• Contact
  • Abonnez-vous
  • Contribuez
Panier / 0,00 €

Votre panier est vide.

Lire Le dernier numéroLe dernier numéro
Revue Politique et Parlementaire
  • Se connecter
S'abonner
  • Politique
  • International
  • Economie
  • Culture
  • Société
  • Science et technologie
  • Nos événements
    • Événements à venir
    • Événements passés
  • Boutique
    • Les numéros
    • Abonnement
  • La cité des débats
    • Aimons-nous encore la liberté ?
    • Faut-il avoir peur de l’avenir ?
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Revue Politique et Parlementaire
  • Politique
  • International
  • Economie
  • Culture
  • Société
  • Science et technologie
  • Nos événements
    • Événements à venir
    • Événements passés
  • Boutique
    • Les numéros
    • Abonnement
  • La cité des débats
    • Aimons-nous encore la liberté ?
    • Faut-il avoir peur de l’avenir ?
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Revue Politique et Parlementaire
Aucun résultat
Voir tous les résultats
dans Culture, N°1099

La Fédération Européenne des Cités Napoléoniennes

Charles BonaparteParCharles Bonaparte
13 août 2021
Silhouette de Napoléon Bonaparte

La Fédération Européenne des Cités Napoléoniennes a été créée en 2004 et rassemble aujourd’hui 65 villes dans 13 pays européens. Elle est devenue en 2015 membre du réseau des Itinéraires Culturels labellisés par le Conseil de l’Europe et développe un itinéraire spécifique : Destination Napoléon. Le comité scientifique de la Fédération est présidé par Jacques-Olivier Boudon, professeur à la faculté des Lettres de Sorbonne Université.

Mettre en valeur ensemble nos patrimoines napoléoniens

Le mythe de Napoléon agite l’imaginaire collectif bien au-delà de la culture historique parce que la culture populaire s’est emparée du personnage dès le lendemain de sa mort. Depuis lors, pour le louer ou pour le blâmer, tout le monde a une idée sur lui. Comme tous les héros, il dépasse le strict cadre de l’histoire pour parler à l’imaginaire collectif. Napoléon Bonaparte est un archétype au sens que Carl Gustav Jung donne à ce terme.

Sa notoriété a crû encore ces dernières années avec la globalisation des cultures : autrefois héros français, il est aujourd’hui un héros planétaire. J’ai pu le constater en Chine ou en Inde, dans le moindre hôtel, lorsque je donne mon passeport, le réceptionniste me demande : « ah, vous êtes parent avec Napoléon ? » Rien d’étonnant, il est le deuxième personnage de l’histoire le plus consulté sur le moteur de recherche Google, après le Christ, avant le prophète Mahomet et William Shakespeare ! Au siège de la région de Tianjin, à l’est de Pékin, dans un palais Art nouveau qui date de la concession française, une mauvaise reproduction du tableau du Sacre peint par David occupe un mur de la salle d’honneur. La vice-présidente, chargée de la culture et du tourisme, avec laquelle j’ai rendez-vous, le désigne en me demandant ce que cette scène représente !

L’histoire napoléonienne doit donc être envisagée non seulement comme un produit de connaissance historique, mais aussi comme un objet de culture de masse, soumis à l’usage de médias nouveaux qui tiennent lieu de multiplicateurs de diffusion et de réducteurs de contenus : bandes dessinées, applications sur nos portables, réseaux sociaux, réalité virtuelle, hologrammes….

La science historique collecte soigneusement les faits historiques, les critique avant de les interpréter et de les enseigner dans les universités et dans les écoles. Les livres ont longtemps été le moyen privilégié de toucher le grand public. L’histoire napoléonienne a été particulièrement gâtée. Le professeur Jean Tulard a compté qu’il était paru autant de livres sur Napoléon que de jours qui nous séparent de sa mort, soit plus de 70 000. C’est probablement le personnage historique sur lequel on continue à écrire le plus à travers le monde.

L’université jouait un rôle essentiel dans la diffusion du savoir historique. Le meilleur de l’histoire napoléonienne était délivré à la Sorbonne par les titulaires de la chaire d’histoire moderne qui inclut la Révolution et l’Empire. Les cours des professeurs Jean Tulard, Marcel Dunan, son prédécesseur, et Jacques-Olivier Boudon, son successeur, ont formé des cohortes d’étudiants qui relayaient leur savoir dans leurs propres travaux de recherche avant de les diffuser dans le système scolaire. Mais, dans le monde moderne, les écrits ne suffisent plus. Même s’il continue à se publier beaucoup, la lecture est peu à peu supplantée par l’image et par le son dans la diffusion de la culture historique napoléonienne.

