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dans Culture

Pastiches sur la grande peur de 2020 – Journal du Grand Confinement

Charles ZorgbibeParCharles Zorgbibe
6 mai 2020
Pastiches sur la grande peur de 2020 – Journal du Grand Confinement

Charles Zorgbibe emprunte la plume de grands auteurs pour évoquer la vie à l’heure du Covid-19 et du confinement. Aujourd’hui André Gide.

André Gide
Journal du Grand Confinement

Premier jour

Indicible langueur.

Heures sans contenu ni contour.

Je me suis précipité dans le confinement comme Curtius dans le gouffre. Ou plutôt le confinement s’est imposé à moi par une sorte de fatalité inéluctable, comme tous les événements importants de ma vie.

Je tiens bon. Je tâche d’apprivoiser le vertige. Je constate que je tiens mieux que nombre de mes amis qui me téléphonent pour me dire, déjà, leur lassitude.

J’ai parlé de vertige. Peut-on parler du confinement comme d’un vertige ? Dans ce cas, on ne bercera jamais assez les enfants, dès leur prime jeunesse. Je serais même d’avis qu’on usât, pour les endormir, d’appareils profondément bousculatoires. J’ai été élevé selon des méthodes rationnelles. Je n’ai connu, par ordre de ma mère, que des lits fixes. Grâce à quoi, je suis aujourd’hui particulièrement sujet au mal du confinement.

Je reprends toutes les fables de La Fontaine, avec délices, depuis la première. Un miracle de culture. Sage comme Montaigne, sensible comme Mozart.

Au petit matin, inondation dans ma cuisine. Un filet d’eau sale où nage le petit Goethe, relié de gris pâle, – où je relisais les « Affinités » – que m’a offert le comte Kessler.      

Deuxième jour

Ciel uniformément bleu, d’une douceur étrange.

Je me suis réveillé dans la nuit. Paris la nuit. Morne ville endormie. Vue de mon balcon, une rue droite déserte. On ne peut imaginer rien de moins exotique. Trois passants, malgré les interdictions. Vulgarité de leurs rires. Une jeune fille, protégée par un masque, promenait son chien.

Un livreur s’annonce par l’interphone. J’avais commandé plusieurs rames de papier et des cartouches d’encre. Je devine le livreur alors qu’il dépose son colis dans l’ascenseur – un ascenseur qu’il va déserter pour éviter le dangereux franchissement des étages. Le couplet du livreur et le refrain de mon attente se chevauchent comme un chant rythmé. Sobriété de l’annonce du livreur, allégresse du client que je suis – enfin satisfait. L’ascenseur semble se cabrer avant d’arriver. Ce soir, à vingt heures, j’applaudirai le livreur en même temps que le personnel soignant.

Je relis Joseph Conrad et son « Coeur des Ténèbres ». Un livre admirable. Aucune outrance dans ses peintures. On a blâmé Conrad, dans le « Typhon », d’avoir escamoté le plus fort de la tempête. Je l’admire au contraire d’arrêter son récit au seuil de l’affreux. L’art comporte une tempérance et répugne à l’énormité.

Troisième jour

Au réveil, le spectacle le plus magnifique. Le soleil se lève tandis que j’entre dans ma cuisine. Sur le léger élargissement de la fuite d’eau, pas une ride, pas même un froissement léger qui ternirait un peu la surface ; c’est une écaille intacte, où rit le très pur reflet du ciel pur.

Engourdissement. La vue baisse. L’oreille durcit. Aussi bien mes désirs sont-ils sans doute plus faibles. L’important, c’est que l’équation se maintienne entre l’impulsion de l’âme et l’obéissance du corps. Le confiné que je suis est comme le voyageur nouveau-venu dans un pays où tout lui est neuf. L’indécision l’arrête. Il s’intéresse à tout et il ne note rien, faute de pouvoir tout noter.

