainement pas dans le formalisme des procédures prévues pour la révision de tels marchés. Le souhait australien de changer de propulsion était légitime mais nécessitait des échanges écrits d’une certaine solennité. Se donner les moyens de déceler de tels retournements politiques actés dans le huis clos des exécutifs est techniquement possible mais diplomatiquement inflammable quand on connait le risque déflagratoire qui s’attache à l’espionnage à ce niveau entre alliés14. L’enquête, indispensable, confiée le 21 septembre au SGDSN, de même que les auditions devant les commissions parlementaires, s’attacheront à identifier des dysfonctionnements excédant probablement le seul renseignement extérieur. Plus que d’incriminer tel ou tel service, ce retour d’expérience pourrait inciter à résorber des lacunes de coordination et d’échanges d’informations entre ministères et industriels face à une problématique par nature multidimensionnelle.

Alors que comprendre ? Washington ne peut accepter que Xi Jinping rompe l’accord tacite, avalisé par ses prédécesseurs, selon lequel la Chine renonce à devenir la première puissance mondiale en contrepartie d’une absence de critiques occidentales à son encontre. S’installer dans le rôle de challenger est pour les États-Unis inconcevable ; leur supériorité absolue n’est pas négociable. Énième réplique du « piège de Thucydide », l’enjeu, qui englobe mais dépasse le dossier taïwanais, est vital. L’Australie, en butte à l’hostilité de Pékin depuis quelque temps15, aujourd’hui inquiète pour sa sécurité – mais dont Washington est le protecteur naturel depuis la bataille de la mer de Corail de mai 1942 – sera, dans cet « affrontement », un point d’appui majeur, sans doute avec le Japon. Il n’est donc pas imaginable qu’elle s’approvisionne en armements stratégiques autres qu’anglosaxons16.

Car aujourd’hui on ne vend pas seulement des armes, leur mode d’emploi, leur maintenance et la formation de leurs servants mais un système d’alliance politico-militaire fiable dans la durée. Ce qu’illustre la vente le 3 décembre 2021 de 80 Rafales aux Émirats-Arabes-Unis17. En raison de son passé « frondeur18 » et de sa faible implantation militaire dans l’Indo-Pacifique, la France n’est pas perçue comme pouvant offrir ce niveau de garanties. Dans cette région où un antagonisme structurant, existentiel, est en cours de cristallisation19, il semble hors de question de confier des responsabilités dans l’organisation de la riposte à une puissance tierce, qui plus est, moins « contrôlable » que d’autres par tradition. Le leadership implique pour Washington la maîtrise absolue des armes et de leur commandement20.

On peut estimer que le rabibochage présidentiel avec Joe Biden du 23 septembre à Rome21 fut prématuré.

Mais sortir de l’OTAN comme certains politiques ou commentateurs l’ont demandé serait un non-sens et ne ferait que nous isoler plus encore.

Certes, il y a soixante ans, l’affaire se serait probablement prolongée par une politique française de la chaise vide de quelques mois à Evere. Mais n’est pas gaulliste ni même gaullien qui veut ; les postures ne suffisent pas ; il faut d’abord se doter des moyens de compter dans le monde dans lequel nous évoluons. Trop d’abandons ont érodé notre crédibilité. Or sur la scène internationale le jeu ne ressemble pas au théâtre politique intérieur. Difficile d’y esquiver, différer ou vivre à crédit. Y affronter le réel c’est se prendre le mur des rapports de force, ici et maintenant.

Alain Meininger
Membre du Comité éditorial

  1. Australia, United Kingdom, United States of America ; l’AUKUS devra s’insérer dans un tissu d’organisations existantes dans la zone telles que le QUAD ou l’ASEAN, entre autres. ↩
  2. Des sous-marins nucléaires britanniques de la classe Astute pourraient aussi, provisoirement ou non, convenir. ↩
  3. Raison pour laquelle, parmi d’autres, la Couronne fut inquiète et très irritée des accusations de racisme proférées à son encontre par les Sussex dans leur célèbre interview par Oprah Winfrey, le 7 mars 2021, sur CBS. ↩
  4. Noter la discrétion de l’OTAN sur le sujet et le soutien tardif et mesuré de l’U.E. et de nos alliés européens. ↩
  5. Moins de dix milliards d’euros étaient, semble-il, destinés à l’industriel français sur les 55 milliards en jeu. ↩
  6. Achat, le 30 juin 2021, lors d’un entretien de Biden à Genève avec le Président de la Confédération Helvétique, Guy Parmelin, de 36 F 35 A de Lockheed au lieu du Rafale, mieux adapté aux besoins et à une coopération avec la France. Décision dont la légalité va être examinée et l’opportunité soumise, peut-être, à votation populaire. ↩
  7. 93 % et plus pour la classe Virginia contre environ 10 % pour les équivalents français Barracuda. Au-delà de 20 %, la fabrication d’une bombe devient en théorie possible selon les conventions internationales. ↩
  8. 2050 pour les derniers exemplaires. Échéance qui va créer, pendant quelques années, une lacune capacitaire au sein des forces sous-marines dont les autorités australiennes commencent à prendre conscience. ↩
  9. Soit environ 10,7 millions de km2 sur un total de 11,6 millions de km2. ↩
  10. Concept récent, mis à la mode dans les années 2010, hétérogène et ne faisant pas consensus. ↩
  11. Malcolm Turnbull qui se désole de l’affront de Scott Morrison à la France alors que ce dernier refuse de présenter des excuses à Paris. ↩
  12. Laure Mandeville : « Le postulat des Américains est que ce sont les Allemands qui gèrent l’Europe », Le Figaro, 29 octobre 2021. ↩
  13. En 2021, le Rafale a été vendu à la Grèce, l’Égypte, la Croatie et à l’Armée française pour un total de 66 exemplaires dont 18 d’occasion. ↩
  14. Voir la récente affaire « Pegasus », après les « wikileaks » ou les révélations de 2015 du Süddeutsche Zeitung selon lesquelles le BND allemand espionnait les dirigeants français pour le compte de la NSA américaine. ↩
  15. Demande de Canberra en avril 2020 d’une enquête internationale sur l’origine du Covid, entre autres. ↩
  16. Les sous-marins de Naval Group devaient être dès le départ équipés d’armes américaines. ↩
  17. Elle n’a été possible que parce que la France est liée aux EAU par un accord de défense depuis 1995 et dispose à Abu Dhabi d’une base aéronavale d’importance. ↩
  18. Le refus, légitime et justifié, de participer en 2003 à la guerre contre Saddam Hussein a laissé des traces. Peu sensible aux nuances, G. W. Bush était plutôt tenant du « soit vous êtes avec nous, soit vous êtes contre nous ». ↩
  19. Qui laisse peu d’espace à une vision multilatérale de la sécurité telle qu’envisagée par Paris. ↩
  20. À cet égard, vingt-cinq ans après les déboires en ce domaine de la présidence Chirac dans l’affaire du commandement sud de l’OTAN (Naples), la France, qui n’a pas de concept véritablement équivalent, semble parfois ne pas avoir bien intégré ce qu’est la notion états-unienne d’un président « Commander in Chief ». ↩
  21. Mis en scène lors du G20 à la Villa Bonaparte, notre ambassade auprès du Vatican, il fut précédé ou suivi d’une série de séances de câlinothérapie avec Antony Blinken et Kamala Harris venue du 9 au 14 novembre à Paris. ↩
Alain Meininger

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