En même temps, les motivations pour apprendre l’histoire ont évolué. Avant, on apprenait par goût pour la culture et pour les besoins de l’enseignement. Aujourd’hui, on apprend pour le plaisir. L’histoire est pourvoyeuse d’images dont raffolent les nouveaux supports : le son et l’image sont devenus les supports principaux d’accès à la culture historique. Impossible de suivre une série télévisée sans référence à l’histoire. Les applications dédiées sont devenues courantes pour la visite des musées et des lieux historiques ; elles sont nourries d’images de synthèse qui reconstituent et mettent en scène les lieux historiques. La plupart des jeux électroniques sont contextualisés dans un moment d’histoire.

En parallèle, le tourisme historique se développe très rapidement sur tous les continents.

Les grands musées publics et privés sont devenus en Europe, en Asie et en Amérique du nord des destinations essentielles du tourisme de masse. En Europe, plus de trois millions de touristes visitent chaque année les musées spécifiquement consacrés à Napoléon. Sans oublier la filmographie et la publicité qui participent abondamment à la diffusion de l’image de Napoléon. Ces changements de support et de motivation posent des problèmes redoutables à l’historien peu formé à être mis au contact direct du grand public. Beaucoup réagissent en stigmatisant une nation qui oublierait son histoire, alors que nous sommes face à un changement de pratiques culturelles. Il est essentiel que l’histoire napoléonienne aborde ce virage sans frilosité.

En 2004, j’ai commencé à rassembler les villes européennes traversées par l’histoire napoléonienne dans une Fédération Européenne des Cités Napoléoniennes. J’étais alors élu à Ajaccio, responsable entre autres du tourisme, et nous avons décidé, avec un premier groupe de villes italiennes et françaises, de nous regrouper pour tenter une expérience originale : mettre en valeur ensemble nos patrimoines napoléoniens.

Au-delà de nos opinions diverses sur l’homme et sur ses actions, nous, élus de ces villes, avions conscience de l’importance du patrimoine matériel et moral qu’il nous avait légué, mais constations la désuétude dans la manière dont il était le plus souvent mis en valeur. En outre, chacune des villes voulait mettre en avant sa fraction de patrimoine, empêchant une interprétation d’ensemble. Il fallait donc les réunir.

Nous savions combien son œuvre avait marqué nos cités, pas seulement leur passé, leur forme urbaine, leurs places et leurs lieux de pouvoir, leur fortune, bonne ou mauvaise, mais aussi combien elle continuait à marquer leur présent. Ce ne sont pas seulement les grandes capitales européennes, Paris, Berlin, Rome qui profitent de flux touristiques engendrés par l’histoire napoléonienne, mais des villes plus modestes comme Ajaccio, Waterloo, Rueil-Malmaison, Fontainebleau, Jéna ou Austerlitz qui ne doivent leur notoriété qu’à la geste napoléonienne. Nous voulions aider ces villes à moderniser leur approche de l’histoire napoléonienne, à mettre en œuvre des techniques modernes d’accession du public à l’histoire pour que ce patrimoine continue à créer du sens et de la richesse pour les citoyens de ces villes et pour leurs visiteurs. Une véritable culture populaire doit permettre à chacun de s’approprier ce patrimoine, le sortir des musées, surtout fréquentés par des élites, pour le mettre à la portée de tous. Nous voulions ainsi contribuer à aider nos contemporains à améliorer la connaissance de leur histoire pour mieux aborder les défis des temps modernes, à commencer par les enjeux dans chacune de nos villes.

La Fédération a été créée pour croiser des regards différents sur cette page commune. Ces différences nous enrichissent. Pour nos villes, Napoléon aura été tantôt un bâtisseur, tantôt un législateur, un administrateur, un conquérant, ou un ennemi défait. Parfois, tout cela successivement. Il en résulte des appréciations très contrastées qui illustrent la richesse et la complexité de l’œuvre et façonnent un objet de culture contemporaine passionnant. Napoléon est le personnage historique le plus connu dans le monde et donc le plus discuté. L’un ne va pas sans l’autre.