Le brave docteur Salomon me sort de ma torpeur. Il annonce, à grand fracas, sur le petit écran, que le masque ne sert à rien et que les tests ne servent à rien. Saisir en plein vol ce moment historique, rare. En deux courtes phrases, cet homme de bonne volonté, que tout destinait au confort de l’anonymat, entre dans le Panthéon des petits hommes illustres. La Cinquième République se hisse à la hauteur de cette Troisième que j’ai tant aimée, lorsque le ministre des Colonies, mon ami Hesse, me confiait une mission en Afrique. N’était-ce pas Paul Reynaud qui annonçait que « la route du fer était coupée » à l’armée allemande ? Une pensée aussi pour le Second Empire, pour le maréchal Leboeuf : il proclamait qu’il « ne manquait pas un bouton de guêtre » à nos soldats que les Prussiens allaient si rapidement mettre à terre. Préparer une anthologie de ces mots historiques, de ces mensonges d’Etat. En parler à Gaston Gallimard. Lui suggérer une préface de Roger Martin du Gard.

Quatrième jour

De curieux cris me réveillent au matin. Terrible engueulade de l’un de mes voisins, Léonard, sorte de colosse court aux cheveux noirs plaqués à la Balzac, qui retombent par mèches sur son visage plat. Il fait un raffut de tous les diables au sujet d’une commande que la gérante de la supérette ne lui aurait pas encore livrée. Une heure plus tard, il pénètre dans l’immeuble et s’en prend aux travaux que les nouveaux propriétaires du premier étage font effectuer.

Je relis l’oraison funèbre d’Henriette de France. A part l’admirable portrait de Cromwell et certaines phrases du début sur le développement du schisme, je n’y trouve pas beaucoup d’excellent. Abus de citations flasques, comme dans les discours de notre président. Je relève pourtant cette phrase de circonstance : « parmi les plus mortels ennuis, on est encore capable de joie ».

Cinquième jour

Toujours l’inondation dans ma cuisine. D’étroits couloirs liquides s’ouvrent sous les murs, où l’on souhaiterait s’aventurer. Rien n’est plus attirant que leur mystère ténébreux.

En excellente humeur de travail. « Traité de la Concupiscence ». Rien à en retenir que précisément ce que Bossuet considérait comme la qualité la plus vaine, de sorte qu’il en va à l’encontre de son affirmation. Je me suis souvent prêté à ce jeu : il n’est rien, dans ce Grand Confinement, où l’on ne puisse reconnaître, si l’on y tient vraiment, l’action contre-battue de Dieu et du démon.

Septième jour

Nous partons pour le marché de l’Alma. Avec nos attestations dérogatoires « pour achats de première nécessité ». Les marchés en plein air sont alternativement fermés par précaution sanitaire puis rouverts pour éviter la faillite de maraîchers et de petits commerçants, à l’existence assez hasardeuse et précaire. Le ministre de l’Agriculture nous implore : aidez nos maraîchers par vos achats ! La porte-parole du gouvernement, toujours éclatante dans ses mille couleurs, voudrait même que nous nous portions tous sur les jardins potagers pour aider au grand ramassage des fruits et légumes, à l’exemple des grands transports maoïstes ou de la « zafra » castriste pour la récolte de la canne à sucre ! Puis « on » interdit les marchés en plein air… Délicieux mystères du pouvoir. Marc Allégret, qui a terminé le montage de son dernier film quelques jours avant le confinement, voudrait tourner un documentaire sur ce thème…

J’installe un fauteuil en osier sur mon balcon et je me plonge avec délices dans « The Master of Ballantrae ».

Neuvième jour

Ciel très couvert, sans être bas. Une pluie fine que le vent promène. Dans la cuisine, l’inondation progresse. Marc a téléphoné au syndic, qui a promis d’intervenir.

Relu les trois premiers actes du « Misanthrope ». Ce n’est pas, à beaucoup près, la pièce de Molière que je préfère. A chaque lecture nouvelle se précise mon jugement. Les sentiments qui font les ressorts de l’intrigue supportent mal ce grossissement que j’admire tant dans le « Bourgeois », le « Malade » ou « l’Avare ». Le caractère d’Alceste me paraît un peu fabriqué et, parce qu’il y met du sien, l’auteur s’y montre moins à l’aise. Comme notre président, dans sa récente visite à l’hôpital de Mulhouse. Il extériorise trop. Les sentiments d’Alceste comme ceux de notre président souffrent de cette expression forcée qui ajoute à leurs caractères un ridicule de surface. Les meilleures scènes sont celles où Alceste ne paraît pas. Notre président devrait en tirer une leçon.  

Douzième jour

J’écris ces lignes depuis mon balcon. Je poursuis ma lecture du « Master of Ballantrae ». J’ai pu dormir et me sens assez dispos ce matin pour tenter une longue sortie, à travers la rue Raffet, jusqu’à la boulangerie de l’avenue Mozart. C’est mon tour – après Marc, qui est sorti la semaine dernière. Oui, je me sens assez bien pour me lancer dans cette longue course à laquelle, hier soir, fiévreux, je me désolais de devoir renoncer. Je sors masqué – un masque théoriquement fabriqué en Chine mais expédié de Sofia par l’imprimeur bulgare auprès duquel Gaston avait délocalisé une partie de sa production éditoriale. Devant la boulangerie, une certaine attente mais les distances sont parfaitement respectées. Malheureusement, j’ai complètement oublié mon attestation de déplacement ! Je frôle deux policiers à bicyclette. Par chance, ils ne m’interpellent pas.

J’ai longtemps été bergsonien sans le savoir. Dans mes « Carnets d’Archibald », on trouverait des pages inspirées par « l’Evolution créatrice »… si les dates permettaient de le croire. Je me méfie d’un système qui répond aux goûts d’une époque. Comme le programme politique de notre président… Une mise en scène du vide ? Marc est trop véhément. Au début, j’étais séduit par le côté télé-évangéliste américain. Cette manière de marcher sur les flots… J’en viens à regretter le malheureux président Hollande, qui me rappelait tant mon cher Daladier – sans la culture historique de Daladier évidemment. Je reprends le « Traité de la Concupiscence ». Sa langue est des plus belles. Bossuet ne s’est montré nulle part meilleur écrivain.

 Quinzième jour

Matinée brumeuse. Tout est gris, terne, voilé, d’une tristesse incomparable. S’il y avait du vent, on aurait froid. Levé avant cinq heures. Thé sommaire. Dans la cuisine humide, je suis désagréablement chatouillé par un essaim de très petits insectes qui m’étaient vraiment inconnus. J’observe leur extraordinaire travail. Lorsque j’entreprends de les écraser de la pointe de mon couteau, ils ne se défendent pas, ne fuient pas. Etaient-ils déjà morts ou simplement endormis ? Relire la Genèse. Méditer sur la violence du monothéisme. Se replier vers la méditation, la lecture, l’étude. Ma représentation imaginaire de Paris avant le confinement est si vive que je doute si, plus tard, cette fausse image ne luttera pas contre le souvenir et si je reverrai Paris comme il est vraiment.

Pour n’être point injuste, il me faut dire qu’il a fait beau, très beau, vers le milieu du jour. J’en ai profité pour gagner la place d’Auteuil, masque sur le visage, attestation en poche, et m’introduire dans ce grand magasin de surgelés que je fréquentais naguère, avant le grand confinement. Trois arbres sur cette place d’Auteuil que je traverse et redécouvre, finalement si étrange. Un grand silence. Je m’imaginais soudain, jadis, pendant ma mission en Afrique, traversant, dans le même silence, un grand marigot – sur d’étroites passerelles de lianes et de branches.

Je reviens à Bossuet. Il est réjouissant de penser que c’est à ses qualités les plus profanes, qui lui paraissaient les plus vaines, que l’orateur sacré doit sa survie dans notre mémoire nationale.