Nous ne disons pas que tout ce qu’a fait Napoléon est conforme à nos valeurs mais nous affirmons qu’il a ouvert des pages nouvelles de l’histoire, mettant fin à l’Ancien Régime et à ses privilèges pour jeter les bases des temps nouveaux, les temps de la liberté et de l’égalité.

C’est ainsi que nous le comprenons aujourd’hui : né sous l’Ancien Régime, grandi sous la révolution, cet homme aura su jeter les bases – ces fameuses masses de granite – des temps nouveaux, de la République. Même si les formes et les modes d’actions de son gouvernement tiennent encore aux temps anciens, même s’il recourt systématiquement à la guerre pour résoudre les conflits, même si le rétablissement de l’esclavage heurte nos consciences, ses réformes sont clairement orientées vers les temps modernes.

Il aura su moderniser la France et de nombreux pays d’Europe, mieux que beaucoup d’autres avant lui, diffusant sur les pas de ses armées le Code civil, le Concordat, le Cadastre, l’abolition des privilèges, la fin des principautés, traçant partout de nouvelles frontières au sens propre et figuré.

Ce sont les quelques arguments que j’ai présentés aux villes pour les inciter à me rejoindre. Nous n’avons pas vocation à suivre les traces des grandes campagnes ou de poser des balises commémoratives sur les champs de bataille. Nous voulons d’abord faire du développement local, montrer que l’histoire produit des richesses, des emplois : amener des touristes, développer des applications dédiées, organiser des expositions sur des thèmes communs, favoriser l’échange des jeunes. Nous avons bientôt regroupé une soixantaine de villes dans treize pays européens : Allemagne, Belarus, Belgique, Croatie, Espagne, Fédération de Russie, Grèce, France, Italie, Pologne, Portugal, République Tchèque, Royaume-Uni. Parmi les villes, les plus connues de l’épopée : Ajaccio, Autun, Rueil-Malmaison, Alessandria, Austerlitz, Iéna, Borodino, la Bérézina, Waterloo….

J’ai voulu placer cette initiative sous le signe de la construction européenne. D’abord en raison de la place que l’Europe a occupé dans l’œuvre de Napoléon, même si l’idée qu’il avait de l’Europe était bien éloignée de la nôtre. Mais aussi parce que la Révolution, le Consulat et l’Empire ont été des temps de gestation de l’idée européenne, avec le partage, plus ou moins contraint, d’institutions qui ont marqué les nations d’Europe, comme le Code civil ou le Concordat. Enfin, parce que la nation européenne en devenir que j’appelle de mes vœux doit être fondée sur une histoire partagée. La base de toute nation est le partage d’un récit historique commun. La lecture croisée de pages particulièrement importantes et contrastées de notre histoire est une contribution majeure à la culture commune des nations européennes. Les Européens auront achevé leur construction politique lorsqu’ils sauront écrire leur histoire d’une main commune. Ils formeront alors une Nation.

Destination Napoléon

Les routes étaient vitales pour la survie de l’Empire, comme elles l’étaient du temps de Rome : elles permettaient de maintenir l’unité de l’Empire, elles étaient essentielles pour acheminer les troupes, les ordres, les marchandises. Les grandes voies partaient en étoile de Paris et reliaient la capitale de l’Empire à Amsterdam par Bruxelles, à Hambourg, à Rome par le Simplon, à Milan par le Mont Cenis, à Bayonne puis l’Espagne. Pour réaliser ce grand projet, le corps des Ponts et Chaussées fut réorganisé en 1804 et placé sous l’autorité d’un conseiller d’État.

C’est ce qui nous a décidés à rejoindre en 2015 le programme des itinéraires culturels du Conseil de l’Europe qui regroupe une trentaine d’itinéraires bâtis autour de pages importantes de l’histoire du continent. Le premier et le plus emblématique est l’itinéraire des chemins de Saint-Jacques de Compostelle. Le Conseil de l’Europe et ses itinéraires débordent l’espace communautaire des 27 pays membres de l’Union, regroupant 44 pays de l’Atlantique à l’Oural. Cette Europe de l’histoire, de la culture et du patrimoine se calque sur le réseau de la Fédération Européenne des Cités Napoléoniennes dont les villes membres s’échelonnent d’ouest en est du continent européen pour suivre les méandres de la carrière de l’empereur : de l’Atlantique à la Russie, et du sud au nord ; de l’Égypte à l’ancienne Tilsit.