Vingtième jour

Les jours coulent, tous pareils. Je n’inscris plus les dates. Nous nous levons dès l’aube. Je cours vers la boulangerie. La multiplication des masques m’assombrit, malgré la splendeur de la lumière de ce printemps. Derrière les masques, l’absence d’individualité, d’individualisation, l’impossibilité d’arriver à une différenciation. Un peuple de fantômes, indifféremment agréables. Un bétail humain uniforme d’aspect, de goûts, de mœurs.

Le petit Goethe relié de cuir vert, que j’ai perdu dans l’inondation de la cuisine, me manque ! J’erre autour du poète de Weimar. Ce qui me ramène au masque. Quelle part faire au masque et à la mascarade dans l’oeuvre de Goethe ? Il a fait usage du masque et du déguisement dans sa traduction du « Neveu de Rameau » de Diderot et encore plus dans son commentaire. A la parution en langue allemande du « Neveu », le compositeur Zelter et beaucoup de Berlinois crurent qu’il s’agissait d’une œuvre de Goethe et que Diderot n’était qu’un masque derrière lequel Goethe exposait des idées frappées de tabou.

Vingt-cinquième jour

La fuite d’eau dans la cuisine provient du jardin suspendu du 7è étage. Le syndic a obtenu la mise en place d’un échafaudage, qui reste désespérément inutilisé au fil des jours, confinement oblige… Marc à l’idée d’un nouveau film : notre président se dresserait en héraut de la liberté, en chef de file planétaire, en nouveau George Washington, face à l’épidémie qui secoue le monde. Il rejetterait les demandes des « populistes » qui demandent la fermeture des frontières : « N’en déplaise à certains, le virus ne connaît pas de limites administratives ». A son côté, le charmant benjamin du gouvernement se comporterait en « porte-flingue » – c’est le terme de Marc ! « Les populistes sont comme toujours dans l’instrumentalisation de la peur !»

– Porte-flingue ? ai-je commenté. Il faudrait alors un dialogue de Michel Audiard.

– C’est exactement cela, mais je l’appelle et il ne répond pas.  

J’ai eu du mal à achever la lecture du « Master of Ballantrae ». Tout est excellent. Mais très hétérogène. Un catalogue d’échantillons des réussites de Stevenson.

Vingt-huitième jour

Les journées les plus intéressantes sont celles où le temps manque pour rien noter. Ce matin, j’ai été interrompu par le taxi qui venait me prendre pour ma visite médicale mensuelle. En fait, je ne sais plus les dates. Ciel tout pur. La pintade achetée hier au magasin de surgelés de la place d’Auteuil est succulente. Je me suis réveillé dans la nuit. Deux heures d’insomnie. La lune était encore presque pleine. La rue s’avançait tout droit, dans la barre de son reflet. Paris semblait une ville à l’état larvaire, réduite à un sous-sol.  

Ce soir, importante allocution du président. Un grand artiste de la politique. Un grand homme de théâtre, ouvert à tous les emplois du répertoire. Le voici prêt à voler le thème des frontières à ces « populistes » qu’il ne cesse de diaboliser ! Le regard inspiré, il enrobe des lieux communs et des développements hors-sujet dans un discours-édredon, beaucoup trop long, qui lui évite de prendre quelque décision… Il me surprendra toujours ! Je finirai par être l’un de ses affidés car il me rappelle les motions nègre-blanc du parti radical sous ma chère Troisième République ! Mais sa personnalité est tellement complexe… Il sait, en même temps, être « disruptif » – je cède, une fois de plus, à la mode ! Il est toujours prêt à poignarder notre mémoire collective en porte-drapeau d’une nation qui ne serait plus que la salle des pas perdus de la nation planétaire. C’est mon Lafcadio, le théoricien de l’acte gratuit que j’ai inventé dans « les Caves du Vatican », mon héros qui, sans aucune raison, précipite un voyageur dans le vide après avoir ouvert la portière du train. Relire mes « Caves du Vatican ».  

Charles Zorgbibe
Professeur honoraire à Paris1-Panthéon Sorbonne
Ancien recteur d’Aix-Marseille

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