Le programme des Itinéraires Culturels, créé en 1987 par le Conseil de l’Europe, est un vaste projet de coopération dans les domaines de la culture, du patrimoine éducatif et du tourisme qui correspond exactement aux objectifs de notre Fédération et qui comprend désormais un itinéraire Destination Napoléon. Le responsable des itinéraires culturels du Conseil de l’Europe, après mon exposé devant les ambassadeurs représentant les pays membres en juillet 2018, souligne : « l’importance du patrimoine historique napoléonien et son influence majeure dans le contexte géopolitique contemporain et dans le développement de l’Idée européenne. Il participe activement à la promotion et à la compréhension approfondie de notre patrimoine culturel européen commun et à l’adhésion aux valeurs démocratiques les plus fondamentales du Conseil de l’Europe, sur lesquelles notre société s’est développée ; démocratie, droits de l’homme et État de droit ». Notre regroupement de villes travaille dans ces perspectives.

L’itinéraire couvre l’enfance avec les villes corses, les campagnes d’Italie, les grands projets d’aménagement dans le Nord-Ouest de la France, comme le canal de Bretagne ou la ville de La-Roche-sur-Yon, le pouvoir central : Paris, Saint-Cloud, Fontainebleau, Rueil-Malmaison, l’Europe centrale, guerre et paix : Austerlitz, Iéna, Erfurt, Weimar, Leipzig…, la résurrection de la Pologne, la campagne de Russie, l’exil à l’île d’Elbe, la route Napoléon, de Portoferraio à Grenoble, Waterloo et la route Napoléon en Wallonie, les campagnes d’Espagne et du Portugal. Nous montons, avec le concours des fonds de la Commission européenne, des balisages dans les villes, entre les villes et à l’échelle d’un territoire couvrant un évènement particulier, bataille, ou campagne militaire. Un comité scientifique présidé par Jacques-Olivier Boudon, professeur à la Sorbonne et président de l’Institut Napoléon, veille à la qualité historique. Le balisage des sites est illustré par des bornes interactives et des applications dédiées accessibles à partir des téléphones mobiles.

Nous ne nous limitons pas à aider les développements touristiques et patrimoniaux.

Nous voulons les relier entre eux par des cartes interactives qui permettent de composer des visites virtuelles destinées au grand public curieux de cette page d’histoire et aux touristes, venus du monde entier, de préparer leur voyage. La grande carte interactive des ressources culturelles et touristiques de l’époque napoléonienne est en cours de développement sur nos sites. Cette approche permet de mettre l’image universellement connue de Napoléon au service de la promotion de l’ensemble du patrimoine historique de nos villes dont l’histoire ne se limite évidemment pas aux quinze ans du gouvernement de Napoléon. Napoléon est une clé d’entrée vers l’ensemble de leur patrimoine.

La crise de la Covid renforce la nécessité de développer nos outils virtuels afin de rendre accessible ce patrimoine sans avoir besoin de déplacements physiques. Il est certain que le temps du tourisme de masse à l’échelle de la planète est partiellement révolu. Le tourisme de l’après-Covid sera plus économe en moyens de transports émetteurs de gaz à effet de serre. Il sera probablement plus cher et plus sélectif. Le tourisme virtuel remplacera le tourisme de masse. Nous travaillons à mettre les musées en réseaux, à enrichir les banques de données sur le patrimoine napoléonien de nos villes, à améliorer la qualité de nos parcours virtuels en relation avec les autres itinéraires du Conseil de l’Europe.

Nous voulons aussi inscrire le patrimoine napoléonien dans un contexte plus large dans trois directions principales. Les quinze années de l’histoire napoléonienne ne sont qu’une page de l’histoire de nos villes. Nous inscrivons notre action dans une valorisation globale de leur histoire qui court le plus souvent du Moyen-Âge jusqu’à l’époque moderne.

D’autre part, les pas des armées napoléoniennes recouvrent souvent les pas des pèlerins, des marchands, d’autres conquérants qui ont sillonné l’Europe depuis deux mille ans. Routes, ponts, cols, marchés, cathédrales, universités constituent des points de passage obligés de tous les Européens en mouvement depuis l’Antiquité. L’hospice du col du Grand-Saint-Bernard a vu passer les pèlerins de la Via Francigena en route pour Rome et, quelques siècles plus tard, les armées du général Bonaparte. Nous souhaitons donc travailler en synergie avec les autres itinéraires du Conseil de l’Europe pour enrichir le contenu de nos itinéraires.

Enfin, la valorisation du patrimoine culturel ne peut pas être séparée des efforts de développement qui visent à mettre en valeur des sites, à créer des équipements, des outils médiatiques, des bibliothèques ou des médiathèques, bref, pour organiser le développement économique, culturel et social de chaque ville, dans la limitation des émissions de carbone, dans la préservation de la planète. L’histoire napoléonienne n’est pas un îlot isolé. Nous inscrivons donc nos projets dans des programmes de financement nationaux et le plus souvent européens tels les programmes Interreg, partie prenante du European Green Deal, ce grand projet de la Commission européenne destiné à investir dans les infrastructures physiques et intellectuelles de la transition vers une économie décarbonée.

La prise en compte des défis et ambitions majeurs de notre temps est une condition essentielle pour que cette grande page d’histoire de France irrigue la culture de nos contemporains afin de les mieux préparer à leur lendemain.

Charles Bonaparte
Président-fondateur de la Fédération Européenne des Cités Napoléoniennes

Les derniers articles

Les trois raisons de voter la censure

Les trois raisons de voter la censure

ParGilles Platret

Le 20 mars peut rester dans notre histoire comme une date emblématique de la reprise de ses droits par la...

L’Incorrigible !

L’Incorrigible !

ParMichel Fize

Emmanuel Macron est décidément un IN-COR-RI-GI-BLE ! Après le cuisant échec qu’il vient de subir , puisqu’il a été contraint de...

Le début de la fin ?

Le début de la fin ?

ParEric Cerf-Mayer

Dans la dynastie des empereurs julio-claudiens, après le tyrannique Caligula à qui l'on attribue la célèbre formule "oderint dum metuant"...

Le 49-3 ? ADN du modèle français !

Le 49-3 ? ADN du modèle français !

ParMichel Monier

Une réforme mal engagée, insuffisante au regard de l’enjeu qu’elle s’est fixé, conduit à ce moment institutionnel particulier, détestable et...

Retrouvez nos dernières vidéos

«
Prev
1
/
63
Next
»
loading
play
Colloque "Afrique, Europe et France : réalités d'aujourd'hui, promesses de demain"
play
Colloque "Afrique, Europe et France : réalités d'aujourd'hui, promesses de demain"
play
Colloque "Afrique, Europe et France : réalités d'aujourd'hui, promesses de demain"
«
Prev
1
/
63
Next
»
loading

Suivez-nous sur twitter

Tweets de @RevuePol

Inscrivez-vous à notre Newsletter

Related Posts

Polynésie française : forces et faiblesses du mouvement indépendantiste (première partie)
Culture

Polynésie française : forces et faiblesses du mouvement indépendantiste (deuxième partie)

Polynésie française : forces et faiblesses du mouvement indépendantiste (première partie)
Culture

Polynésie française : forces et faiblesses du mouvement indépendantiste (première partie)

L’Etat est mort ! Vive l’Etat !
Culture

L’Etat est mort ! Vive l’Etat !

Nos enfants face à la pornographie
Culture

Nos enfants face à la pornographie

Hommage à Pierre Legendre
Culture

Hommage à Pierre Legendre

L’illettrisme, ce terrible mal français
Culture

L’illettrisme, ce terrible mal français

Figures de l’écrivain parlementaire – partie 2
Culture

Figures de l’écrivain parlementaire – partie 3

Figures de l’écrivain parlementaire – partie 2
Culture

Figures de l’écrivain parlementaire – partie 2

Article suivant
Manifestation au Liban

Après l’explosion de Tleil (Akkar) : le Liban, de Charybde en Scylla

La Revue Politique et Parlementaire
10 rue du Colisée 75008 Paris
Email : contact@revuepolitique.fr
Téléphone : 01 76 47 09 30

Notre Histoire
L'équipe

Culture
Economie
Faut… de la géopolitique
International
La tribune du parlementaire
Libre opinion
Politique
Science et technologie
Société
Vie du parlement

Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Politique
  • International
  • Economie
  • Culture
  • Société
  • Science et technologie
  • Nos événements
    • Événements à venir
    • Événements passés
  • Boutique
    • Les numéros
    • Abonnement
  • La cité des débats
    • Aimons-nous encore la liberté ?
    • Faut-il avoir peur de l’avenir ?

Revue Politique et Parlementaire

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Se connecter

Add New Playlist